Mercredi 4 septembre 3 04 /09 /Sep 14:19

Il n’est jamais facile de répondre à une attente même par annonce. Le contact dans ce cas était franc et très dirigé. Je comprends bien ça demande, et surtout la place que j’occupe…je relie encore son message :

« …bonjour, reprennant votre annonce ‘homme sévère cherche femme raffinée pour jeux d’adulte’… Je voulais avoir quelques conseilles concernant cela, auriez vous l’audace de m’aider sur ce sujet car j’envisage de devenir moi-même sévère avec la personne qui m’occupe… »

Comme je disais cela semble facile mais il en est tout autre, enfin le rendez vous est pris. Je la rencontre au Luxembourg, tout laisse présager que la personne sera au rendez vous et sans aucun retard celle-ci se présente à moi.

Le courant passe vite et nous discutons de pleins choses sans réellement aborder le sujet intéressant mais certainement sensible. Puis après avoir consommé sur place, celle-ci m’invite à plus de discrétion si je le veux. Nous avons donc rendez vous dans une heure à une adresse qu’elle me communique.

Je suis fébrile et malgré cela je sonne. C’est une petite maison de rangée, qui n’attire pas l’œil mais semble confortable. L’interphone grésille m’indiquant l’ouverture de la gâche de porte. Je souris en la revoyant, sur mon conseille je lui ai demandé de porter ce qu’elle aimerait porter pour dominer et tout en étant dans les matières satinés, cela reste très soft et même classe.  Sa longue jupe noir qui gante sont corps rond met en valeur l’amplitude de ses formes. Tout comme ce talon qui se ferme par une boucle sur une jambe habillé d’un bas du plus bel effet…le petit top rouge satiné parachève le tableau en pressant ses seins magnifique dans son corsage. L’envie me passe par la tête mais je me reconcentre sur elle. Ses lèvres pulpeuses sont une invitation à la douceur et au plaisir…bref ! Je n’ai pas le role d’amant cette fois mais bien de conseillé. J’avoue que je jalouse son amant car cette femme prends soin de plaire et le plaisir de contempler l’effort  me ravis de plaisir. Le Deal est simple, sous l’échange de mes conseilles elle me feras rencontrer la personne qui pourra me ravir…c’est osé comme paris mais j’accepte !  nous discutons plus professionnellement sur le coup. Je lui explique que pour comprendre le plaisir de l’autre il faut le vivre une fois et savoir le trouble que cela provoquera.

La vrai force n’est pas de résister mais d’amener l’autre au plaisir qu’il veut sans qu’il ne décide et donc gommer sa gène. Pour comprendre le plaisir du bondage, il faut comprendre celui-ci… il faut savoir ce que cela provoquera. Tout doucement je commence à ressentir l’intérêt grandissant de mon interlocutrice.

Finalement la partie pratique vient au devant ! et je lui  explique pas après pas le chemin qui permet d’atteindre l’objectif.

-        « …mais comment faire pour qu’il se laisse faire complètement ? si je veux le dominer sans devoir me battre, je fais comment ?... »

La raison est simple, elle veut dominer mais surtout y arriver sans pépin ! mon conseil sera simple…certaines caresses sont  irrésistible…entretenue elles provoquent un état de manque ou de géne si fort que la raison de l’autre s’effondre…tout comme la femme, l’homme à des zones érogènes…sauf qu’il n’en a pas connaissance !

Alors il y a plusieurs méthodes, la ruse, la complicité immédiate, le chantage, la force, la drogue ! ou la perte de raison qui me semble plus facile à provoquer…Par exemple certaine femmes une fois franchi le pas du plaisir ne rechigne à aucunes positions et aucun tabous…il en est de même pour les hommes quelques soit l’homme.

Nous prenons donc le temps et j’arrive à la convaincre qu’elle doit me donner sa confiance…ma ruse est là…profiter du court pour favoriser mon avancement…qui sait, ce sera peut être elle ma soumise…

Je lui montre donc le nœud de base qui permet d’attacher sans soucis de toutes les positions et avec tous liens. Je la voie encore naïvement faire les deux cocardes et nouer celle-ci entre elles, puis me tendre ses poignés pour que je vérifie…fixe, yux dans les yeux, je glisse la corde douce autour des ses mains et tirant sur les deux bouts, ceux-ci resserent les cocardes…c’est comme le haut d’un nœud de lacet en fait…sauf que l’on passe les mais dans les cocardes et que l’on tire sur les lacets pour mieux nouer apprés.

L’effet ne tarde pas, je la sens intriguée, puis continuant le jeu je prolonge la corde sur elle nouant alors ces coudes sur son buste. En quelques seconde elle est à ma merci.

Je la regarde se pincer les lèvres en essayant de se débattre un peu, poussant le jeu plus loin je l’invite à rejoindre sa chambre pour la suite du bondage…

Bien vite elle est ligotée sur son lit, sa surprise est grande qu’en à l’efficacité des nœuds et de la méthode, mais  le baillon que je lui oblige est la surprise….elle comprends presque quand je commence à lui masser les seins à travers le tissus. Et son regard se fonce si fort que je devine sa pensée. Pour m’échapper elle se retourne sur le ventre m’offrant alors sa croupe.

Je ne peux ‘empêcher de la toucher, délicieusement… et au bout de quelques minutes ses gémissements me fond comprendre que je peux stopper le jeu. Affolée au début elle se redresse d’un bond une fois libre pour m’embrasser à pleine bouche. Je ne suis pas plus surpris de sa réaction que de la gifle qui suit. Tu n’avais pas le droit de faire ça me dit elle, mais c’était si intense que je te remercie de me l’avoir découvrir, je comprends mieux maintenant…

Je me masse la joue et m’excusant aussi de mon audace, je cherche ses lévres, ce courant électrique qui me traverse est tellement bon que je cherche un dernier contact. Son front vient heurter le mien lentement comme deux colosses qui s’affrontent…Je voudrais te remercier comme promis, mais je crois et même certaine que tu peux être autrement qu’un homme sévère…il est temps. Ses mains glissent vers mon jeans et l’excitation qui m’étreint me trahis. Alors quand sa main saisi mon sexe et que ses lèvres l’entourent, je ne résiste pas à se traitement très longtemps ! m’abandonnant à son envie, je me sens perdre raison à mon tour.

Ses mains me parcourent et quand mon tshirt tombe découvrant mes tetons, elles se venge de mon audace et m’aspire en elle, bientôt sans avoir eu le temps de réagir elle m’écrase de tout son poids en fourant ma tête entre ses cuisses. Je disparais sous le satin de sa tenue et cherchant un échappatoire je jouis étouffé par son corps.

Le coite de plaisir dure longtemps car elle n’arrête pas son application. Je me retrouve vite sans force et quand elle noue le lien sur mes poignés je réalise pas encore la situation.

Il s’est passé plusieurs minutes entre ce moment de plaisir et maintenant. J’ai presque perdu connaissance sous le plaisir et à sa façon de sourire je devine que je suis passé à la place de soumis malgré ma force, ma ténacité. Je réalise que je suis nu et tendu comme une peau que l’on veut sécher au soleil…que m’arrive t’il ? bras et chevilles. Tout est bloqué et le bâillon qu’elle m’impose porte encore les traces de sa morsure…

Et bien voilà ! monsieur sévère ! te voilà pris…crois tu que tu pourras t’échapper avec mes nœuds ?

J’a peine à essayer, je n’ai pas de force, comme paralysé par le plaisir mais surtout par les liens.

L’instant est critique, je la regarde me toiser, et son sourire me fait perdre la face. « je voulais découvrir comment dominer un homme sévère et surtout le soumettre… alors nous allons jouer maintenant. Merci pour le petit cour sur ta vision de la domination. Mon cour sera plus pratique que théorique.

Ses doigts couraient sur mes tétons , dessinant les coroles, lapant les pointes jaillissantes et durcies.

De l’autre main elle me masturbait sans cesse ce qui m’empêchait de retomber et bientôt la douleur de la durée de l’érection m’indiquait que cela allait rester un moment.

J’essayé de me débattre et j’hurlais même de rage dans le foulard ce qui lui fit plaisir…accepte que tu ne peux rien et nous évoluerons plus vite me dit elle. Sans comprendre tout à fait sa demande elle gravit le lit et sans effort m’enfourcha sous ra robe retroussée. Se servant de mes tétons comme moyen de conviction elle entrepris de les pincer doucement pour les maintenir dressés.  Sa façon de se chalouper sur moi eu vite raison de mon état et je ne pu me retenir de jouir à nouveau en elle et elle continua si longtemps à chalouper que suffoqué  de ne plus éjaculer…meurtri et sans force…je ne savais pas réagir. Lentement la douleur se transformait en un manque et l’ivresse me faisait tourner la tête, ralant dans le baillon je la sentais m’envahir, m’essorer completement….finalement, sous l’étreinte de ses reins je perdais toute forces même de garder les yeux ouvert… Je ne comprenais pas son jeu tant et si bien qu’une fois détaché je ne repris pas pour autant le dessus quand elle m’enfila cette culotte noir et m’enveloppa dans ce peignoir fin qui caressa ma peau sensibilisée à ses mains... J’avais envie de ses lèvres et sa réponse fut simple…me laissé faire et j’aurai alors la récompense de ses lèvres…mais une fois ligoté, je fut à nouveau bâillonné sans avoir pu les gouter à nouveau. J’avais l’impression d’une force terrible qui me chiffonné comme un vulgaire tissus… et sans force je m’abandonné à sa détermination et pourtant je devais réagir pour ne pas basculer. Je sentais chaque liens et chacun de ses baisés ne faisait trembler de frisson. Elle ponctuait ses gestes de petites paroles douces comme des ordres simples…tourne toi, donne ta main, détend toi, laisse toi faire, regarde moi…redresse toi, retourne toi…bientôt je fus  grisé par ses mains.

La douceur de ses gestes imprimé sa volonté, je marchais trop prés du gouffre, et je sentais le fond m’appeler…bientôt je perdrais toutes résistances. Sa démarche était parfaite, le piège superbe et la proie facile quand on la connait si bien…

Je repris peu à peu mes esprits, l’excitation était toujours présente mais incontrôlable, j’avais les mains liés dans le dos et les chevilles par contre étaient enfin libre, recroquevillé sur moi-même je la sentais me caresser comme un chat, le tissus fluide courait sous ses doigts et mes hanches se creusaient sous ses gestes…sans rudesse, je sentais ses doigts glisser sur ma fente et dessiner parfaitement le tissus sur le plis formé par celui-ci…je m’allongeais alors sur le ventre courbant la croupe comme pour attendre la caresse . Finalement je me surprenais à attendre le passage de ses doigts…elle se pressa alors fortement à mon anus, je sentais son sexe humide gratter le satin de la culotte…se faisant elle se pressait si bien que je ressentais l’envie dans mon ventre, mon anus semblait ne plus vouloir se fermer et happer un peu le tissus de la culotte enfin humide. Son souffle prenait de la vitesse et ses mains me serraient si bien les hanches que chaque élan remontait son souffle à mes oreilles…ses seins lourds venaient m’écraser le dos et je ne pouvais pas m’expliquer cette envie de l’entendre…puis elle se mis de coté pour mieux passer sa main et finir de se masturber  sur moi et je le sentis jouir. Ses doigts humide à souhait rentaient alors facilement entre elle et moi. Elle enfonça alors un de ceux-ci sans forcer dans mon anus dilaté. Mordant dans le bâillon je l’entendis alors me demander de relâcher mes jambes que essayé de fermer…puis me tenant fermement elle me demanda : qui te domine ?

Entortillé et sans force, je ne pu qu’admettre que je lui devais soumission…elle termina sa soumission en m’offrant son sexe à lécher et prenant son temps elle me jouit dessus.

Il me fallut prés d’une heure pour l’assouvir de ses envies et meurtri de son plaisir elle m’enfonça ses deux doigts comme pour signer ma soumission. Après s’être changée elle revient me détacher…m’obligeant à garde la culotte elle me laissa sortir tout en gardant mon caleçon en trophée.

C’est alors que j’allais l’embrasser qu’elle me bloqua entre ses seins et me demanda, as-tu trouvé mon annonce ? celle qui parle d’une femme qui cherche un homme sévère pour jeu complice ?

Oui, lui dis je. Et bien figures toi que j’ai trouvé …mais j’ai oublié de dire de dire dans l’annonce que je suis encore plus sévère…tu ne m’en veux pas  petit soumis ?

Je la quittais alors pour revenir prochainement partager ses jeux si sévère et si délicieux.

Par Raumarain
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Mercredi 1 mars 3 01 /03 /Mars 20:03

Je sonne à ta porte pour t’informer que ton cours commence…je ferme les yeux et les images me viennent directement.

La porte s’ouvre et je timagines…tu apparais en robe Chinoise fleurie mi longue, celle-ci  se sépare à hauteur du genoux et laisse passer ta jambe habillée d’un bas et pointu d’un talon magnifique ;..

Tu avances dans l’entrée et j’ai mes yeux attirés par tes fesses qui sont moulées dans ce satin et ton balancement de bassin me donne l’envie immédiate de découvrir ta croupe. Par-dessous le tissu on distingue presque la ligne de tes portes jarretelles qui tirent le tissu seulement visible par l’œil d’un homme qui aime voir ce genre de détail et la marque aspirante du string qui le sépare en deux.

Tu me tires par la main et me guidant tu m’invites à te suivre dans et à travers les pièces avant de m’inviter à m’assoir près d’une petite table avec une seule chaise.

Tu as remonté tes cheveux tout comme une femme japonaise en fait, cela te donne une superbe coiffure pleine d’ampleur.

Te dirigeant vers la fenêtre tu tires les rideaux et tu assombris la pièce….une tension sexuelle surgie soudain et mon cœur se met à battre plus fort. Fouillant dans un tiroir près de la fenêtre, tu sors d’un tiroir un petit masque noir bordé d’une couture or que tu glisses sur tes yeux…je te regarde passer devant moi et j’ordonne…remonte ta robe lentement…très lentement.

Tu hésites un peu mais finalement, tu commences en tournant le regard comme gênée, tu fléchis une jambe comme un cheval qui présente le pas…, le tissus remonte lentement et appuyé sur une jambe plus fortement que l’autre, le tissus s’est tendu et s’agrippant une dernière fois dans l’attache frontale avant de remonter comme un ressort sur l’élastique de la jarretelle, tu as une cambrure magnifique de reins sublime dans la faible lumière de la fenêtre, ta respiration s’alourdis comme retombant alors que tu reprends ton équilibre sur tes super haut talons…je ne tiens plus et je me lève pour venir respirer tes cheveux dans ta nuque…glissant mes mains sur le tissus satiné de ta robe, je rentre l’une dans le rabat de la robe et de l’autre je glisse sur le bas finement tendu par les attaches en direction de ton entre jambe.

Je froisse le tissu volontairement pour rentrer en contact avec ton sexe qui s’humidifie directement sous l’action. Tu tends tes bras en cercle au-dessus de ta tête pour les pendre à mon cou comme pour te suspendre et m’aider à t’embrasser dans le cou.

Tu cambres ton bassin dans la lumière, tes fesses à la recherche de l’érection que tu sais provoquer en moi. Mes mains glissent partout de tes seins à ton sexe tout en te plaquant contre moi. Tu respires de plus en plus fort et bientôt tu voudrais te retourner mais tu n’oses pas encore.

À ce moment précis je te tends un foulard que j’écrase contre ta bouche afin de taire tes cris, suivi d’un autre que je commence à nouer sur un poignet avant de te tordre délicatement le bras dans le dos afin de nouer l’autre sans laisser une seule possibilité ni ambiguïté sur le fait que tu ne seras pas le retirer toi-même.

Tu pousses un petit cri de moineau quand  je reviens au contact de ton corps une fois la ligature faite car tu es surprise sur ton manque soudain d’équilibre.

Je te retourne seulement quand tu commences à te courber sous mes caresses et sous les soubresauts de ton bassin à la caresse de ma main sur ton sexe qui est trempé maintenant.

Je regarde autour de moi et je trouve une table basse qui peu te recevoir. Je t’y installe assise et écartant tes chevilles, je te regarde dans les yeux pour voir passer cette rage superbe d’excitation.

Tu es triturée entre te laissé encore faire et prendre la main…mais tu as envie de jouir si fort que tu me laisses faire et appuyé sur tes mains noués dans ton dos, tu me regardes à travers ton masque en train de te nouer tes chevilles de chaque côté de la table.

Puis d’un geste lent je dégraffe ta robe qui s’écroule naturellement sur ton corps mais se bloque sur tes bras tendu en arrière laissant assez de place sur ton soutient gorge noir que je soulève dans le même geste pour faire ressortir tes seins que je m’empresse de lécher autour de tes tetons qui gonflent rapidement.  Je t’entends respirer fort et ta téte bascule en arrière sous le délice des seins.

Je ne perds pas de temps et je plonge sur ton sexe humide que je débarasse facilement de ton petit morceau de satin qui me barre encore la route pour mieux te lécher et tout en te léchant je te titille les tetons…j’use de la méthode jusqu’au moment ou tes cris franchise la barrière du baillon.

C’est alors que je decide de te retourner, frénétiquement je te détache les chevilles et te place à plat à même la table basse et écartant ta robe chinoise…je cherche uniquement à pouvoir contempler cette croupe qui est parrée de ces superbe jarretelles dont les élastiques fendent les fesses.

Je n’ai qu’une envie…te prendre et te prendre…et je ne traine pas…tu sens d’ailleurs très vite mon sexe fouiller ta fente à la recherche de l’orifice magique. Tu essais de mimoder qqch mais tu surmonte le mimodage par un rugissement plein quand mon sexe te pénétre lentement…tu te crispes et le fait de tirer sur tes liens te rends folle ! tu me sens rentrer en toi et tu voulais sentir un autre plaisir avant…je vais trop vite et tu as la tête qui tourne sous l’effet.. ;tu sens que tu vas avoir cette orgasme non controlé qui te fait mal quand il se produit trop vite après le premier…et la lance vient du ventre et te fais glousser dans le baillon, tu sens mes mains sur tes hanches te maitriser et te prendre encore et encore ce qui te fait souffler lourdement car la jouissance monte et monte au point que tu vas exploser quand la chaleur de mon jus va te remplir…ouf…tu exploses …

 

Mais je reviens à la réalité quand tu ouvres finalement la porte…retombant de mon imagination.

Tu portes une robe viscose coloré et fluide style vintage, qui recouvre un charment fond de robe satiné assorti …tu m’embrasses et te collant à moi je devine sous mes mains des dessous identique à ce que j’imaginais sauf que tu as une paire de talons haut rouge vif et plus haut et plus sexy encore que ce que j’imaginais…

Me tirant par la main tu me forces à rentrer en m’invitant du regard à apprécier ce que tu portes…dés l’entrée je remarque des fringues un peu dispercées…

« fait pas gaffe…je savais pas quoi mettre alors j’ai tout sorti pour mettre ça finalement »…

 

Mon regard croise une robe chinoise longue fendue de coté ….miracle ?

Je me précipite vers un fauteuil acceuillant et tu disparais un long moment ??

 Tu viens alors vers moi pour me servir le  café et d’un geste doux tu me passes un bandeau noir sur les yeux.

Comme transformée, tu te sens alors plus franches et le café une fois servis, tu commences par le gouter avant de me donner à boire comme si je ne savais pas boire moi-même.

Tu me glisses la tasse entre les doigts et tu t’assoies sur l’accoudoir du fauteuil. Le silence laisse entendre le plissement de tes jambes gantés contre le tissu qui glisse sur tes cuisses mais ne traduit pas la magnifique vision du haut de tes bas qui se sont dégarnis par l’effort de l’étoffe quand tu as croisé les jambes heurtant ton talon contre ma jambe.

Je déguste mon café aveuglément et tu en fais de même avec moi en glissant ton bras derrière moi, tu te laisses glisser contre moi et tu saisis ma main la plus proche pour la poser sur ton genou le plus haut. Instinctivement je caresse cette offrande et je descends comme invité par la pente de ta jambes me faisant rencontrer rapidement une des attaches de tes bas… je souris de cette découverte et toi aussi de me voir prendre gout à ton piège sensuel. Tu glisses ta main dans l’ouverture de ma chemise et sans attendre du pétri le teton le plus proche, tout en rattrapant ma tasse enfin vide que tu déposes à même le sol. Tu connais ce point faible et tout en le pinçant délicatement comme pour extraire le bruit de mes lèvres, tu me regardes basculer en arrière et apprécier le moment.

Ton autre main glisse elle vers ma boucle de ceinture pour ouvrir la porte de mes dessous et tu ne tardes pas par ce double exercice à extraire mon sexe bandant en guise de drapeau de la victoire. Tu t’attardes à m’embrasser avant de glisser de l’accoudoir comme un chat et ouvrant encore plus ma chemise à dégager mon torse et jouer de tes doigts autour de mes deux tetons comme pour régler une radio. Du genoux tu écartes mes jambes et l’instant d’après tu es à genoux entre celle-ci à t’appliquer à me sucer généreusement le sexe en mimodant langoureusement comme pour appeler le plaisir .

Les yeux toujours bandés je me laisse guider par cette introduction parfaite de soumise que tu réalises…une merveille comme cadeau d’initiation, cela promets une belle relation que d’avoir une soumise aussi volontaire que toi. Je veux pour t’écarter car je sens le jus monter mais d’un geste sur tu retiens mes mains collées sur mes jambes comme pour m’interdire de réagir et cela ne tarde pas à gicler que j’accompagne d’un cri de satisfaction qui se prolonge car tu aspires mon liquide comme si tu n’avais pas jamais bu. Je me tords tellement sous l’intensité du plaisir, que je n’arrive presque plus à bouger et tu gémis encore plus fort de plaisir, tu ne cesses que lorsque le liquide se tarir complètement. Je suis sans réaction assis dans le fauteuil et tu t’ingénues à me débarrasser de mes chaussures et tirant sur le bord de mon pantalon, je me retrouve vite en caleçon chemise ouverte.

Me tirant par les mains tu m’invites…viens et te lovant contre moi je sens ton corps toujours emballé dans le satin de ta robe chinoise glissante et sensuelle. Tu en profites pour retirer la chemise et me guidant toujours aveugle et amorphe de cette accueil vers ta chambre.

Tu me fais passer sur le ventre pour pouvoir monter sur mon bassin et te blotissant contre moi, tu me sussures un mot doux tout en m’embrassant le lobe de l’oreille et t’appuyant sur mes épaules tu commences un massage formidable qui fini par m’endormir en quelques secondes.

Je me remets de ma torpeur au bout de quelques minutes,  je suis sur le dos cette fois et plus de bandeau sur les yeux…la peinombre est toujours là…et je veux pour me toucher les yeux mais impossible…mon bras et comme fixé à quelque chose et bien vite je réalise que l’autre aussi…et les jambes aussi…

Coucou ! tu apparais d’un coin de la pièce, tu ne portes plus ta robe chinoise mais une nuisette courte noir qui arrive au raz de tes bas, laissant apparaitre la pointe inférieur de ton string assorti.

Je veux pour réagir mais tu m’as enfoncé un tissus dans ma bouche qui m’empéche de parler.

Que penses tu de mon jeux de soumise ? tu aimes ? j’ai pas fini…et glissant sur le lit, tu viens t’allonger sur mon corps offert aux quatre coins. Je gemie dans le tissus de rage, cela devait pas ce passer comme cela, c’est l’inverse de ce que tu m’avais demandé de t’écrire ! je ne comprends pas et je deviens fou sous tes mains et de tes fesses que tu t’amuses à pincer mon sexe coincé dans le boxer lycra comme pour l’attraper à travers celui-ci.

Bien vite tu reviens vers mon visage et tu m’interroges : tu veux du sexe ? je suis nerveux, oui j’ai envie mais c’est moi qui devrait te dominer normalement. Tu t’assures de mon désir en m’interrogeant encore et encore tout en me titillant par petit touché sur mon sexe ou mes tetons, mon corps…bien vite, je suis énervé et agacé de ton jeux…et d’un coup tirant sur mes cheveux, tu écartes ma tête et tu glisses un coussin sous celle-ci sans lacher prise et tu remontes avec effort sur tes genoux sans accrocher tes talons que tu portes toujours dans les draps.

Tu écartes alors le bord de ton string qui glisse sur ta peau lisse de ton sexe que tu as complètement rasé. Arrachant le tissus de ma bouche tu remplaces celui-ci par ton sexe brulant qui m’écrase vite les lévres ; tu me foures la bouche et tu insistes si fort que je ne sais pas respirer par la bouche.

Tu appuis de plus en plus fort et hurlant des ordres : voilà ! encore ! voilà , comme ça, bien, plus fort ta langue, encore ! allez ! et pour me faire comprendre l’ordre tu me frappes sur le coté du torses avec une petite cravache ! ce qui me fait crier et toi rire…quoi ? tu as mal ? alors lécher bien, comme j’ai fait ! allez ! clac ! encore clac ! mieux ! clac !clac !

À ce ritme tu ne mets pas longtemps à jouir, et dans un élan de rein tu m’étouffes la bouche totalement en rugissant, « avale mon jus ! », je suis sans haleine quand tu te retires.

Mais c’est juste pour que tu retires ton string car en quelques gestes tu es à nouveau sur moi et tu as repris mon sexe que tu titilles à nouveau tout en approchant tes fesses que tu écrases sur mon visage…léche ! serrant mes couilles, j’hurle de douleur et je m’exécute ! très vite tu grondes de plaisir et tenant mes couilles d’une main, tu tortures mon sexe, « vas y ! » enfonce ta langue, léche !

Il t’en faut visiblement car j’ai humidifier complètement ta rondelle qui s’écarte visiblement et tu écrases parfois ton sexe aussi. Tu rigoles et jouis en même temps tout en m’écoutant raler.

« encore » clac ! mais cette fois ci c’est sur mes couille que tu frappes, j’hurle ! et tu fini par être si humide que tu peux glisser sur mon sexe quand tu te retournes sur moi pour t’empale sur mon sexe en érection. Au galop en appuie sur la pointe de tes talons tu me montes comme un cheval et en guise de reine tu as tendu en travers de ma bouche un foulard pour étouffer mes cris.

Tu montes vite, fort, et tu t’amuses à ralentir puis réaccélérer, parfois tu fais un trot et puis tu me vide en jouant du bassin en m’ordonnant….viens ! lache tout ! encore !! encore ! tu ne stoppes presque pas jusqu à ce que je n’en puisse plus. Tu me rassures en te collant contre moi, « bien, relache  toi »,  « bien,  ferme tes yeux, là, doucement » endors toi…

Vide, épuisé tu me regardes sombrer, et descendant de moi, tu commences à me détacher, inerte, je ne réagis plus.

Tu me roules difficilement sur le coté et tu me couvres de ta robe chinoise trainant sur la chaise dont tu t’étais levé.

Quand je me reveille, je suis ligoté sur le ventre en travers du lit, cheville et genoux sont aussi entravé.

Je ne sais plus quel heure il est mais je sais que je maitrise rien, je pensais dominer mais je ne sais même plus comment j’ai pu y penser ! tu apparais enfin face à moi, tu as passé une jupe légère et fluide style portefeuille. Tu portes toujours tes bas mais plus de string du tout.

Maintenant c’est le dressage mon grand. La prochaine fois que tu viens, tu devras rentrer et te déshabiller directement sans poser de questions. Compris ?

Je veux pour répondre mais ta cravache fend l’air et marbre ma fesse !

Oouff !!! quelle douleur ! Tu tires alors sur une corde qui ramène mes jambes à mes mains ; tirant dessus je me cambre comme une banane et tu soulèves alors  ta jupe en me donnant ton sexe une nouvelle fois, mais en restant debout comme un mec qui bourre une pouf !

« Hummm ! mange ! lèche », je n’ai pas vraiment le choix. Tu me pénètres la bouche et donnant du bassin des petits coup en avant tu mimes la fellation !...encore ! clac ! cela dure un bon moment uo tu altenres rugissement et cravache jusqu’au moment ou je ne sais plus te lécher tellement ma langue est fatiguée, ou je suis tordu, soumis et tu réjouies…encore ! clac !...finalement tu jouis fortement et tu m’exploses les fesses de ta cravache.

Franchissant la ligne d’arrivée, tu m’ordonnes, tu te finis en écartant mes fesses avec ta cravache, j’ai plus de respiration, je suis épuisé et j’ai mal aux fesses.                 

Tu me détaches et m’embrasses langoureusement…bonjour mon soumis…je crois que j’ai choisi mon bord finalement ;…

 

Je pause mes mains sur tes épaules, et je te sussure un petit mot à l’oreille…                                

Je vais alors m’assoir dans le fauteuil et tu viens m’apporter le café , tu disparait un instant et tu reviens avec plusieurs foulards, tu ne portes plus ta jupe noir que tu as troqué contre une longue nuisette noir satiné qui est tout autant fendu et qui ne cache plus les jarretelles,  tu t’agenouilles devant moi en posant ta tête sur mon genou, tu respires lentement mais tu te crispes un peu quand le premier foulard arrives sur tes yeux…le bruit du satin se fermant sur toi te donnes des frissons.

Je fini mon café et je te regarde agenouillée devant moi. Je t’aide à te positionner afin de nouer tes bras derrière ton dos. Tu es dociles mais ta nervosité te trahis. Tu gémis un peu sur le dureté de ton nœud.

Je t’aide maintenant à t’assoir dans le fauteuil et je te pose un nouveau foulard mais celui-ci sert de baillon.

Tu es là devant moi, en partie aveugle, baillonnée, attachée par les mains et comme tu es appuyée contre celle-ci ta poitrine est comme pousse vers l’avant. Le tissus est tendu et tes tetons traverse le tissus noir…tes levres gonfles déjà d’excitation…tu tors tes chevilles sur tes talons en essayant de te placer correctement ce qui te fait croisent les genoux et glisser le pan de ta nuisette sur ton bas tendu par les pinces des jarretelles….je te caresses alors les cuisses et t’écoutes réagir à mes gestes.

Tu gigotes de façon anarchique au debut mais quand mes mains écartent tes genoux, tu t’immobilises d’un coup.

Bientôt un autre foulard entarve tes chevilles et aussi tes genoux.

Tu te rends alors compte que tu es totalement attachées sur toi-même, et retirant le baillon, je te frappe le visage avec mon sexe bandant d’excitation.

Tu voudrais t’échapper mais ligoté comme tu l’es tu ne peux pas échapper longtemps avant de devoir engorger mon sexe et le sucer contre ta volonté.

Tu étouffes un instant mais tu gémis de desir malgré ça…etre obligé de sucer t’excite…tu t’appliques et tu tires de plus en plus, révant presque de l’instant ou je vais inonder ta bouche, tu te surprend à aspirer sans arret et quand la liqueur chaude s’injecte tu ne laches pas un instant et tu continues même de plus belle de sorte que je sois pris à mon piège et que je sois surpris de sentir que tu me vide les couilles avec avidité…mais je stoppe…je me retire avant de t’offrir mon jus.

Je me remets et te regarde gigoter sur ton divant. Tu es chaude et enivrée de ne pas savoir aller plus loin, tu as envie de sexe comme jamais et tu ferais ce qu’il faut pour jouir.

Tu m’implores, demandant de te redonner mon sexe…tu mimodes …miaule presque…t’aidant à t’allonger , je te caresses alors le corps, glissant sur tes courbes et sur tes forment tout en passant sur tes tetons et sur tes levres…forçant le tissus à rentrer dans les recoins et le regardant s’imbiber d’humidité naturele de ta grotte…tu gémis de ces jeux et tu essais d’embrasser ou de sucer mes doigts quand ils passent sur ton visage…tu es avide…tu veux plus.

Je fini par te doigter le sexe d’une main tout en te titillant les tétons de l’autre et les léchant aussi.

Tu rugis de plaisir quand je force ma main entre tes cuisses serrées l’une contre l’autre par les foulards.

Par Raumarain
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Mercredi 1 mars 3 01 /03 /Mars 20:09

C’est le jour du café, je suis heureux de pouvoir frapper à ta porte et je me demande juste ce que tu porteras quand tu ouvriras la porte.

Tu me fais un peu patienter et j’entends finalement tes talons frapper le sol quand tu arrives près de la porte.

Je suis heureux de te voir, tu portes un chignon rapide qui te rehausse et tes talons sont en fait des bottes à haut talons…vernies noir…très classe mais avec un talon si haut que tu es comme perchée et cela te donne un mollet très bien étiré qui se galbe parfaitement sous un bas très fin et fini par une ligne sur l’arrière donnant un effet glamour terrible…surtout sous une jupe en cuir noir qui glisse sur tes hanches. Nous prenons un instant pour nous embrasser sur l’entrée de la porte et c’est une intensité rare qui vient me chauffer les mains…j’ai envie de te retrousser la jupe sur les hanches mais tu me repousses un instant avant de me prendre par la main et me fait rentrer comme un enfant que l’on guide dans un magasin.

Je suis franchement excité et tu le sais, tu as pris le temps de me faire assoir et tout en dégustant notre café, tu prends ma main et la plaque contre ton cœur en m’expliquant le plaisir que tu ressens de me revoir, a travers le tissus se dessine ton soutient couleur foncé bordé de dentelle. Ma main fébrile en tremble d’envie…tu te rappelles notre première rencontre et surtout tu tiens à m’expliquer que tu as changé depuis, tu n’as plus cette force de dominer…blablabla …mais que tu avais trouvé cela si pétillant….et tu fais ta surprise quand je te tire ce foulard soyeux que tu portes autour du cou sur ce petit chemisier blanc en viscose et t’invitant à t’assoir sur mes genoux en t’embrassant, ton cœur s’emballe …et je te remontre à nouveau le nœud surprise…tu restes  perplexe…tu regardes le nœud et tu arrives à le défaire sans forcer

Trop fastoche ! c’’est pas celui-là ! tu triches…je te retire sur moi et je t’embrasse encore à pleine bouche ma main glisse presque entre tes cuisses gantées sous ta jupe…mais tu bloques celle-ci directement en serrant les genoux…coquin ! Tu n’es pas timide pour ça !

Je rougis et cela t’amuse de me voir dans cet état, tu sais que j’ai mon sexe gonflé dans le jeans et tu le caresses de la pointe des ongles tout en m’embrassant…tu joues avec ta langue à me lécher les lévres et tes mains parcourent ma chemise. Je veux pour faire de même mais tu repousses ma main.

Je te laisse faire mais je ne renonce pas et profitant du foulard je te remontre le nœud mais je le passe dans ton dos, tu essais de résister un peu mais déséquilibrée sur mes genoux tu ne peux que te laissé faire ce qui te fait glousser et tu viens mordre ma lévres comme pour me distraire.

Je te redresses t’obligeant à te mettre debout devant moi, tu dandines devant moi pour faire redescendre ta jupe en cuir mais celle-ci à pris un pli qui fait qu’elle est comme rigide…je ne me suis pas attardé à ça, par contre j’ai saisi l’occasion pour passer dans ton dos et serrer correctement le nœud. Tu te rends alors compte que tu es réellement bloquée et que tu peux tirer sur le nœud sans arriver à le defaire cette fois ci. Tu rougis car je te tend déjà un autre foulard que je serre immédiatement sur tes lévres….tu es désarmée de cette façon et surtout tu comprends que tu ne seras pas échapper. L’instant d’après je te pousse doucement pour te faire avancer jusqu’à ta chambre, tu essais de résister encore une fois mais vainement car tu sais que je te lâcherais pas.

Dans la chambre je te plaque directement contre le mur face en avant en appuyant sur ton dos, tu as un cri de surprise et quand je commence à te fouiller tu te demandes ce qui arrive surtout quand ma main passe sous ta jupe et se plaque à ton sexe encore emballé dans cette petite culotte satiné douce et fine.

Immédiatement mes doigts écartent le tissus et cherche une issus quand mon majeur trouve ton trou et y rentre d’une phalange t’arrachant un cri de surprise….surtout quand j’enfonce celui-ci plus loin…tu en courbe les reins comme pour éviter une douleur. Ta jupe est étirée sur mon avant-bras et elle remonte sur tes cuisses coinçant sur le bord de tes bas…des clips les retenant, ils ont freiné la montée juste aux bords inférieur ce qui trahis un porte jarretelle ou un corset…tu essais de respirer plus fort afin de lutter mais le foulard que tu mords t’aide aussi à ne pas laisser ton émotion transpirer trop vite.

Je continue la fouille de mon doigt qui te fait courber et même sursauter les hanches, tu mords à pleine dents dans le foulard de façon à étouffer les cris profonds…ton cœur fait des bonds dans ta poitrine car le jeu prend de la vitesse…je te retourne et te fais face, tu me regarde droit dans le blanc des yeux. Je retire le baillon et tire un peu celui-ci comme pour t’obliger à garder la tete droite quand je viens t’embrasser à pleine bouche,  tu courbes tes reins pour rentre en contact avec ton bassin sur le mien. Tu respires fort et tu gémis entre deux baisé quand je parcoure ton cou.

T’appuyant sur une jambe tu viens entourer les miennes , tu essais même de m’embrasser entre deux passage sur ton cou, je dégraphe ton chemisier et tu ne sais rien faire que respirer plus fort bouche complètement ouverte d’excitation…

Je te prends alors par le bras pour te guider et je m’assois sur le bord lit et tu restes face à moi, j’ai découvert  en te fouillant que tu portais en fais une combinaison sous le chemisier, ce qui me fait comprendre que tu portes bien un porte jarretelle en dessous….je suis excité à mort et je dois me calmer pour pas te prendre trop vite. Tu me nargues car tu sais que j’adore ça…et que tu as mis le paquet !

Je respire à mon tour avant de glisser mes mains entre ta jupe et l’arrière de tes bas…ce que je découvre me fais pincer les lévres… ‘ha, oui…j’ai de quoi te faire perdre ton sang froid là’’

Je suis médusé, tu écartes alors tes jambes coinçant mes mains sous ta jupe : détaches moi !

Je me reprends et je décide de faire autrement, je t’invite à te mettre à genoux et face à toi je sors mon sexe gonflé… tu es toujours attachée mains dans le dos ce qui fais que tu peux presque rien refuser et te tenant par les cheveux je te guide vers mon gland que tu essais de repousser de tes levres mais d’un cou tu l’enfonces directement pour  sucer si fort que je suis surpris et tu mugis de plaisir à ce petit piège car je n’ai pas la force de te repousser  tellement tu me suces. Je dois vraiment prendre sur moi pour ne pas jouir directement…tirant sur tes cheveux pour t’obliger à stopper tu rales de pas y etre arrivée et tu me répètes à nouveau cet ordre mais plus fort ‘détaches moi bon dieu !’ je me dégage et je te plaque sur le lit et passant derrière toi je remonte ta jupe complètement. Tu jures encore une dernière fois quand je replace le foulard dans ta bouche…car tu sais que là c’est la fin…

Je passe mes mains sur tes hanches pour faire glisser ta petite culotte satiné qui roule sur tes bas et se coince dans les attaches, croisant tes chevilles, je les attache ensemble avec ma ceinture en cuir…tu gémis de rages en essayant de gigotter comme tu peux mais tu es maintenant imobilisée à genoux sur ton matelas avec les mains croisées et bien ligotés aussi dans le dos…bref, aucune chance de t’échapper et tu convulses contre une excitation qui te vient du ventre, tu sens mon sexe glisser de ton anus à ta chatte à la recherche d’un accés, mais surtout tes fesses offertes comme des tamtam me donne une envie folle de te fesser…lentement et lourdement, mon sexe rentre presque en toi sous l’étonnement ce qui te fais aller vers l’avant comme éffarouchée…je t’écarte les fesses comme un fruit que l’on veut éclater en deux et ma langue parcoure ton anus à ton sexe, vrombi sous la chaleur et la douceur, mais aussi sur l’excitation qui te rempli, c’est intense car tu sens mes mains partout sans pouvoir rien faire…pire, tu sens que je vais te prendre comme une soumise et que tu perdras alors la position de dominatrice que tu recherchais…tu es si excité que tu mouilles à ruiseler sur tes cuisses…mon sexe qui parcoure ta fente et mes mains qui forcent le passage font que mon gland rentre parfois dans ton cul te faisant hurler de rage….tu te fais enculer comme une soumise ! d’un coup je stoppe et me levant tu me vois fouiller ta chambre…jusqu’au tiroir…non ! pas ça penses tu…mais c’est trop tard, j’ai ton gode préféré dans les mains…je reviens vers toi avec cette arme à la main…tu gémis pour protester mais c’est peine perdu quand tu sens la vibration mené par une main habille rentrer sur ta fente et glisser du sexe au trou, c’est même incroyable de le sentir glisser si facilement en toi…mais pire, quand un autre rentre également, tu te tends comme un élastique et tu vibres sans que je donne le moindre coup de reins ….tu essais de te retenir mais c’est plus fort que toi, bientôt tu jouis en te courbant…comme une rivère sans fond tu glisses…c’est trop fort pour ta volonté.

Te regardant sombrer, je te détaches les mains et les chevilles et t’aidant à monter sur le lit tu restes frustrée de l’attaque surprise. Appuyée sur mon torse tu essais de reprendre conscience tout en gardant à l’esprit  que ta jupe est oujours remontée et que ta culotte est encore coincée dans les attaches…tes talons encore aux pieds…tu respires profdemment en retirant tes talons et ramenant tes jambes autour des miennes…libre, tu n’as plus de force…tes jambes autour des miennes…libre, tu n’as plus de force…

Je décide alors de te briser les reins…faire de toi ma petite soumise en poussant plus loin le jeu…me déshabillant à même le lit, je me fous à poil et tu es presque endormie quand je te resserres les mains à nouveau dans le dos. Tu as essayé de te débattre mais inutilement car l’instant d’après je suis sur toi, et je dégrafe ton chemisier et sortant tes seins , je commence à lécher tes tetons et à les mordiller ce qui te fait à nouveau gémir, sauf que cette fois il n’y a que tes mains qui sont attachées et je peux donc relever ta jupe complètement sur tes hanches dégageant complètement tes cuisses toujousr si élégemant gantés de tes bas mais tu es retombés de ton excitation d’avant et je compte bien te rendre dingue.

Comme pour faire un 69 je me retourne et je te chevauche à l’envers….sauf que tu ne sais pas prendre mon sexe toujours protégé par mon boxer bleu que tu peux seulement titiller à travers.

Par contre j’ai de la marge et je peux sans soucis te lécher ….tu essais de résister mais quand mes mains viennent serrer tes chevilles et que ma tete est inversée sous le bord remonté de ta jupe, tu ne tardes pas à jouir après avoir bien mouillé.

Je te regarde descendre profondément dans ta jouissance, tu vas toucher le ciel et t’aidant à retirer le lien, je me rends pas compte de suite de ce que tu comptes faire mais lorsque j’ai fini de retire le lien tu profites un instant de ma distraction et tordant mon bras, tu y fait un nœud et très vite l’autre main y est rattaché. Tirant sur mes cheveux tu me fais mettre à genoux dans le lit et fourant ta culotte dans ma bouche tu me bâillonnes rapidement et rageusement

Croise tes chevilles derrière toi !j’obeis et je me rends alors compte que tu as vite fait de me placer en« chaise » mes mains se rejoignant sur les chevilles, je ne sais plus trop bouger…ni crier…sans mot dire tu retires mon boxer pour dégager mon sexe à nouveau gonflé mais cette fois ci, je veux pour résister mais tu comprends vite mon jeu et passant dans mon dos tu écrases tes seins sur mes oreilles et me titillant les tetons, tu en viens à me rendre fou, mordillant ici est là, touchant partout de tes mains libre, me masturbant et m’excitant à l’oreille…je resiste tant est si bien puis tu fini par faire le tour et sans un mot, tu t’empales sur mon sexe…je suis à la limite et je gémi à chaque vas et vients….tu arrives même à te faire prendre par derrière et me pompant tu me fais jouir comme un puceau….mais j’ai beau hurlé dans ta culote…tu n’arretes pas…c’est comme un jeu maintenant et tu ne ralenti pas tes hanches, mon sexe est emprisonné en toi et tu me maintien en excitation jusqu’à jouir une fois de plus, tu me laches pas et tu m’ordonnes même de tenir…encore, serrant le foulard autour de mon cou comme pour m’obliger à garder la tete haute. C’est si intense que j’ai des papillons devant les yeux ! tu te retires et tu continue à me masturber même après avoir éjaculé…tu insistes tant est si bien que j’en suis pris de convulsion…et c’est là que tu introduit un doigt entre mes fesses me faisant hurler d’un cou…tu réalises alors la facilité à maintenir un homme à sa merci…me guidant tu me fais hurler comme jamais et même mieux je suis obligé de suivre tes gestes car la douleur interne est terrifiante…

T’appuyant alors sur mon dos et tournant ton doigt en moi qui me fait gémir comme jamais tu me demandes à l’oreille :c’est qui le soumis de l’autre ?

Par Raumarain
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