Dimanche 7 août 7 07 /08 /Août 21:52

Tu as déjà ressenti cela, c’est comme une première fois…ton cœur bat fortement…ta respiration est incontrôlable…tes lèvres sont sèches et gonflées, mais je ne suis pas là non plus…

Tu hésites puis tu te diriges vers la chambre, tu te rappelles que les rideaux étaient ouverts ce matin…et il fait pénombre…donc…et effectivement dés que tu as franchi la porte tu ne me voies pas mais tu sens ma présence dans le coin…tu te glaces de peur…et de désir …tu n’oses pas bouger, comme si tu pouvais disparaître en deux secondes si tu restes immobile…stupide car très vite tu te rends à l’évidence que tu n’as pas disparue et de fait tu oses parler mais sans te retourner…que dois je faire ? Sans répondre je me redresses du coin dans lequel je suis depuis quelques minutes et j’avance lentement me plaquant à tes fesses moulées dans cette jupe un peu satiné bleu rehaussée d’un top blanc qui semble perdre sa bretelle facilement.

Tu regardes sur le lit et tu t’aperçois que j’ai fouillé ta garde robe proprement mais à fond car j’en ai extrait des ceintures de peignoirs et autres foulards…que ce passe t‘il, tu veux te retourner pour demander des explications à ton grand désarroi car je tiens tes épaules et que je n’ai pas envies que tu te retournes maintenant…mes mains descendent lentement accrochant es bretelles du top qui ne tarde pas à se retrouver sur tes hanches…tu es un peu fébrile car j’ai soulevé ton soutien gorge et j’ai pris tes seins à pleines main. Déjà je te sens te raidir sur tes talons et tes mains prennent appuis sur les poches arrière de mon jeans approchant ainsi plus fort tes fesses gantées dans ta petite jupe contre mon sexe déjà gonflé à travers mon jeans.

Houla…on est excité monsieur…je me penche à ton oreille et la mordillant un peu je te parles : je vais te faire taire un peu…et relâchent tes seins je sorts un foulard subtilisé dans ton armoire et d’un geste ferme je te bâillonne en étouffant un petit cri de surprise…et comme pour continuer sur la lancée je passe mes mains devant toi et tout en t’expliquant mes gestes je te montre une ceinture de peignoir en satin j’y fait deux boucles et tout en prenant les deux cocardes je fais un nœud coulant avec…ce qui donne deux oreilles que je glisses à chacune de tes mains et lentement je tire sur les deux bouts de la ceinture qui se referme sur les poignés doucement mais fermement...puis avec la ceinture je viens la refermer sur ta taille bloquant tes mains devant toi à la taille…tu as déjà senti l’ognon mais là c’est trop tard…tu te sens bloqué. Je remonte m’occuper de tes seins car tu es ma merci et je m’appliques, d’abord les tétons pour te faire monter d’un cran….puis la corolle ensuite le sein tout entier.

Tu tressailles sur tes talons car  le désir monte, tu gémis dans le foulard et tu sens mes mains qui glissent l’une après l’autre à tes hanches. Lentement je retrousse ta jupe sur tes cuisses, tu bascules ta tête en arrière sur mon épaule droite comme pour me laisser plus de facilité pour atteindre ton sexe que je palpe déjà à travers ta culotte de satin et le bord de tes bas se frottent contre ma main audacieuse…tu cambres les hanches un peu plus et bientôt je te sens frémissante car mon sexe…tu voudrais me dire ton désir mais le bâillon retient tout en transformant les paroles en gémissement, tu grondes presque et je te retourne pour te faire face…je te repousse sur le mur de la chambre…tes mains sont ouvertes comme pour attraper une balle mais surtout ce sont mes cheveux que tu attrapes…car je suis à genoux devant toi et lentement je te retire ta culotte en prenant soins de ne pas toucher les bords de tes bas. Ton sexe m’est presque offert mais la position n’aide pas alors je passe une de tes jambes par-dessus mon épaule et je m’applique à l’embrasser lentement puis plus fort et finalement ma langue se ballade sur ta vulve ce qui te fais saisir mes cheveux à pleines mains…tu approches même du plaisir quand je m’arrête net…et me redressant sur toi tu reprends tes esprits…je te guide vers le lit et t’aidant à t’asseoir je te retire le bâillon pour te le placer sur les yeux…je t’explique que si tu parles je remets le foulard…tu sembles acquiescer de la tête et tu t’humidifies les lèvres…tu t’imagines un peu car dans le feu d l’action tu as fermé les yeux mais tu réalises que tu es toujours à ma merci…tes mains sont un peu endormis dans cette position…pour t’alléger je déboucle le nœud de ceinturage. Tu souffles un peu tes lévres reprennent leur couleur doucement et tu sens quelque chose de chaud sur ton visage, je l’approche de tes lévres et tu reconnais de suite l’objet que je force un peu mais que tu acceptes et toi aussi tu t’appliques…tu cherches à me faire monter un peu la pression pour me remercier peut être ou alors simplement parce que c’est difficile de dire non dans ta position…sauf que tu l’apprécies seulement que déjà je le retire…et te repoussant sur le dos tu retombe sur le lit, je place tes mains au dessus de ta tête, toujours attachées…alors je redescend sur ton sexe offert et saisissant tes cuisses je masses le bord de tes bas qui me fond un effet bœuf….tu rigoles un peu et tu penses …un point faible…tu te rappelles avoir vu un port jarretelles sur le dos de la chaise…il l’a trouvé et sorti …

Je m’applique encore sur ton sexe et mais mains ne restent pas inactives car je tiens ta poitrine en respect également …ce qui a pour effet qu’après un moment une synchronisation à lieu entre ta respiration mes mains et la caresse de ma langue qui passe aussi largement que possible sur ta vulve…une main s’égare de son travail pour descendre sur ton ventre et ton clito, puis l’autre aussi…finalement l’explosion arrive , mais je ne semble pas en tenir compte…car je continue et je parts même de temps en temps appuyer un peu sur ton anus avec la langue histoire de voir comment tu réagis….

 

Après quelques plaisir je te détache complètement et t’invite à t’appuyer contre mon torse…lentement tu sombres dans un repos et moi aussi…nous discutons un peu et tu me demandes pourquoi j’ai sorti des  affaires de l’armoires…je t’explique que ce sont des dessous que j’aime, il y a un porte jarretelles, une nuisette noir et son peignoir et d’autres choses…tu te redresses et j’appuis ma tête sur tes genoux, mon nez directement en contact avec un bord en dentelle de tes bas et je m’endors un peu sous les caresses que tu me prodigues dans les cheveux…

Par toutenfantasme.over-blog.com
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 16 octobre 7 16 /10 /Oct 21:30

je voudrais simplement te raconter ce qui m'a boulversé il y a peu. Beaucoup de choses sont apparues depuis, je vois la vie différement et je ne m'explique pas encore tout.
j'étais partie chez cette femme parce qu'en discutant avec elle au boulot elle recherchait un électricien pour lieu monter une applique, un luminaire.
A force de m'en parler, j'ai fini par lui dire que je pouvais lui monter, je ne voyais rien d'autre derrière cela vu qu'elle ne m'a jamais fait comprendre quoique que soit.
j'avoue que je la trouvais jolie malgré son age...52 ans..mais j'avoue aussi que j'ai toujours eu un faible...et même un atrait terrible pour les femmes mures...je suis comme cela, je ne me referais pas!
j'ai donc accepté et j'y suis allé un samedi matin. non sans une idée derrière l'oreille, mais je n'entreprend rien, c'est un principe...
tout ce passé bien, j'étais à l'heure, pas de bouchon...nickel.
j'arrive la bas et je commence desuite, c'esd dans sa salle de bain et donc je vérifie que le courant est coupé...et une fois à l'ouvrage j'ai remarqué qu'elle avait accroché ses peignoirs et ses nuisettes au dos de la porte.
J'ai continué à travaillé et une fois que j'avais fini, je me rince les mains et en voulant me sécher les mains, je m'essuis dans une nuisette sans faire exprés!
je suis confus! je fais semblant de rien et je retourne vers la cuisine pour le lustre.
Entre temps elle m'avait servi une biere, chose que je ne fais jamais, je l'ai bu car ce mois de mai était trés chaud.
puis j'ai fixé le lustre dans la cuisine et elle est revenu vers moi quand j'avais fini. elle voulait dépendre une vasque de fleur de la cour.
j'ai voulait l'aider et la tout en soulevant les bras, la vasque a basculé et elle était remplie d'eau et de terreau! j'ai tout reçu sur la cafetière! complètement cru!
elle le savait car elle avait expressement attaché un pied sur trois pour le retenir et je l'ai pas vu! j'ai rigolé sur le moment j'étais trempé!
En attendant m'a t'elle dit, "va te changer j'ai un peignoir de bain, je vais mettre tes affaires à sécher dans le séchoir", dans une demi heure ce sera sec.
je voulais retirer mes fringues mais je cherchais son peignoir de bain avant quand elle est rentré dans la salle de bain et m'a dit de me doucher car j'avais de la terre dans les cheveux, puis elle est revenu prendre mes vétements et me préparer le peignoir.
sauf que je pensais à un truc en éponge et c'était un des peignoirs que j'avais essuyé mes mains  dedans!
j'ai fait semblant de rien je l'ai mis mais j'étais pas fière.
puis elle m'a demandé de venir, je voulais pas sortir comme cela, nu! enfin presque! j'avais l'air stupide dans ce peignoir à fleur! elle m'a remie une bière et m'a dit de venir dans la cour au soleil en attendant que cela séche.
j'ai attendu en buvant la deuxième bière, j'avais un peu la tête qui tournait! je lui ai dit que j'étais géné et que je voulais pas que cela ce sache! surtout à l'usine! j'aurai l'air de quoi face à mes hommes.
Ne t'inquiéte pas! m'a t'elle dis, je ne dirai rien.
Je suis resté en peignoir dans la cour puis elle est revenu elle aussi en peignoir tout noir sur des bas et des talons.
 elle m'a dit "comme cela on est ridicule à deux!" je savais pas ou regarder car elle me dévisageait et voyait que j'étais troublé.
Je l'ai suivi, elle voulait me remercier d'être venu faire ces travaux.
cela n'a pas trainé, elle m'a fait la suivre et bander les yeux en me demandant de ne pas tricher. j'ai suivi, je ne sais pourquoi.
j'étais sec, légé et un peu sou...je flottais, je l'écoutais. elle m'a fait assoir sur un son lit, je ne savais pas quoi dire...
Je m'imaginais simplement une gatterie, mais en même temps, je ne savais pas résister
je me suis assis et j'ai attendu; puis elle et revenu par derière moi et j'ai senti un froid sur mes poignés dans le dos et en quelques secondes. je me suis retrouvé pris, elle m'a plaqué sur le dos et ses mains m'ont parcouru, elle m'a fouillé, titillé, cela a duré des minutes et des minutes!
je voulais parler mais je n'avais pas la force, elle m'a léché les tétons, je savais pas que j'étais si sensible et en même temps elle me masturbait. Je voulais me relever mais elle m'a grimpé dessus, bloquant mes épaules et m'a obligé à la sucer, elle me masser les pointes en même temps. je ne savais pas me retenir de gémir sous ses doigts et quand je voulais arrêter elle me pincait les pointes si fort que j'hurlais à sexe pour lui faire comprendre de plus faire ça, mais j'ai du la sucer. Elle écrasait sa chatte à mes lévres et en même temps cela m'éxcitait...je voulais pas mais je prenais plaisir...puis elle a jouis sur moi en me tenant les cheveux et m'a félicité.
Je pensais à ce que l'on dirait si cela ce savait...et je sentais ses doigt entre mes fesses quand j'ai compris qu'elle avait glissé un objet fin et froid, comme une pile!
j'ai crispé les fesses mais elle avait certainement graissé car s'est rentré facilement comme un supositoire et quand j'ai joint mes pieds elle à fait un noeud à mes cheville à une vitesse inouie! je n'ai pas su réagir et c'étais trop tard!
Je voulais me redresser à nouveau mais elle a regrimpé m'a obligé à la sucer à nouveau...elle prenait le temps et m'ordonner de lécher plus fort et elle me pincait...elle à rejoui aprés quelques minutes en rigolant trés fort de joie.
puis elle m'a laissé comme ça sur le lit, m'ordonnant de ne pas bouger, puis elle est revenu avec qqch et me la fait glisser comme un short par mes chevilles. je me reconnaissais pas, je b... comme un fou c'est simple je devenais fou, elle m'a massé avec le tissus puis elle a retiré le foulard de mes yeux et la mis dans ma bouche. et m'a montré ce qu'elle m'avait enfilé...une nuisette! elle m'a demandé de me redresser en m'aidant.
j'étais rouge vif, j'avais chaud, elle a dégraphé les bretelles de la nuisette et les a réattachées dans mon dos en replacant le peignoir. lentement elle m'a mis du gloss et du masquara sur les cils, puis m'a fait regardé dans une glace, en me traitant de belle s......e . elle prenait plaisir à me "transformer" en S.....;...elle jouait avec la pointe de ses bas sur moi et me faisait sentir ses pieds, me frotté en me faisant monter et tortiller puis ...je sentais l'excitation retomber; l'angoisse aussi qui monté, je n'aurais jamais fait ça si elle l'avait proposé. Mais elle m'a surpris d'une façon que je n'ai pas su la repousser et me montrer fort, elle savait plein de chose sur mon corps.et ces ordres...sa façon de se frotter,  Puis elle m'a avoué que la bière était mélangée a  qqch...sans me dire quoi...elle m'a raconté qu'elle voulait me 'dresser depuis longtemps' pour elle.
je me sentais bizarre, vulnérable, puis comme je ne répondais pas, elle à allumé son truc qu'elle avait enfoncé et j'ai senti la vibration dans mon ventre...intense...et elle m'a chevauché en me regardant perdre la tête sous la vibration.
je voulais me retenir mais c'était terrifiant, quand je me retenais du mouvement de ses reins, la vibration me fesais prendre un autre chemin...et j'ai jouis, elle a tout pris en elle en se touchant les seins et bondissant rapidement se qui amplifiait encore plus la vibration de son petit god doré.
j'ai subis ses attaques à trois reprises...puis, à la fin d'aprés midi, elle m'a laissé dans son lit en me détachant.
je me sentais fébrile, et trés excité en même temps...elle m'a dit que je pouvais dormir la si je voulais
Je me suis réveillé toujours habillé et j'ai pris conscience que j'avais dormi habillé comme ça sans me sentir géné...mais en même  temps je me sentais à elle
je me suis rabillé car mes fringues avaient réapparue et sans rien demander je suis parti...du lundi elle m'a toisé à l'usine en m'ignorant presque....j'espère remonter bientôt un autre luminaire...qui sait...

Par toutenfantasme.over-blog.com
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 17 mai 4 17 /05 /Mai 00:45

J’ai une journée à finir, je range les derniers outils et je me rince le visage…c’est pas tout les jours que l’on a un rendez vous si prometteur ! je sais que je ne devrais pas, elle a cette atitude qui me fait peur.

 

Toujours sure d’elle, un peu vigoureuse pendant les ébats mais j’aime cette vigueur au fond de moi. J’ai découvert il y a peu qu’elle aime dominer…je la laisse fantasmer sur ces moments ou elle me promet un godage en bonne et due forme ! ce soir c’est un grand soir, elle m’a promis un tour gratuit !

Je démarre la moto et je me rends à son domicile pour la soirée…je sais que l’on ne mangera pas, mais que l’on va se déguster…elle a toujours faim…

Je viens de rentrer et je m’installe tranquillement dans le salon, je l’attends, elle va revenir, que portera t’elle ? je l’imagine dans un déshabillé noir satin long, qui cache des dessous torride.

Je ferme les yeux et je l’entends glisser ses talons sur le parquet, elle passe derrière mon épaule et me caresse les cheveux, ses mains glissent et je veux ouvrir les yeux quand je sens son foulard qui s’imprime sur mon visage…visiblement je n’aurai pas le dernier mot ce soir d’après ces plans.

Je me laisse conduire mais en même temps je voudrais lui faire perdre le fil de ses plans.

Quand elle commence à me déshabiller comme à son habitude, je frissonne…elle s’arrête et me touche…lentement, je sens son regard sur mon corps…elle savoure son repas.

Je commence à bander sous ses doigts et elle se plaque à mon dos, je sens le fluide de ses déshabillés me froler le dos, je pourrais me laissé faire…d’ailleurs elle me rassure et commence à me croiser les mains…je sais ce qu’elle va faire…

D’abord me ligoter les mains, poser le collier, puis me conduire à son lit…je devrais me taire sous peine de punition qu’elle fera malgré tout car elle aime prendre son temps et me réduire à la cuisson...je devrais me mettre sur le dos et elle va lier mes chevilles au coins du lit ou pire sur le barreau supérieur… ensuite elle me donne cette fessée si forte que je râle finalement elle sort le fouet pour me rougir les couilles…enfin elle va me prendre mais par devant en me regardant dans les yeux en me bâillonnant cette fois de façon à ce que je ne puisse pas hurler.

Quand je vais jouir, elle va rattraper ce qu’elle peut de mon sperme et le lécher sur mon corps…si je ne viens pas assez vite elle me retournera pour mieux me pénétrer en me tenant les mains dans le dos comme une bride de cheval…

Alors je sens qu’elle a déjà enfilé le gode ceinture mais cette fois ce sera différent…cette fois je ne me laisse pas attacher car cette fois je lui fait face et le foulard tombe…je lis son étonnement mais je ne la laisse reprendre ses esprits et les menottes finissent sur ses poignets malgré ses cris…

J’étouffe ceux-ci très vite avec les bas qui trainent sur les lieux et je vois ses yeux se remplir de colère quand je serre le bas sur sa bouche qui s’entrouvre. Elle cherche à se débattre mais je résiste à sa colère et le collier se referme sur son cou…je sais que je fais une grosse bavure mais cette fois je prends la main…

Le collier a une force terrible à ses yeux et elle ressens la force de celui-ci. Elle semble se résigner et me regarde lui enlever son penis ! c’est un choc car elle raidi. Je prends la laisse et la tire comme une chienne, ses talons ne font plus le même bruit car elle doit trouver son équilibre…elle rage mais les menottes sont sérrées…elle hésite et se retourne en me toisant comme pour me dire il est encore temps de revenir en arrière…mais je la bloque avec le collier et la force à avancer.

Pas un mot ne traverse le bas, pourtant elle pourrait raler sans soucis…mais je sens une rigidité de sa part qui me fait comprendre qu’elle n’apprécie pas.

Nous avançons et une fois dans la chambre je la pousse directement sur le lit sans lui laissé le choix.

Les liens qui trainent dans la chambre et aux barreaux du lit vont me servir et je la laisse me regarder retirer tout les nœuds qu’elle avait préparés.

Je reste de marbre et puis je reviens sur elle.

Je lui retourne le baillon car je sais que cela me privera d’un plaisir buccale si j’ai l’envie…

Elle malaxe l’air pour récupérer la souplesse de ses joues. Et je la pousse sur le ventre.

Lentement je commence mon plan.sans lui retirer un seule détail de sa superbe tenue, je prépare le terrain et du collier je commence à lui relier les genoux pour lui limiter le mouvement.

Tirant à mon aise elle est obligée de monter ses fesses en buse et commence à comprendre ce qui va lui arriver…

Sans un mot, je souléve son déshabillé et j’admire ses fesses bordés de ses bas et fendu par les attaches du porte jarretelle…sa culotte tendue n’arrive pas à cacher son sexe qui s’amplifie sous l’excitation. Puis le fouet rentre en action en marquant ses fesses du premier coup. Un petit cri me fait sourire, elle enfonce son visage dans les draps.

Je prends plaisir car je veux te faire tomber de ton role. Tu vas crever de plaisir !

Je reprends la torture du fouet entre chaque excitation de sa chatte, et je lui enfonce le manche du fouet dans le trou en même temps, il s’ouvre progressivement d’ailleurs. Elle pince ses lévres comme pour retenir ses cris et de la laisse je la tire entre deux coup de fouet…pour lui donner la cadence.

Bientôt ses fesses et sa vulve ont la même couleur, sa culotte est détrempée et le fouet à imprimer le tissus de sa culotte en rentrant de plus en plus…

Je fais alors le tour du lit pour lui présenter ma verge et lui tirant les cheveux elle ouvre la bouche ou j’engouffre mon sexe gonflé.

Je lui branle la bouche et le jet monte que je retiens comme je peux tout en lui lachant une partie dans la bouche…je lui ferme pour qu’elle l’avale de force et je retourne sur son cul.

Je fais tourner la culotte sur une fesse et je lache mon penis qui lui coule le sperme sur la raie…un parfait lubrifiant qui sous la chaleur à comme effet de faire ouvrir le trou. Alors je me dresse et je présente le gland gonflé qui glisse sans soucis…aucune résistance n’est possible tant le lubrifiant est efficace.

Un gros rale me fait comprendre qu’elle craque sous la pénétration.

Je le fais rentrer autant que possible en tenant bien les fesses serrées et je commence à pilonner…fermement, profondément…lentement.

C’est intenable visiblement car elle grogne en se croquant la tête dans les draps.

J’insiste la charge et les liens font le reste. Malgré son envie de se détendre c’est impossible ce qui l’oblige à tout ressentir.

La soumission est certainement fort pour elle car les spasmes de jouissance semble profond.

Je prends mon temps et me vide complètement en elle en butant bien loin….

 

 

Me retirant je lui retire les menottes et relâchent les liens…la laissant se débarrasser des cordes…

Je lis une sorte de plaisir et de rage dans ses yeux et elle vient poser sa tête sur mes genoux. Je suis fière jusqu’au moment ou je ressens le froid des menottes qui se ferment sur un poigné et une cheville.  L’instant d’après je suis serré en crois cheville et poigné et ses jambes ensserrent ma gorge comme une lutteuse…j’étouffe presque puis cela relache et le collier change de cou, je suis surpris à mon tour mais cela ne s’arrête  pas là car des liens viennent compléter le tableau, et j’ai beau réfléchir à me tirer de la que bientôt je suis immobilisé comme un pouf ! je n’ai pas le temps de réagir qu’elle me fourre une boule dans la bouche ! il m’est impossible de parler tellement cela me bloque la langue et elle me murmure à l’oreille : attend ! …tu en as pour des heures salopes ! tu vas prendre cette fois ! tu vas finir par demander pitié !!

Et j’entends la porte se claquer…

Par toutenfantasme.over-blog.com
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 30 juillet 1 30 /07 /Juil 01:45

j'avais pris une pause à midi comme d'habitude seulement cette fois je m'étais décidé à prendre mon temps.

me dirigeant vers le snack habituel, je garais ma voiture à coté des autres mais une chose me troubla quand je sorti, j'avais déjà vu cette seat grise ailleurs...mais je n'étais pas certain.
je sentais une présence mais ce n'étais pas possible car nous n'avions rendez vous que dans quelques minutes..aurait elle pris de l'avance, peu probable mais par sécurité je regardais à l'intérieur.
ce genre de femme laisse toujours trainer un truc ou l'autre et si c'était bien son véhicule j'y trouverai une touche féminine qui me certifierait mes doutes!
j'avançais et presque à la fenêtre, je jetais un rapide coup d'oeil quand je me redressais pour revenir sur mes pas...elle était là devant moi. coincé dans l'allée entre sa voiture et une autre, je ne savais pas m'échapper cette fois.
Elle s'appuya sur le toit de sa voiture et pinça ses lèvres, elle portait un ensemble jupe cuir sur un chemisier satin pris sous sa veste en cuir rouge... trés chique ses jambes se terminait par un talon haut noir assorti à son sac dont elle sorti une telecommande et ouvra la voiture.
Entre, je monte en passagère...bluffé par tant de charme je m'éxécutais.
elle fit le tour de la voiture et une fois que je fut au volant elle rentra en claquant la porte et verrouillant celle ci! pris au piège! elle me regarda dans les yeux...
enfin, tu es là! elle se reculat dans son siège et m'observa. tu es pas mal mais je t'imaginais plus musclé!
Merde alors, moi qui croier la tomber je tombe de haut, elle est déçue. elle s'approcha de moi et me regarda droit dans les yeux, tu m'embrasse pour voir? je ne su pas même répondre mais l'instant d'aprés sa langue rentrait déjà dans ma bouche et sa main touchait mà nuque pour augmenter le contact. Puis elle se dégagea net.
Moui, bon, pas terrible!
pas terrible! comment elle y va! elle déverrouilla a voiture et me demanda de sortir.
j'étais un peu choqué de l'entrée en matière mais bon, c'était clair. pas de doute, je ne lui plaisais pas. Au moins je n'aurais pas sur la concience le fait d'avoir batifolé avec une femme... j'étais à peine dehors de la voiture qu'elle m'appela à nouveau.
vient un peu? j'approchais d'elle coté passagé et elle me toisa à nouveau.
Tu crois que tu aurais pu assumer ? Heu...je n'en savais rien, ce n'est pas les rare rapports que j'ai qui pourrait me rassurer! elle vit de suite que j'atais hésitant et sans que je puisse répondre elle conclut...tant pis!
Dommage! pour moi! je pensais que tu aurais pu faire l'affaire...
je lui répondi enfin, écoute, je n'en sais rien, je suis désolé de notre rencontre aussi rapidde soit elle. C'est dommage oui, mais peut être que c'est mieux ainsi.
c'est alors qu'elle sorti un truc de son sac. et s'approchant de moi elle se plaqua littéralement à moi sur sa voiture.
je sentais ses seins et son corps tout entier contre moi, instentanéement je senti l'excitation grimper en moi. Elle se passa la langue sur les dents comme pour réfléchir sans lacher mon visage...puis je senti une légére piqure sur mon cou.
Aïe! bouge pas me dit elle. c'est une piqure et si tu bouges je pousse dessus et tu tombes.
compris?
je ne savais pas quoi dire sauf oui!
tourne toi vers la porte de la voiture et ne dit rien. Elle me tenait en respect par derrière...donne tes mains...cric...ccrriccc voilà! monte dans la voiture.
elle m'aida à rentrer en me tenant l'aiguille sur le cou, menotté dans le dos je savais pas trop me débattre et une fois assis elle se pencha sur moi à l'intérieur pour boucler ma ceinture....je suis fait!
elle lacha la seringue entre mes jambe et je compris quelle plaisantais pas, trés fine elle contenait un liquide...je paniquais un peu car je voyait l'aiguille vers mes couilles!
si tu bouges je l'enfonce! t'as compris?
bon! laisse toi faire maintenant! elle poussa une petite compresse sur mon oeil droit et un autre sur l'oeil gauche...puis un bandage sur le tout.
l'instant d'aprés elle m'y la voiture en route et je sentais la ceringue qui se baladait entre mes jambes...j'avais pas le choix cette fois.
elle m'informa, si on nous arrête tu te taits, tu as été opéré aux yeux et je te reconduis, ok? Ok! maintenant on cause et tu réponds, sinon je t'emfonce l'aiguille!
es tu prét à devenir ma femme? heu...non...pas de trop...
Alors je vais devoir te convaincre que tu es une femme me dit elle. aveugle et menacé je n'osais pas bouger...je sentais le tanguage de la voiture mais je ne savais pas dire où nous allions, mais ce qui est sur c'est qu'elle savait où!
aprés un certain temps que jene sais pas déterminer, elle stoppa la voiture et me fit descendre toujours menotté et sous la menace.
j'étais guidé par sa voie et les menottes qu'elle tenait par le coté sous un manteau certainement.
je n'entendais pas un bruit, même pas une voiture...l'air était frais, propre, la campagne?
une fois à l'intérieur, elle retira les menottes et elle m'ordonna toujours sous la menance de la ceringue à retirer on polo et me mettre à genoux....avance!
je butais sur quelques chose et elle me plaqua sur le ventre me demandant de croiser les pieds et me donner à nouveau les mains dans le dos.
je sentais les liens se faire et je ne réagissais pas.
bientot mes mains mes coudes étaient bloqués et l'insant d'aprés mon jeans qui était sur mes genoux fut tirait avec vigueur, seul mon boxer me protégeait encore, mais la suite ne me rassura pas quand je sentis les leins se faire des genous à chaque pied de la table basse.
puis elle retira mon bandage et je la vit face à moi...
Toujours pas décidé à devenir ma femme me dit elle...j'allais répondre mais trop tard elle m'englouti son collier de perle dans la bouche!
j'étais fait! prisonnier et attaché. elle disparu un instant et revient aussi tôt mais derrière moi, je senti mon boxer glisser et ses doigts m'écarter les fesses et une sensation froide me fit refermer celle ci!
Inutile ma grande, avec ça, ça va rentrer...et je senti une douleur lente me penetrer, je me tandait dans les liens mais rien n'yfait, elle m'avait bien attaché...lentenement elle rentra ce truc en moi qui me fesait gémir à travers le collier de perle...
voilà...on va commencer...tantot tu t'habilleras devant moi! dit elle fièrement en me remontant le boxer...
c'est comme une tisane, il faut laissé agir un peu...je te laisse je vais prendre une douche et préparer tes affaires pour tantot ma grande...
Ho! avant j'oublié presque, elle me retira le collier de la bouche et retira sa culotte de sous sa jupe en cuir, puis elle retroussa celle ci au dessu des attaches de ses bas et ecarta les jambes pour se planter face à moi sur la table.
regarde le bien, je l'ai rasé ce matin en pensant à toi...elle tira mes cheveux et me planta son sexe en pleine bouche, lèche! et sois bon...
je ne savais pas faire autrement et donc je m'appliquais elle pressait ma tête entre ses cuisses, ses bas frottaient mon visage et m'excitait fortement... mais un clac! singla l'air et je senti une douleur sur mes fesses, encore!
Elle riait en se fesant mousser, ...c'est bon hein? si tu me fais pas jouir tu seras plus t'assoir!
son fouet me brisait les fesses à travers le boxer et elle sentait ma douleur sur son sexe à chaque cout donné par la réaction de ma bouche...bientôt je sentais son jus venir et elle pris plaisir à me violer ainsi...Voilà! encore, c'est bien, HOUUUUURR, Tu as compris ma grande?
je respirais à grand trait, essouflais pas l'effort, je ne savais pas répondre, je sentais surtout l'objet qu'elle avait introduit en moi me ravager lentement...et malgré moi...j'étais en état d'excitation intenable...elle me renfonça les perles pour me tenir silencieux...
elle se rajusta et s'éloignant en faisant claquer ses talons elle disparut me laissant à mon sort irreversible...
bientôt je ne tenais plus et à force de vouloir me débattre je ressentais la douleur qui se transformait en douceur en moi, et aprés des minutes interninables les lévres brulantes, je sentis que je jouissais malgré moi...effondrait sur la table et toujours attaché ...elle m'avais observait approcher le plaisir et perdre mes forces agenouillée derrière moi elle me masturba comme on trait une vache et je jouis sans pouvoir me retenir dans un tissus qu'elle me passait sur le gland comme on mouche un enfant...
voilà encore un peu et profitant de sa position elle me vida malgré moi...je ne savais plus quoi penser...ma tête vibrait, j'étais secoué par le plaisir...
puis elle me fit face et me détacha...lentement...et autant le collier de perle...elle me montra ma tenue préparé sur le dossier de la chaise...
passe d'abord les bas et puis fini le tout par la nuisette.
ensuite va dans l'autre pièce t'allonger sur le lit, j'arrive pour ta leçon ma grande...
je n'osais pas lever la tête et je sentais se truc encore en moi qui me rendait dingue.
je me changais sous son regard et ses conseilles, un cou de fouet se perdait si je n'étais pas parfait...aprés quelques instant, j'ajustais ma perruque et sous son regard satisfait, je parti dans l'autre pièce m'allonger docilement....

Par toutenfantasme.over-blog.com
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 6 février 3 06 /02 /Fév 16:41
j'arrive dans cette rue, je suis anxieux, peut être que je ne trouverai que porte close, peut être qu'elle ne sera pas là...
Je ne frappe pas...et je fais jouer la clé dans la serrure...j'entre et fébrilement je referme la porte, dépose la clé...avance vers les lueurs des marches, je retire mes chaussures pour feutrer mon déplacement...pas à pas je souffle chaque bougies comme pour refermer le chemin derrière moi, non retour, il faut avancer malgré le rythme de mon coeur qui bat la chamade dans ma poitrine...je pousse une dernière porte entrebâillée et je me concentre sur la dernière lueur de la pièce...sans mot dire et sans me dévêtir j'avance vers la lumière et je retire ma montre comme demandé...je découvre et ressens les paroles d'une chanson. De derrière je t'entends approcher et tu éteins la dernière lueur...le noir joue enfin son rôle de façon absolue nous mettant à égalité. Des geste doux m'invites à retirer mon cuir en le faisant glisser de mes épaules, telle une poupée je me laisse faire. ton parfum subtilement vaporisé enrobe l'atmosphère
Lentement tu glisses autour de moi pour te lover dans mes bras, nous échangeons ce baiser si fragile, si désiré que le silence se tait à son tour...tu es fiévreuse, et j'ai besoin d'un autre baisé pour reprendre pied à la réalité, tu glisses tes mains à ma nuque en les croisant.
Je ressens la finesse de ton déshabillé qui se froisse sur ta peau provoquant ce bruit électrique. Mes mains glissent vers le creux de tes reins me laissant palper les attaches fines de tes dessous que tu as disposé à mon plaisir et à nos envies... me tournant le dos, le temps ralenti...se suspend..s'arrête...juste le moment subsiste. nos bras se croisent l'un dans l'autre enveloppant ta poitrine soyeuse dans la parenthèse qu'ils forment.
La mélodie du rythme de nos coeurs nous balance. Je respire tes cheveux et mes mains  me chatouillent déjà de désir.
Tu léves tes bras pour attraper ma tête par dessus la tienne laissant ta poitrine libre à l'exploration de mes mains qui ne tardent pas à te plaquer contre moi, augmentant la pression de ta croupe à ma taille. La chaleur provoquée par cette évènement me rend allergique à ma chemise doublée à faux col grise...Dans cette obscurité tu m'aides à combattre cette allergie frénétiquement profitant de l'occasion pour glisser tes mains sur mon torse, je ressens ta douceur immédiatement et je ne peux me retenir de plonger mes mains dans tes cheveux pour mieux diriger mes lèvres vers les tiennes.
Flottant sur la suspension du temps nous glissons comme la vague sur la plage et mourant dans son élan sur le sable fin, tu appuis ta tête sur l'oreiller et tu places tes bras au dessus de toi comme après une baignade rafraichissante.
je suis à tes cotés et je te regarde, la pénombre nous habille, nous enveloppe, nous habille, et je pince mes lévres de désir...ma main gauche titille ton téton droit, chassant le moindre signe de son effet, le doigt tourne lentement, puis coule à ton cou pour saisir la courbure de ton menton, contourner tes lèvres qui s'entrouvrent et finalement termine leur courses dans le creux de ton oreille en se guidant sur le lobe. bondissant sur cette accélération et cette élan mes lèvres plongent à nouveau vers les tiennes, et cette même main glisse sur l'étoffe satiné et se crispe sur ta cuisse t'invitant à chavirer ton corps vers le mien.
mon corps entier qui n'est plus recouvert que d'un boxer moulant ne peut cacher l'effet de la situation, et nos corps complètement en contact ne me laisse pas le choix autre que de découvrir le tien de ma main libre...l'étoffe qui t'habille se plaque au mien et je tremble comme un écolier devant l’examinateur pendant un orale...cherchant la craie dans la rainure de ton dos. Finalement pour soulager mon ignorance tu croises ta jambe au dessus des miennes. Alors comme je ne tiens plus cette pression je glisses comme le poisson entre les mains du pêcheur et te presse de mon corps sur le sable chaud.
la vague ne meurt pas toujours, souvent elle se relance et je me relance à la mer.Plaquant tes mains à nouveau au dessus de la tête, je te regarde à t'hypnotiser pour te figer dans cette position, me permettant de caresser ensuite ta poitrine à pleine main, délicatement, je détecte le massage qui la fera sortir de se déshabillé satiné et je me délecte à la pointe de la langue à rouler chaque téton qui semble frémir de froid...ce repas est délicieux, je ne sais pas m'arrêter de gouter l'excitation que cela provoque en toi et m'amuser de voir que tu es faible à mes caresses.
La pénombre devient claire et j’aperçois un foulard qui orne une chaise prés du berceau de nos envies. Dés qu'il atterri entre mes doigts, comme une élève obéissante tu me présentes tes mains que je croise dans ce ruban satiné et délicat, et tel un cadeau je referme la boucle sans froisser...tu abdiques à la fatalité de mes envies, lorsque je disparais à ta taille disparaissant dans la pénombre et me coinçant entre tes jambes gantés de bas de soie, je retrousse à peine ce déshabillé pour plonger dans la vague de satin de tes dessous.
Mes mains restaient en surface ne cessent de torturer tes tétons entre les doigts, délicatement à la limite entre la douceur et la pincette sans jamais y arriver.
puis une main reste et l'autre s’évanouit à tes cuisses pour guider mes lévres à travers le raffinement des étoffes, déjà celle ci s'était égarées sur la couture de tes bas délicatement tendu par la pince qui le retient prisonnier. alors mes doigts aveuglent dessine la dentelle soyeuse de ta culotte satiné qui prend l'humidité de la vague de sensation...et écartant le dernier barrage de tissus qui imprime ton désir et tes levres telle un abricot dans le tissus...j'ai envie de gouter ce fruit...et ta respiration que je capte par ma main restée sur tes seins se creuse...tu bascule comme le navire prend l'eau. l'océan se retourne, et tu te noies dans la douceur, retenant ton souffle bouche ouverte entre les vagues, tu repars en apnée à chaque baisé sur tes lèvres et ressentant cette explosion gonfler en toi, j'appliqe mes levres entièrement sur le fruit défendu et goute le nectar....tu cherches à te débattre entre les vagues car il est difficile de nager les mains liées mais le lien tient...et tu coules quand mes mains se regroupent à tes seins en titillant en rithme donné par la découverte de ma langue et de la source de tes souffrances. Dans un dernier espoir tu serres les dents, calle la glote puis tu souffles te toute tes forces comme le nageur dans la vague reprend son souffle mais la vague s'engouffre dans ton bas ventre, remonte dans ton dos, gonle ta poitrine et explose dans ta tête.
ta glotte ne se maintient pas et le cri de l'explosion surgit...tes forces t'abandonnent...comme la vague qui se retire de la plage...je suspends un instant le temps...avant te recommencer mon application car le fruit est resté gonflé de désir et j'ai encore soif de ton nectar...
quand tu reprends enfin ton souffle de cette deuxieme attaque, je suis prés de toi, je te regarde bronzer sur la plage de nos désirs. tu es belle, rouge de plaisir, tu me tends tes mains pour te libérer un instant car tu veux me serrer contre toi, et j'ai besoin de sentir tes mains chasser les grains de sable que les vagues ont déposés sur ma peau...
je caresse tes cheveux et les courbes que tu m'offres.
Tu parcours mon torses en regardant mon âme à la recherche de cette lueur et tout en l'observant tu diriges ta main vers mon boxer qui commence à avoir du mal à contenir l'excitation que tu provoques en moi...
Par toutenfantasme.over-blog.com
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus