Mercredi 1 mars 3 01 /03 /Mars 20:03

Je sonne à ta porte pour t’informer que ton cours commence…je ferme les yeux et les images me viennent directement.

La porte s’ouvre et je timagines…tu apparais en robe Chinoise fleurie mi longue, celle-ci  se sépare à hauteur du genoux et laisse passer ta jambe habillée d’un bas et pointu d’un talon magnifique ;..

Tu avances dans l’entrée et j’ai mes yeux attirés par tes fesses qui sont moulées dans ce satin et ton balancement de bassin me donne l’envie immédiate de découvrir ta croupe. Par-dessous le tissu on distingue presque la ligne de tes portes jarretelles qui tirent le tissu seulement visible par l’œil d’un homme qui aime voir ce genre de détail et la marque aspirante du string qui le sépare en deux.

Tu me tires par la main et me guidant tu m’invites à te suivre dans et à travers les pièces avant de m’inviter à m’assoir près d’une petite table avec une seule chaise.

Tu as remonté tes cheveux tout comme une femme japonaise en fait, cela te donne une superbe coiffure pleine d’ampleur.

Te dirigeant vers la fenêtre tu tires les rideaux et tu assombris la pièce….une tension sexuelle surgie soudain et mon cœur se met à battre plus fort. Fouillant dans un tiroir près de la fenêtre, tu sors d’un tiroir un petit masque noir bordé d’une couture or que tu glisses sur tes yeux…je te regarde passer devant moi et j’ordonne…remonte ta robe lentement…très lentement.

Tu hésites un peu mais finalement, tu commences en tournant le regard comme gênée, tu fléchis une jambe comme un cheval qui présente le pas…, le tissus remonte lentement et appuyé sur une jambe plus fortement que l’autre, le tissus s’est tendu et s’agrippant une dernière fois dans l’attache frontale avant de remonter comme un ressort sur l’élastique de la jarretelle, tu as une cambrure magnifique de reins sublime dans la faible lumière de la fenêtre, ta respiration s’alourdis comme retombant alors que tu reprends ton équilibre sur tes super haut talons…je ne tiens plus et je me lève pour venir respirer tes cheveux dans ta nuque…glissant mes mains sur le tissus satiné de ta robe, je rentre l’une dans le rabat de la robe et de l’autre je glisse sur le bas finement tendu par les attaches en direction de ton entre jambe.

Je froisse le tissu volontairement pour rentrer en contact avec ton sexe qui s’humidifie directement sous l’action. Tu tends tes bras en cercle au-dessus de ta tête pour les pendre à mon cou comme pour te suspendre et m’aider à t’embrasser dans le cou.

Tu cambres ton bassin dans la lumière, tes fesses à la recherche de l’érection que tu sais provoquer en moi. Mes mains glissent partout de tes seins à ton sexe tout en te plaquant contre moi. Tu respires de plus en plus fort et bientôt tu voudrais te retourner mais tu n’oses pas encore.

À ce moment précis je te tends un foulard que j’écrase contre ta bouche afin de taire tes cris, suivi d’un autre que je commence à nouer sur un poignet avant de te tordre délicatement le bras dans le dos afin de nouer l’autre sans laisser une seule possibilité ni ambiguïté sur le fait que tu ne seras pas le retirer toi-même.

Tu pousses un petit cri de moineau quand  je reviens au contact de ton corps une fois la ligature faite car tu es surprise sur ton manque soudain d’équilibre.

Je te retourne seulement quand tu commences à te courber sous mes caresses et sous les soubresauts de ton bassin à la caresse de ma main sur ton sexe qui est trempé maintenant.

Je regarde autour de moi et je trouve une table basse qui peu te recevoir. Je t’y installe assise et écartant tes chevilles, je te regarde dans les yeux pour voir passer cette rage superbe d’excitation.

Tu es triturée entre te laissé encore faire et prendre la main…mais tu as envie de jouir si fort que tu me laisses faire et appuyé sur tes mains noués dans ton dos, tu me regardes à travers ton masque en train de te nouer tes chevilles de chaque côté de la table.

Puis d’un geste lent je dégraffe ta robe qui s’écroule naturellement sur ton corps mais se bloque sur tes bras tendu en arrière laissant assez de place sur ton soutient gorge noir que je soulève dans le même geste pour faire ressortir tes seins que je m’empresse de lécher autour de tes tetons qui gonflent rapidement.  Je t’entends respirer fort et ta téte bascule en arrière sous le délice des seins.

Je ne perds pas de temps et je plonge sur ton sexe humide que je débarasse facilement de ton petit morceau de satin qui me barre encore la route pour mieux te lécher et tout en te léchant je te titille les tetons…j’use de la méthode jusqu’au moment ou tes cris franchise la barrière du baillon.

C’est alors que je decide de te retourner, frénétiquement je te détache les chevilles et te place à plat à même la table basse et écartant ta robe chinoise…je cherche uniquement à pouvoir contempler cette croupe qui est parrée de ces superbe jarretelles dont les élastiques fendent les fesses.

Je n’ai qu’une envie…te prendre et te prendre…et je ne traine pas…tu sens d’ailleurs très vite mon sexe fouiller ta fente à la recherche de l’orifice magique. Tu essais de mimoder qqch mais tu surmonte le mimodage par un rugissement plein quand mon sexe te pénétre lentement…tu te crispes et le fait de tirer sur tes liens te rends folle ! tu me sens rentrer en toi et tu voulais sentir un autre plaisir avant…je vais trop vite et tu as la tête qui tourne sous l’effet.. ;tu sens que tu vas avoir cette orgasme non controlé qui te fait mal quand il se produit trop vite après le premier…et la lance vient du ventre et te fais glousser dans le baillon, tu sens mes mains sur tes hanches te maitriser et te prendre encore et encore ce qui te fait souffler lourdement car la jouissance monte et monte au point que tu vas exploser quand la chaleur de mon jus va te remplir…ouf…tu exploses …

 

Mais je reviens à la réalité quand tu ouvres finalement la porte…retombant de mon imagination.

Tu portes une robe viscose coloré et fluide style vintage, qui recouvre un charment fond de robe satiné assorti …tu m’embrasses et te collant à moi je devine sous mes mains des dessous identique à ce que j’imaginais sauf que tu as une paire de talons haut rouge vif et plus haut et plus sexy encore que ce que j’imaginais…

Me tirant par la main tu me forces à rentrer en m’invitant du regard à apprécier ce que tu portes…dés l’entrée je remarque des fringues un peu dispercées…

« fait pas gaffe…je savais pas quoi mettre alors j’ai tout sorti pour mettre ça finalement »…

 

Mon regard croise une robe chinoise longue fendue de coté ….miracle ?

Je me précipite vers un fauteuil acceuillant et tu disparais un long moment ??

 Tu viens alors vers moi pour me servir le  café et d’un geste doux tu me passes un bandeau noir sur les yeux.

Comme transformée, tu te sens alors plus franches et le café une fois servis, tu commences par le gouter avant de me donner à boire comme si je ne savais pas boire moi-même.

Tu me glisses la tasse entre les doigts et tu t’assoies sur l’accoudoir du fauteuil. Le silence laisse entendre le plissement de tes jambes gantés contre le tissu qui glisse sur tes cuisses mais ne traduit pas la magnifique vision du haut de tes bas qui se sont dégarnis par l’effort de l’étoffe quand tu as croisé les jambes heurtant ton talon contre ma jambe.

Je déguste mon café aveuglément et tu en fais de même avec moi en glissant ton bras derrière moi, tu te laisses glisser contre moi et tu saisis ma main la plus proche pour la poser sur ton genou le plus haut. Instinctivement je caresse cette offrande et je descends comme invité par la pente de ta jambes me faisant rencontrer rapidement une des attaches de tes bas… je souris de cette découverte et toi aussi de me voir prendre gout à ton piège sensuel. Tu glisses ta main dans l’ouverture de ma chemise et sans attendre du pétri le teton le plus proche, tout en rattrapant ma tasse enfin vide que tu déposes à même le sol. Tu connais ce point faible et tout en le pinçant délicatement comme pour extraire le bruit de mes lèvres, tu me regardes basculer en arrière et apprécier le moment.

Ton autre main glisse elle vers ma boucle de ceinture pour ouvrir la porte de mes dessous et tu ne tardes pas par ce double exercice à extraire mon sexe bandant en guise de drapeau de la victoire. Tu t’attardes à m’embrasser avant de glisser de l’accoudoir comme un chat et ouvrant encore plus ma chemise à dégager mon torse et jouer de tes doigts autour de mes deux tetons comme pour régler une radio. Du genoux tu écartes mes jambes et l’instant d’après tu es à genoux entre celle-ci à t’appliquer à me sucer généreusement le sexe en mimodant langoureusement comme pour appeler le plaisir .

Les yeux toujours bandés je me laisse guider par cette introduction parfaite de soumise que tu réalises…une merveille comme cadeau d’initiation, cela promets une belle relation que d’avoir une soumise aussi volontaire que toi. Je veux pour t’écarter car je sens le jus monter mais d’un geste sur tu retiens mes mains collées sur mes jambes comme pour m’interdire de réagir et cela ne tarde pas à gicler que j’accompagne d’un cri de satisfaction qui se prolonge car tu aspires mon liquide comme si tu n’avais pas jamais bu. Je me tords tellement sous l’intensité du plaisir, que je n’arrive presque plus à bouger et tu gémis encore plus fort de plaisir, tu ne cesses que lorsque le liquide se tarir complètement. Je suis sans réaction assis dans le fauteuil et tu t’ingénues à me débarrasser de mes chaussures et tirant sur le bord de mon pantalon, je me retrouve vite en caleçon chemise ouverte.

Me tirant par les mains tu m’invites…viens et te lovant contre moi je sens ton corps toujours emballé dans le satin de ta robe chinoise glissante et sensuelle. Tu en profites pour retirer la chemise et me guidant toujours aveugle et amorphe de cette accueil vers ta chambre.

Tu me fais passer sur le ventre pour pouvoir monter sur mon bassin et te blotissant contre moi, tu me sussures un mot doux tout en m’embrassant le lobe de l’oreille et t’appuyant sur mes épaules tu commences un massage formidable qui fini par m’endormir en quelques secondes.

Je me remets de ma torpeur au bout de quelques minutes,  je suis sur le dos cette fois et plus de bandeau sur les yeux…la peinombre est toujours là…et je veux pour me toucher les yeux mais impossible…mon bras et comme fixé à quelque chose et bien vite je réalise que l’autre aussi…et les jambes aussi…

Coucou ! tu apparais d’un coin de la pièce, tu ne portes plus ta robe chinoise mais une nuisette courte noir qui arrive au raz de tes bas, laissant apparaitre la pointe inférieur de ton string assorti.

Je veux pour réagir mais tu m’as enfoncé un tissus dans ma bouche qui m’empéche de parler.

Que penses tu de mon jeux de soumise ? tu aimes ? j’ai pas fini…et glissant sur le lit, tu viens t’allonger sur mon corps offert aux quatre coins. Je gemie dans le tissus de rage, cela devait pas ce passer comme cela, c’est l’inverse de ce que tu m’avais demandé de t’écrire ! je ne comprends pas et je deviens fou sous tes mains et de tes fesses que tu t’amuses à pincer mon sexe coincé dans le boxer lycra comme pour l’attraper à travers celui-ci.

Bien vite tu reviens vers mon visage et tu m’interroges : tu veux du sexe ? je suis nerveux, oui j’ai envie mais c’est moi qui devrait te dominer normalement. Tu t’assures de mon désir en m’interrogeant encore et encore tout en me titillant par petit touché sur mon sexe ou mes tetons, mon corps…bien vite, je suis énervé et agacé de ton jeux…et d’un coup tirant sur mes cheveux, tu écartes ma tête et tu glisses un coussin sous celle-ci sans lacher prise et tu remontes avec effort sur tes genoux sans accrocher tes talons que tu portes toujours dans les draps.

Tu écartes alors le bord de ton string qui glisse sur ta peau lisse de ton sexe que tu as complètement rasé. Arrachant le tissus de ma bouche tu remplaces celui-ci par ton sexe brulant qui m’écrase vite les lévres ; tu me foures la bouche et tu insistes si fort que je ne sais pas respirer par la bouche.

Tu appuis de plus en plus fort et hurlant des ordres : voilà ! encore ! voilà , comme ça, bien, plus fort ta langue, encore ! allez ! et pour me faire comprendre l’ordre tu me frappes sur le coté du torses avec une petite cravache ! ce qui me fait crier et toi rire…quoi ? tu as mal ? alors lécher bien, comme j’ai fait ! allez ! clac ! encore clac ! mieux ! clac !clac !

À ce ritme tu ne mets pas longtemps à jouir, et dans un élan de rein tu m’étouffes la bouche totalement en rugissant, « avale mon jus ! », je suis sans haleine quand tu te retires.

Mais c’est juste pour que tu retires ton string car en quelques gestes tu es à nouveau sur moi et tu as repris mon sexe que tu titilles à nouveau tout en approchant tes fesses que tu écrases sur mon visage…léche ! serrant mes couilles, j’hurle de douleur et je m’exécute ! très vite tu grondes de plaisir et tenant mes couilles d’une main, tu tortures mon sexe, « vas y ! » enfonce ta langue, léche !

Il t’en faut visiblement car j’ai humidifier complètement ta rondelle qui s’écarte visiblement et tu écrases parfois ton sexe aussi. Tu rigoles et jouis en même temps tout en m’écoutant raler.

« encore » clac ! mais cette fois ci c’est sur mes couille que tu frappes, j’hurle ! et tu fini par être si humide que tu peux glisser sur mon sexe quand tu te retournes sur moi pour t’empale sur mon sexe en érection. Au galop en appuie sur la pointe de tes talons tu me montes comme un cheval et en guise de reine tu as tendu en travers de ma bouche un foulard pour étouffer mes cris.

Tu montes vite, fort, et tu t’amuses à ralentir puis réaccélérer, parfois tu fais un trot et puis tu me vide en jouant du bassin en m’ordonnant….viens ! lache tout ! encore !! encore ! tu ne stoppes presque pas jusqu à ce que je n’en puisse plus. Tu me rassures en te collant contre moi, « bien, relache  toi »,  « bien,  ferme tes yeux, là, doucement » endors toi…

Vide, épuisé tu me regardes sombrer, et descendant de moi, tu commences à me détacher, inerte, je ne réagis plus.

Tu me roules difficilement sur le coté et tu me couvres de ta robe chinoise trainant sur la chaise dont tu t’étais levé.

Quand je me reveille, je suis ligoté sur le ventre en travers du lit, cheville et genoux sont aussi entravé.

Je ne sais plus quel heure il est mais je sais que je maitrise rien, je pensais dominer mais je ne sais même plus comment j’ai pu y penser ! tu apparais enfin face à moi, tu as passé une jupe légère et fluide style portefeuille. Tu portes toujours tes bas mais plus de string du tout.

Maintenant c’est le dressage mon grand. La prochaine fois que tu viens, tu devras rentrer et te déshabiller directement sans poser de questions. Compris ?

Je veux pour répondre mais ta cravache fend l’air et marbre ma fesse !

Oouff !!! quelle douleur ! Tu tires alors sur une corde qui ramène mes jambes à mes mains ; tirant dessus je me cambre comme une banane et tu soulèves alors  ta jupe en me donnant ton sexe une nouvelle fois, mais en restant debout comme un mec qui bourre une pouf !

« Hummm ! mange ! lèche », je n’ai pas vraiment le choix. Tu me pénètres la bouche et donnant du bassin des petits coup en avant tu mimes la fellation !...encore ! clac ! cela dure un bon moment uo tu altenres rugissement et cravache jusqu’au moment ou je ne sais plus te lécher tellement ma langue est fatiguée, ou je suis tordu, soumis et tu réjouies…encore ! clac !...finalement tu jouis fortement et tu m’exploses les fesses de ta cravache.

Franchissant la ligne d’arrivée, tu m’ordonnes, tu te finis en écartant mes fesses avec ta cravache, j’ai plus de respiration, je suis épuisé et j’ai mal aux fesses.                 

Tu me détaches et m’embrasses langoureusement…bonjour mon soumis…je crois que j’ai choisi mon bord finalement ;…

 

Je pause mes mains sur tes épaules, et je te sussure un petit mot à l’oreille…                                

Je vais alors m’assoir dans le fauteuil et tu viens m’apporter le café , tu disparait un instant et tu reviens avec plusieurs foulards, tu ne portes plus ta jupe noir que tu as troqué contre une longue nuisette noir satiné qui est tout autant fendu et qui ne cache plus les jarretelles,  tu t’agenouilles devant moi en posant ta tête sur mon genou, tu respires lentement mais tu te crispes un peu quand le premier foulard arrives sur tes yeux…le bruit du satin se fermant sur toi te donnes des frissons.

Je fini mon café et je te regarde agenouillée devant moi. Je t’aide à te positionner afin de nouer tes bras derrière ton dos. Tu es dociles mais ta nervosité te trahis. Tu gémis un peu sur le dureté de ton nœud.

Je t’aide maintenant à t’assoir dans le fauteuil et je te pose un nouveau foulard mais celui-ci sert de baillon.

Tu es là devant moi, en partie aveugle, baillonnée, attachée par les mains et comme tu es appuyée contre celle-ci ta poitrine est comme pousse vers l’avant. Le tissus est tendu et tes tetons traverse le tissus noir…tes levres gonfles déjà d’excitation…tu tors tes chevilles sur tes talons en essayant de te placer correctement ce qui te fait croisent les genoux et glisser le pan de ta nuisette sur ton bas tendu par les pinces des jarretelles….je te caresses alors les cuisses et t’écoutes réagir à mes gestes.

Tu gigotes de façon anarchique au debut mais quand mes mains écartent tes genoux, tu t’immobilises d’un coup.

Bientôt un autre foulard entarve tes chevilles et aussi tes genoux.

Tu te rends alors compte que tu es totalement attachées sur toi-même, et retirant le baillon, je te frappe le visage avec mon sexe bandant d’excitation.

Tu voudrais t’échapper mais ligoté comme tu l’es tu ne peux pas échapper longtemps avant de devoir engorger mon sexe et le sucer contre ta volonté.

Tu étouffes un instant mais tu gémis de desir malgré ça…etre obligé de sucer t’excite…tu t’appliques et tu tires de plus en plus, révant presque de l’instant ou je vais inonder ta bouche, tu te surprend à aspirer sans arret et quand la liqueur chaude s’injecte tu ne laches pas un instant et tu continues même de plus belle de sorte que je sois pris à mon piège et que je sois surpris de sentir que tu me vide les couilles avec avidité…mais je stoppe…je me retire avant de t’offrir mon jus.

Je me remets et te regarde gigoter sur ton divant. Tu es chaude et enivrée de ne pas savoir aller plus loin, tu as envie de sexe comme jamais et tu ferais ce qu’il faut pour jouir.

Tu m’implores, demandant de te redonner mon sexe…tu mimodes …miaule presque…t’aidant à t’allonger , je te caresses alors le corps, glissant sur tes courbes et sur tes forment tout en passant sur tes tetons et sur tes levres…forçant le tissus à rentrer dans les recoins et le regardant s’imbiber d’humidité naturele de ta grotte…tu gémis de ces jeux et tu essais d’embrasser ou de sucer mes doigts quand ils passent sur ton visage…tu es avide…tu veux plus.

Je fini par te doigter le sexe d’une main tout en te titillant les tétons de l’autre et les léchant aussi.

Tu rugis de plaisir quand je force ma main entre tes cuisses serrées l’une contre l’autre par les foulards.

Par Raumarain
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