Mercredi 29 juin 3 29 /06 /Juin 21:46

je te regarde t'habiller, tu es superbe dans cette robe de soirée...ton dos nu, tes épaules légèrement dénudée...Je te trouve irrésistible, mais mains courent surtes épaules et mes lévres parcourent ta nuque...j'ai envie de toi...tu rigoles un instant quand tu me sens m'appuyer à tes fesses...

Tu me tends ton étole...et je craque...tu t'appuis sur le bord du lit en cambran les reins...c'est une figure trés tendancieuse, car tes fesses creusent le tissus rouge pour mieux marquer le creux de celle ci...

en touchant tes hanches je devinne tes dessous...un porte jaretelle;..des bas soyeux...le tout surmonté d'un string...qui tranche tout, c'est intenable;..tu croises les jambes pour augmenter les obstales mais je retrousse déjà ta robe sur tes hanches...en massant tes fesses...le cri de la soie s'amplifie...de plus en plus doux...de plus en plus fort...tu apprécies l'excitation que te provoque le tissus...

Je remonte de tes fesses pour tes seins qui sont encore pris dans le tissus, je sens tes pointes se durcir immédiatement...tu te plaques à mon bassin et dansant lentement tu imprimes ton excitation sur mon sexe gonflé dans mon boxer...

Tu essais d'attraper un bisous en tournant un peu la tête mais je suis à ton oreille...je te mumure ces mots qui te font frémir....'Je vais t'attacher les mains, et te prendre là'!....

Oui! tu aimes ce jeu...tu veux te laisser faire...partager ce moment....laches toi et écris moi....donne moi la suite...Je voudrais que tu existes...que tu partages cela avec moi...fais le...continue l'histoire...ou mieux..partageons là, miux encore...vivons là!!!

J'attends ton mail...ton geste...ta fleur...ton calice....voici mon adresse mail si tu veux me parler...  laisse un commentaire...

 

 

 

Par toutenfantasme.over-blog.com
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 9 juillet 6 09 /07 /Juil 22:35

Il fallait le faire et oser, c’est toujours quand on ne s’y attend pas que cela arrive…mais là je suis resté vraiment sur ces détails, tu le savais, tu me connais plus que moi ! je repense à hier quand par habitude je reprends les chemins du zoning de Seneffe et que je te croise sur le bord de la route.

Ton bras tendu comme une invitation, jolie présage, baladant sur le bord de la route.

J’arrête la voiture le temps de savoir que tu voudrais simplement que je te reconduise chez toi pas loin à quelques minutes.

Je ne sais pas résister à cette paire de jambes que tu croises sous cette robe d’été fluide, ce corsage lacet qui retient ta poitrine croisée dans ce nid soyeux rouge vif  que tu a eu l’idée de passer par-dessus tout et qui effile tes courbes généreuses et rebondies. Le vent te dégage le visage et laisse apparaître les marques du temps mais qui n’enlève rien a ton charme, mais sans cela laisserait dans le doute entre 30 et 50 ans…étrange…

Tu montes dans la voiture et tu secoues tes cheveux qui libère un parfum frais et léger, et te penchant pour retirer tes chaussures à talon qui ont affaiblit tes chevilles par cette balade me montre par impression des tissus la dentelle du string pourpre que tu portes…me laissant rêveur…et je constate de suite que tu dois porter un jupon car celui-ci déborde un peu de la robe quand tu croises tes jambes une fois dans la voiture.

La conversation va bon train et nous faisons connaissance, tu es très ouverte d’esprit car nous tournons vite sur la vie amoureuse…et de ta balade qui avait pour but justement un rendez vous galant…et donc c’est loupé !…mais tu me réponds…pas tout à fait !

je rentre dans le chemin qui se rétrécie au fur et à mesure et nous arrivons devant ce hameau de maisons mis blanche mis brique, effilée, longue, étroite…nous avançons encore…passons devant des champs…droite, gauche…encore plus loin !

Heureusement que tu m’indiques le chemin mais c’est à ce perdre ! nous continuons la discussion et de flatterie en flatterie je comprends que je suis à ton goût, ce qui ne m’étonnes qu’à moitié car tu as du charme mais pas nécessairement irrésistible non plus…mais bon, comment dois je interpréter tes paroles…j’ai pas d’audace et puis même si la différence d’age ne me gène pas ce n’est peut être pas ton cas.

J’ai l’impression d’avoir fait trois fois le tour et pris tous les chemins ! Je suis un peu paumé, Pour finir nous arrivons dans la rue quand tu m’invites à me garer pour descendre et là tu me sorts ce couteau !

Je suis surpris de plus belle ! Mais je tiens à ma peau et je t’écoute et je fais les gestes que tu m’énonces …coupe le contact, descend par mon coté, donne ta clé…tu verrouilles la voiture et tu me pointes de plus belle, marche devant, avance… !

Je suis devant la porte de ton habitation et je sens la lame pointer dans mon dos, tu me donnes une clé et un ordre : ouvre !

Nous rentrons dans la pénombre et immédiatement tu me bandes les yeux sous la menace, et les ordres continuent à affluer…avance, ne te retourne pas  et léve les bras, avance, retire ta ceinture et tes chaussures… la porte se referme et j’entends la serrure et je sens cette pointe de fer…je veux entamer la discussion mais le tait toi viens pondérer la discussion aussi tôt !

C’est clair ! je ferme ma gueule ! Bras tendu j’avance sous la menace, aveugle et je rentre vite en contact avec un meuble ou l’autre…c’est pas commode ! haha ! mais bon ! je suis pas en terrain connu et je sais pas tes intentions. Je remarque simplement qu’il n’y a pas de bruit, nous traversons encore une pièce, puis une autre….puis un stop ! à genoux ! je sens un truc sur ma nuque puis cela le serre et se verrouille ! Un collier de chien ? le froid d’un bracelet sur le poigné droit et puis cette torsion de bras qui me fait basculer vers l’avant ! cela fait mal, merde ! et l’ordre en plus ! Donne l’autre main….mon cou et tiré en arrière et je sens le froid sur l’autre poigné…des menottes !

J’ai du mal à bouger avec mon cou qui est tendu vers l’arrière et tu me tires le bras de coté pour m’aider à me redresser sur les genoux.

Tu glisses le bandeau des yeux et tu me le fourres dans la bouche, je suis ébloui par la lumière que tu m’as pointés dans les yeux et l’instant d’après alors que je suis pas à mon avantage tu me bouscules presque et je sens ce lien qui glisse sur les chevilles ! et je me fracasse sur la moquette, c’est quoi ce délire…je sais plus bouger ! Et tu me regardes en admirant ta proie !

Parfait me dis tu, que dois je penser ? Tu m’enjambes et tu viens m’écraser de ton corps…et là ? Tu fais quoi ? Petit !

Tu penseras peut être à répondre à mes messages maintenant ? Cela fait quoi de se retrouver comme ça ? tu fais plus le malin !

Je suis pétrifié par les menottes et les liens, muet, et tu me nargues, et ce moment où tu me lèches le visage me rend dingue ! Arrête ! Je déteste ça ! Tu te marres, tu profites ! Tu jubiles de me voir captif…et quand tu me recouvres de ta robe en fourrant ma tête entre tes cuisses, tu jouis presque ! Tu me frottes la tête dans ton jupon de satin et Là où tu jubiles c’est quand tu me sens me débattre sous tes caresses appuyé sur mon cul et mes couilles pour me faire gémir et bander …et ces claques que tu me donnes me font retomber entre deux excitations …un jeu cruel qui ne fait que commencer…et tu prends de plus en plus confiance et plaisir en même temps.

Et tu me dévoiles ton plan…quand tu serras calmé, je vais t’éduquer à ce que j’aime et tu vas le faire de bon cœur…puis je vais prendre ta virginité…petite femelle…mais d’abord je vais me changer et préparer ta tenue de soumise…tu vas porter cette petite robe trop juste sur ce fond de robe sexy de ma grand-mère ! et ces bas jarretelles que j’ai acheté exprès pour toi…tu aimes ?

Je râle en me débattant mais tu me bloques de ton talon dans les reins ! Je vois que tu en es déjà fou,  me dis tu !

Patience ma petite salope…tu dois te calmer en premier et puis après une bonne douche froide…tu serras heureux de porter ce petit string et ta tenue de soumise.

Tu sors de la chambre en riant et fermant la lumière, me laissant seul au sol…je me presse à me débattre mais je perds des forces à ce jeu là, je ne sais pas lutter ;..

Pendant prés de deux heures je me retourne, je n’arriva pas à rester sans bouger, trop inconfortable et surtout les bracelets des menottes se sont resserrés sus mes poignés avec mon propre poids ce qui a lentement coupé le flux sanguin et je dois secouer mes mains pour faire circuler le sang.

Je deviens fou, c’est étouffant, usant, le collier me tire tellement et mes bras me font mal, mes chevilles sont douloureuses sous le nœud.

Tu reviens dans la chambre et tu me regardes suffoquer…tu es prés à me faire plaisir ? je vais voir, et tu commence par retrousser mon jeans sur le nœud des chevilles ce qui me fait presque hurler, mais je ne te donne pas ce plaisir. Je me retiens, je n’ose pas penser et tu jubiles encore…alors, tu bandes ? aller...pour moi mon chérie…et tu t’amuses à me masser les couilles et le sexe comme un chien et j’ai beau vouloir résister tu t’appliques en douceur avec l’avantage de ce déshabillé noir satin couvert d’un peignoir assorti…tu commences à frotter tes seins sur mon sexe qui commence à gonfler…et bien voilà…tu vois !

Je ne sais rien faire que râler dans cette état, et lentement tu commences à sucer…la position est très inconfortable et même très peu avantageuse ! tu continues malgré tout et tu forces même au point que je vais jouir, j’ai beau me retenir tu insistes…tu me regardes un instant pour me dire ‘je vais te vider d’abord, tu vas jouir pour moi et puis ce sera à toi.’ Je ne veux pas ! je me débat mais tu écartes mes genoux qui augmente la douleur aux chevilles.

Reste tranquille et laisse toi faire ! tu t’y remets au point que mes reins commence à cambrer sans le vouloir et le jet brulant sort, je me maudis mais c’est si intense que je m’étrangle presque en voulant me recrovier sous la force du plaisir. Tu continues à sucer malgré mes gémissement, je me sens hyper sensible, le moindre passage de ta langue sur mon gland me fais crier, et tu continues encore, je sens que tu me fronces l’anus avec ton pouce et je ne sais pas l’interdire car la sensibilité de mon sexe est trop intense et pour y résister je me relâche d’ailleurs. Tu le sais et je sens que tu y rentres presque deux doigts maintenant, c’est horrible ! mon cul ! non ! pas ça !

Tu insistes tellement en suçant mon sexe que je jouis à nouveau mais plus intérieurement cette fois, je perds presque toutes forces cette fois là tellement le plaisir est fort ! incroyable ! tu t’arrêtes et me regardant tu me montres tes doigts vaselinés, pas mal…tu vas te dilater ma petite…tu vas voir…je retombe, mon cœur bat la chamade, c’est dingue. Tu me plaques un mouchoir qui pu sur le nez et tout se mets à tourner !  c’est alors que  Tu me détaches les chevilles et tu me retires le jeans, je voudrais résister mais je n’ai pas la force, je suis comme perdu.

Je n’ai plus que mon tshirt, je me sens ridicule et tu glisses déjà le jupon et la robe…je voudrais me débattre rien qu’une fois mais …pour quoi faire ! je te sens me passer  comme des chaussettes ! je sombre de fatigue ! je sens que tu t’appliques à remonter le string c’est fou…je suis essoufflé, et tu t’inquiètes de rien…puis tu reprends les liens et inexorablement, les nœuds se serrent…bien plat, régulier…putain ! je suis nase moi ! Réagis !

‘On y arrive, tu vois quand tu veux’ ,   mais je veux pas ! je suis mou ! tu remontes sur mon torse et tu commences à déchirer mon tshirt…et voilà !

Remontant à ton aise les étoffes et fermant les clips…je me retrouve presque totalement rhabillé. Puis tu m’aides à m’asseoir sur le lit, je me regarde, je suis ébahi de me voir avec des bas et une robe qui plisse à rien cacher et ce jupon noir un peu trop long…tu me détaches les mains sans retirer le collier et tu me secoues par celui-ci…allez, passe les mains ! pire…j’obeis ! tu rattaches mes mains devant moi et je te regarde me guider vers la tête de lit…couche toi ! et les nœuds recommence, non ! pitié ! tu étires mon corps par les mains jointes en haut et sur les chevilles de l’autre…’et bien voilà ! c’est parfais, tu es parfaite !’

J’ai soif ! je n’en peut plus, je voudrais boire un verre d’eau ! tu l’as certainement deviné car tu retires le bâillon pour m’hydrater, mais tu me glisses un truc fade en bouche avant de me faire avaler…je veux cracher mais tu me pinces le nez qui m’oblige finalement à l’avaler….merde ! c’est quoi ce truc ?

C’est rien me dis tu, et remettant le bâillon, tu rigoles…dans un petit quart d’heure…tu vas me servir de gode pendant au moins deux heures...que tu veuilles ou pas…j’arrive ma coquine…tu permets que je me change un peu, j’ai chaud dans ce peignoir en lycra…je vais me brosser les dents et me préparer et je vais te massacrer ! tu vas pleurer de m’avoir pris en stop…et après…je vais te casser le trou…tu vas hurler…mais tu vas aimer…je te promets !!! ma petite pute à moi ! me lâches tu avant de disparaître.

Une heure passe facilement, je me suis endormi mais je suis réveillé d’un coup ! le sexe raidi ! je me regarde…je rêve pas, mon sexe essais de traverser le jupon et la robe et forçant sur le string qui m’agace en divisant mes couilles ! je suis toujours au même endroit, et tu reviens à ce moment là…superbe ma poule me dis tu ! réveillé ? désolé pour le chloroforme, mais je n’avais pas le choix,

De ton coté tu as mis le paquet, body corsage latex noir sur un chemisier blanc satin , maquillage relevé, jupe cuir rouge très longue, bas résille et très haut talon ! et des gants satiné noir !  

Je suis inquiet car je ne comprends pas ton jeu ! Mais quand tu me grimpes dessus comme pour sur un cheval, tu ouvres le pan de ta jupe et un sexe veineux apparaît…tu t’es attaché un gode ceinture ! Presque aussi réelle que mon sexe ! Et t’approchant tu retires le bâillon et tu m’obliger à te sucer ce morceau de plastic ! beurk, tu l’enfonces dans ma gorge et je suis presque à vomir ! je suis obligé de te sucé de longue minutes, tu me fais recommencer et tu me lâches que tu ressens rien ! ça ! je sais ! C’est un faux ! Puis d’un coup, tu recules et tu m’écrases littéralement le sexe encore prisonnier des tissus.

Tu me rajustes le bâillon…et tu t’amuses a me masser le torse, mieux tu me titille les mamelons…tu cherches à me faire pointer mais surtout tu m’excites malgré moi, j’ai ce nœud dans la gorge, je sais que je ne vais pas savoir résister à ton assaut. Tu m’imprimes la douceur du jupon dans tes caresses et je sens mon cœur qui s’emballe de plus belle, tu me fais grimper la pression et comme tu veux tout guider, tu me débrailles le haut de la robe et forçant sur les bretelles du fond de robe satiné tu me léches les mamelons de la pointe de ta langue, je me torts de désir malgré moi, je suis surpris qu’avec douceur malgré tout ces liens, je ne sais pas résister, et pire, je brûle sous chaque geste en perdant ma force et ma résistance…tu me transformes malgré moi, c’est un viole en douceur,  Et de ce fait, tu me dégarnies d’une main en fouillant sous ma jupe, ce qui est dingue c’est que je ne sais pas faire sans bander due à ta pilule bleu ! mais le plaisir c’est toi qui l’imprime et lentement je ressens ce manque que tu vas m’injecter comme une drogue, tu sais que tu ne peux forcer les sentiments mais que tu peux créer un désir incalculable et irréversible… Et toute heureuse de me voir comme cela, dans cette état de sevrage,  tu t’empales lentement en me regardant gémir et essayer de me débattre…tu adores ça ! cela te donnes une telle sensation de puissance que tu montes directement et en quelques secondes tu te replies sur toi de plaisir, je pensais que ce serait la fin mais tu te retires juste pour mieux me reprendre mais en tournant le dos et la comme un galop tu chaloupes des reins.

Je ne vois que ton dos, et en quelques minutes tu me fais hurler sous le coup de reins, j’ai beau remuer mais tu t’es appuyée sur mes chevilles et tu continues….je ne sais pas m’arrêter de crier dans ce bâillon et tu jouies de ce moment…puis tu stoppes pour mieux reprendre ce qui me fait gémir et je te sens jouir encore et encore, tu t’amuses jusqu’à plus fin, mon dos est douloureux, je ne sais plus bouger tellement je suis crispé par les répétitions et la douleur de mon sexe qui reste bloqué en érection, je suis cassé…et quand tu me relâches les chevilles…je ne bouge plus. Tu viens sur moi une nouvelles fois et tu me redonnes ton gode à sucer et machinalement je l’accepte,  et goulûment je le suce, je n’ai plus envie que tu ressentes plus rien…d’ailleurs tu me libères du haut du lit. J’ai encore les mains menottés…mais c’est plus facile pour te mimer que je te suce ton gros sexe ! tu es ravis et tu me caresses les cheveux en me remerciant…’voilà, c’est mieux, tu voies là je ressens’ me dis tu. Je m’applique à bien m’enfoncer et je suis son rythme. Tu m’arrêtes enfin et montant un peu plus tu me présentes ta chatte. Je dois te sucer encore, tu tiens mes mains en hauteur plaquée contre tes seins et tu m’enfonces ton clito en l’écrasant sur mes lèvres. C’est atroce et je te sens mouiller comme une folle, le gode qui me frotte les cheveux et ce cogne sur mon front, tu te sers…tu me réduits à faire…je n’en peux plus, je veux et ne veux plus mais je laisse et fais pour éviter que cela dure et irréversiblement tu imprimes un plaisir malgré moi qui laissera une trace, une force que tu veux avoir sur moi, me forger à accepter…comme pour le dressage d’un cheval…dompter la bête et plus c’est long plus la victoire est grande. Je le sais, je le comprends, pire je commence à l’admettre, je renonce…

Tu te retires et te couchant prés de moi tu me rassures…c’est bien, tu commences à comprendre qui te dirige et ce qui t’arrive…continue, tu seras bientôt libre…

Je respire ! enfin une parole qui me rassure et quand tu me demandes de me retourner sur le ventre et de te donner mes fesses, j’accepte pour être enfin libre…et je te sens me doigter et me prendre avec un puis deux et enfin trois doigts, je respire profondément et je sens tes mains sur mes hanches et ton gode qui rentre…c’est intense et très crispant. Ma respiration devient haletante et tes petits va et vient me font gémir mais quand tu touches ce point à l’intérieur de moi…je me brise, j’hurle ! mon ventre se déchire et je perds ma volonté, je voudrai que tu éjacules comme un mec pour que tu te retires mais il n’en est rien avec ton gode, tu insistes car le frottement de ta ceinture te donne aussi ce plaisir clitoridien.. ;tu te sens presque invincible et tu mouilles en froissant mes dessous ! Mes dessous ! voilà que je parle de chiffon, je ressens tes mains qui s’appuient sur mon dos et je mords plus fort dans le bâillon, je deviens fou, je plonge ma tête dans mes bras menottés et je sens tes cuisses rebondir sur mon cul, mes bas se tendent et tu te cales plus droites pour mieux atteindre ce point qui me fait presque perdre la raison. Tu lâches mon bâillon et attrape la laisse du collier…

Je ne sais plus réfléchir et tu me sangles avec la laisse du collier pour me redresser la tête. Tu rages en serrant les dents et m’ordonnes de répondre….mais à quoi ?

Puis je t’entends…’alors tu aimes ?’…répond ! un autre coup de rein me touche ce point et je réponds pour te calmer, oui ! j’aime ! le dialogue s’installe…

 

Tu aimes quand je te prends…répète !

J’aime quand tu me prreeends ! et un coup me fait râler !

Tu aimes être une femelle soumise !

Oui !

Oui qui !

Oui madame !

Maitresse ! c’est maitresse !

Oui maitresse !

Tu es une femelle !

Oui maitresse !

Tu es ma femelle

Oui maitresse !

Tu ma pute !

Oui maitresse !

Alors dis le 100 fois maintenant à chaque coup de rein !

Pitié ! maîtresse ! je suis ta pute !

Mais tu es intraitable et 100 coups ne sont pas atteints que je sombre en larmes…en promettant….tout ce que tu veux, mon silence, mon obéissance, mon cul…

 

Tu as imprimé ton désir et je suis sans voix…quand tu m’annonces que je peux garder ma tenue pour la semaine prochaine…et que si je ne reviens pas…la photo que tu as prise ira à toutes mes collègues féminine de travailles

Je ressors horrifié et soumis mais aussi hyper sensible …j’ouvre la zafira, je remarque que ça couleur et plus un bleu violet comme moi…violé…et je rentre sans me retourner mais je sais que tu veux un signe…et je ne sais pas résister à te dire au revoir, je sais que je reviendrais malgré moi car j’ai pris une leçon et que j’ai certainement besoin de mieux t’honorer…et toi, me regardant à travers tes carreaux , tu es heureuse d’avoir enfin un cheval correctement dressé !

Par toutenfantasme.over-blog.com
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 12 juillet 2 12 /07 /Juil 22:59

Je suis revenu chez toi après cette après midi où tu m’as brisé, j’avais envie de reprendre le contrôle et en même temps te prouver que je peux partager et recevoir…

Les claquements de ma Harley te font un peu sursauter au dernier coup de gaz que je donne…et si tu savais la vibration de ce genre d’engin, tu serais jalouse.

Je place la béquille et je retire mon casque, j’ouvre mon cuir et je retire la clé après coupé l’arrivée d’essence.

Je m’allume une dernière cigarette qui ne dure que le temps de prendre un peu de nicotine avant de t’affronter et de te dire ce que je pense de l’humiliation que tu m’as fait subir. Je mâche une gomme mente pour couvrir piteusement l’odeur de la Marlboro et j’avance vers ta porte, le rideau de la fenêtre bouge et je sonne.

Pas de réponse, j’insiste encore et je fais jouer la poignée de la porte et celle-ci est ouverte…je pousse et je décide de rentrer mais je fais attention…une fois c’est suffisant ! je t’appel et tu me réponds du fond de la maison…refermant la porte, je me débarrasse et j’avance à ta rencontre. Tu es à ta terrasse, lascive…au soleil…

Tu me sers un verre me demande tu. J’attrape le verre et je le pose sur la table basse. Rentre un instant et je te servirai un verre ! Tu te rebelles mon chou ? tu veux que je te punisse glousses tu…pourquoi pas…

Tu bondis de ton transate et tu fonces vers ta pièce de torture…ta chambre.

Je te laisse un instant et tu me demandes si je préfères le noir ou le rouge…j’hésite un instant et je précise que je veux le noir…pour commencer…

Tu finis de préparer des habits et de t’ajuster devant le miroir quand je me plaque à tes fesses, tu restes impassible et je fais mime de te parcourir en m’agenouillant.

Te retournant tu me fourres le nez dans ton peignoir qui s’entrouvre et m’offre la vue de ta splendide nuisette très finement soyeuse bordée de dentelle. Pressant tes fesses pour mieux sentir ton sexe sur mon visage tu montes de suite et prend appuis de tes mains sur la commode pour mieux passer ta jambe sur mon épaule et planter ton talon dans mon dos.

D’un doigt tu écartes la fine culotte et m’ordonnes ‘lèche moi !’ je fais mine de t’obéir et tu tiens appuis sur une jambe et d’une main sur ma tête.

Je m’applique et tu grondes de plaisir, tu courbes la tête en arrière et tu délaces ton peignoir pour m’offrir la vue sur ta poitrine tombante si bien emballée dans le satin de ta nuisette.

Je prends le temps de contempler la justesse de l’attache de tes bas qui se tend sous l’effort d’équilibriste que tu réalises. Tu es coquette et j’attends le moment ou tu vas fatiguer et vouloir changer d’appuis. Ce qui ne tarde pas et je sens fébrile, nerveuse de devoir stopper ta montée pour une fatigue de la jambe ! et à ce moment là je menotte à ton dos tes poignés avec tes menottes entourées de doudoune rose. Tu es surprise et tu veux protester mais je fais vite et te retournant face à  la glace en écartant tes jambes pour te faire perdre l’équilibre tu te retrouves le visage écrasé sur le miroir, ce qui te frustre de suite.

Avec un foulard pris dans le tiroir de ta coiffeuse je commence à te bâillonner comme tu l’as fait et avec la ceinture de ton peignoir je réalise une ligature rapide de tes coudes. Tu rales de surprise et tu te débats en essayant de m’écraser les pieds avec tes talons haut noir et fin mais avec les bottes de sécurité de moto je ne sens rien ! je m’amuse à te presser contre la commode est tu râles de plus belle.

Je te tire comme un pantin et je t’envoie balader sur le lit, tu rebondis et tu n’as pas le temps de te retourner qu’avec un autre foulard de ton tiroir je commence à te lier les chevilles et pour limiter tes ruades je me suis assis sur tes mollets, je connais la douleur que cela provoque…et je prends aussi mon temps pour parcourir tes jambes et le triangle de soir de ton bas qui prend naissance dans ta chaussure en débordant et continue comme une ligne qui donnerait la direction.

Tu te retrouves entravée et tu cherches à te débattre mais le brelage des coudes t’empêche de te retourner car tu n’as pas d’appuis.

Je fouille dans ton tiroir pour trouver le collier que tu m’as fais porter mais je ne le trouve pas et donc pour palier à cette absence je décide de sortir tous les foulards de ton tiroir et de faire un tri…j’ai de quoi faire et la douceur de ceux-ci va certainement m’aider à te faire souffrir…

Je commence ma toile en fixant à chaque pied de lit un foulard que je ramène vers l’intérieur du lit et je continue mes découvertes…je tombe sur ta panoplie de sex toy…je retire une ou l’autre crème qui pourra m’aider et je décide de commencer le supplice.

En te retournant je te bloque le bassin en m’asseillant sur toi, tu me tournes la tête pour me fuir mais je m’en fout…car j’ai mes mains qui chatouille et je commence par te masser la poitrine doucement à pleine main , bientôt tu commences à pointer fermement et tu rougis de ne pas savoir te maitriser…une couleur pourpre envahi tes joues…tes seins gonfles et bientôt je n’ai aucune mal à te tirer les seins par le teton ce qui le soulève et sans étirer à faire mal, je commence à le relacher…et le reprendre…tu gémis de suite de cette pincette sur ton sein droit…mais quand je commence à jouer avec l’autre en même temps tu revulses  tes yeux et tu veux te libèrer mais c’est impossible…tu perds déjà le contrôle et saisissant cette opportunité je decide de les balancer lentement en les faisant coigner l’un contre l’autre et du même geste je tord tes pointes tendrement, tu commences à gronder et à gémir plus fort…après t’avoir rendu super sensible à ce petit jeu, je plonge sur chaque mamelon et je joue à tourner la pointe autour de ma langue, tu te cabres littéralement comme pour augmenter la pression de ton sexe sur le tissus de la fermeture éclair de mon jeans.

Cela ne prend pas longtemps avant que le frottement que tu réalises perce ta culotte et mouille mon jeans…tu gis les yeux fermés, cassé de surprise et j’abandonne ce jeu pour écarter tes jambes et m’offrir ta chatte mais je ne prends pas de risque et je ligature chacun de tes pieds à chaque extrémité du lit.

Tu reprends un peu le dessus sur cette première émotion en réalisant que tu n’as pas vraiment le choix et je me suis assis prés de ta tête, je te regarde…prise à ton propre jeu.

J’espère que tu apprécieras ce cadeau et comme je suis  aussi très excité, je te parcoure des doigts sur les coutures de tes sous vêtements puis je m’allonge sur toi à l’envers comme un 69 mais c’est juste pour te donner l’illusion et je commence à te lécher à travers ta culotte puis je l’écarte de la pointe de la langue pour mieux atteindre ton clito…après 2minutes de jeu tu ne tiens plus et pour bien t’achever je refais le tour et je m’accroupi entre tes jambes au bord du lit…je prends appuis sur tes genoux et écartant un peux ceux-ci je plonge sur ton clito gonflé tout rose pour te faire passer un bon quart d’heure de minette….le début est dure car tu résistes un peu mais dés la première expression de jouissance, tu ne sais plus rien retenir et je me prive pas pour varier les plaisirs de ma langue en lèchant bien grand entre deux passage à haute vitesse sur ton clitos. Tu me mouilles le visage tellement tu es tourmentée et quelques minutes de plus finisse de te fatiguer !

Repue, tu ne sais pas résister…je te détaches les chevilles et je te retourne en te faisant glisser sur les genoux.

Pour éviter toutes remonté, je te ligature les coudes comme les chevilles avant…tu es plaquée face au lit et tu te voix dans la glace qui trone à la tête de ton lit…je saisi alors la force que tu avais la dernière fois car tu te voyais et je ne le voyais pas !!!!

Tu te vois captive et tu ne sais rien faire…je déballe mon sexe gonflé et je te frappe les fesses avec en le regardant rebondir…ta croupe large et taillée en deux sur chque fesse  par l’attache du bas me donne un effet très stimulant…tenant tes mains jointes dans le dos je me présente à ta vulve humide…je commence à te rentrer mon sexe et je t’entends déjà manifester une expression de ton état d’excitation…lentement centimètre par centimètre je rentre ce qui tu fais courber le dos et plonger le visage dans la couette pour crier…mon sexe est brûlant et je sens la différence de température.. ; tu résistes pas très longtemps avant d’avoir l’envie de reculer pour que je rentre plus vite et mieux ;

Mais comme j’ai décidé de m’imposer entre tes cuisses, je ne te laisse pas faire. Au contraire, après deux minutes de vas et viens. je stoppe tout et te présente ma queue à ton anus…la crispation est directe, et pour mieux rentrer, je décide de cracher sur l’entrée de ta gorge inférieur.

Là aussi je rentre lentement en répétant le crachat pour mieux rentrer…tu gémis à chaque centimètre gagné et après deux petites minutes j’ai mes couilles qui frappe ta vulve…c’est intenable pour toi et je profite de ton relâchement pour t’inonder de mon jus…tu commences à te tendre sous la force du plaisir.

Je reste pour bien me vider et me retirant je m’essuis dans un des foulards ;

Je te regarde encore un instant attaché et je decide de te laissé ainsi pendant plusieurs minutes

ton regard se tourne vers moi et je peu y lire ce désir...ENCORE!

 

Par toutenfantasme.over-blog.com
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 13 juillet 3 13 /07 /Juil 22:10

 

J’adore ce moment de repos…quelques instant en suspend avant de te donner le coup de grasse ! et celui là tu va pas l’oublier…

Je te dégage la bouche du bandeau et je me tourne var ton tiroir…tu gis sur le lit, encore abasourdi de l’attaque.

Je dégage l’engin de ton tiroir, regardant les moyens à employer pour ne pas me géner …et je trouve enfin le moyen en laissant du mou…tu te reprends en te demandant ce que je fou et l’instant d’après tu sens la pomade froide qui glisse entre tes fesses. Tu reconnais de suite la caractéristique de celle-ci et tu sursautes en m’interdisant de faire cela. Il ne m’en fallait pas plus ! je présente le gode que je me suis harnaché à la taille et je rentre délicatement mais sans hésitation dans te creux de tes fesses. Immédiatement tu te plantes la tête en criant de douleur…une douleur suave...lente…qui te prend le ventre…et l’instant d’après la deuxieme pénétration par mon sexe dans ta chatte…la tu cries gorge ouverte ! c’est intense…profond…et lent…très lent…

L’oscillation que je provoque pour te prendre crée un retard entre le gode et mon sexe…mais le point culminant et synchrone…tu ne tardes pas à raler sans mes coups de reins et tu jouis presque une première fois mais je stoppe net le mouvement pour te laissé le temps de retomber…tu rages encore plus fort.

Le jeu dure prés de 20 minutes qui te paraisse une éternité jusqu'à moment où tu me supplies de ne plus m’arrêter, tu veux jouir…et je t’accorde ce plaisir en finissant longuement à te faire bondir sous le butoir de mes reins…tu sombres presque mais tu n’as plus de volonté ...juste assez pour me dire que je suis la meilleur pute que tu es eu…tu t’endors presque immédiatement.

Quand je reviens dans la chambre après m’être rincé le sexe, je te trouve endormis et sans retenue…délicatement je retire chaque lien et tu te retournes pour m’inviter à me coucher prés d’elle. Dans cette position, tu viens m’épauler et tu me regardes dans les yeux…et je peux enfin me libèrer de ton joug...nous avons explorés nos limites nous continuerons chacun de notre coté désormais.

 

la bécane est froide...le moteur claque et en m'éloignant je sens que le traumatisme ce transforme en force...et quel puissance!

 

Par toutenfantasme.over-blog.com
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 14:22


Je rêve souvent que je suis féminisé de force, dénudé complètement...douchée savonnée comme une pute! Je voudrais me débattre mais il y a trop de mains! fermes! décidée! toutes ces chiennes qui obéissent à une seule voix!
je suis tordu de liens et bailloné partiellement, je ne peux que constater que l'union fait la force et je suis seule! soumis de force par tant de mains.
tout ces yeux avides de sentir la chair fraiche de mon pucelage anal se rompre sous leur doigt et leur gode...je me sens violé avant de l'être et puis enfin purifié d'avoir porté des vêtements d'homme, je suis rhabillé...trainé, en soumise obligée et attachée à la merci de toutes ces chiennes qui ne cherche qu'un but unique.
Elles se régalent à me ridiculiser en femelle, me voir essayé de ma débattre malgré les liens qui se font et se tendent en m'écartelant sur ce présentoir, même mes cris de femelle sont bloqué par ce bâillon. Puis ma volonté disparait sous la torture...et j'obeis alors à tout leur caprices toujours sous ce "regard rouge" qui les limites et les guides...la maitresse des maitresses! et quand je pense être libérée de cette torture où je n'ai servis qu'à être un pieu, un sexe! alors je me fais sodomiser par celle qui m'a offert et je la sens prendre ce plaisir immense à me tirailler et s'offrir mon pucelage sous le regard de ses chiennes de guerre admiratives qui l'encourage et la félicité de briser la chose...devant ensuite encore devoir lécher sans arrêt toutes ces fentes qui se sont servies de moi...accepter de porter cette tenue à jamais en leurs présences...finir comme une pute à maitresse en éducation...
J'en perds conscience à en vomir tellement ce viol groupé de maitresse m'a brisé...

Par toutenfantasme.over-blog.com
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus