Mardi 12 mars 2 12 /03 /Mars 14:09

C’était une invitation…juste une invitation et je ne pensais pas le moins du monde que la soirée ce passerai ainsi….et pourtant…

Après avoir passé la journée à la mer en ce mois de décembre froid et coupant du au vent d’hiver du bord côtier, nous revenions à toutes allures sur l’autoroute.  Ma vieille golf 2 GTI  donnait tout ce qu’elle avait en chauffage dans l’habitacle…l’amie qui m’avait accompagné pendant cette journée m’invita à prendre un café réconfortant dans son appartement en ville.

Jamais au monde je n’avais imaginé que la fin de soirée serai aussi froide, une fois la tasse englouti, un silence apparu entre nous…que faire…nous avions baladé toutes la journée et une chose était sure, nous étions ami et nous ne voulions pas autre chose entre nous…c’est pourquoi il était temps de nous séparer et de rester sage pour éviter de rompre l’amitié qui nous unissait tout deux.

En descendant les quelques marches qui mène à son entrée principale, je me retournais pas…c’est un principe ridicule que j’ai mais je ne me retourne jamais, simplement pour que l’autre ne puisse lire dans mon regard le regret ou simplement un autre sentiment qui le traverserait à ce moment là.

Donc lentement j’arrive à la porte et celle-ci est hélas verrouillé de l’intérieur…certainement un autre locataire qui a cru bon de faire le malin !

Je respire un instant, soupirant de ce contretemps qui pourrait être interprété d’une autre façon par cette amie…ce serait génant et inutile…que faire…l’espace d’un instant je réfléchi à la formule puis j’avance et je remonte la volée d’escalier. Arrivé en haut je veux frapper à la porte quand je me rends compte que celle-ci n’est pas verrouillé…une chance, je sais qu’elle allait prendre une douche et puis dormir…peut être que…

Effectivement la lumière de la pièce principale est éteinte…magnifique, cela me donne le temps de rentrer sans bruit et de revenir porter les clés.

Un bruit d’eau attire mon attention et je ne résiste pas à l’envie de jeter un coup d’oeuil…l’autre pièce donnant sur sa chambre et puis sur la salle de bain je ne risque pas grand-chose, alors doucement je referme la porte et j’avance vers la chambre qui est dans la pénombre juste éclairée par un ru de lumière provenant de la dite salle de bain…je resiste un instant puis j’avance encore et je la vois se tortillant pour hôter les derniers dessous et libérer sa poitrine prisonnière de se soutient satin jaune à fleur…le tanga suit le même chemin…et nu comme un vers elle s’enferme dans le rideau de la douche brulante…

Je me pince les lévres de l’envie de me mettre à poil pour la rejoindre.

Retournant vers l’entrée pour récupérer les clés, je remarque que sur le lit est disposé un corsé soyeux pourpre sans balcon à porte jarretelle , des bas, et un jupon fendu noir… un loup noir à plume… un petit fouet god…hou……cela sent la soirée satisfaction.

Restons discret et fuyons me dis je…je réfléchis et doute un instant, j’attends, je doute…et si…mais arrivée à la porte principale je me rends compte que je dois ramener les clés…malin !

Laissant la porte non verrouillé je remonte reposer les clés et ma surprise est de trouver une porte close ! je dois rouvrir celle-ci sans éveiller l’attention…délicatement j’ouvre et je rentre pour déposer les clés sur la table…et puis non sur la serrure.. ;elle n’a qu’a verrouiller elle-même !

Tout ce serait bien passé si elle n’était pas sorti à ce moment là de la douche un essuis sur la tête en sifflotant un air de musique classique…mimodant des paroles bizarres…je l’entends se convaincre ‘ha tu n’as pas craqué…’ aucun soucis….je vais me satisfaire en t’imaginant ! Manu tu sera mon amant de masturbation ce soir !’…

Je décide de montrer à cette petite que ce n’est pas aussi simple et d’une voix sourde je verrouille la porte et annonce ma venue…BONSOIR !

Son réflexe est immédiat ! elle plonge sur l’essuis pour cacher sa tenue et dans le noir elle se foffile dans le coin de la tenture de sa chambre.

Verrouillant encore une fois la porte…je retire mon pardessus et j’avance lentement vers la pièce…

‘Sort du rideau et avance vers le lit’

Sans un mot, cachée derrière son masque elle avance et reste debout…j’arrive dans son dos…et lui intime un autre ordre…

‘FINI DE T’HABILLER’….’TEND BIEN TES BAS’ !

Sans un mot elle excécute les ordres et frissonnante elle se remet debout face au lit…’CROISE TES MAINS DANS LE DOS’…

Sans rien dire ni demander elle accepte que je la ligature ainsi et je remarque que le jupon se pince dans sa raie sous l’empressement…j’enfonce alors encore plus le tissus en passant ma main entre ses fesses… et d’un geste ferme je claque celle-ci !

Un petit cri est étouffé dans sa gorge, tout juste pour ne pas dire trop juste…alors prenant bien l’empleur du geste est de la générosité de sa fesse je recommence encore une fois sur chaque fesse cette fois.

Aucun cri ne sort cette fois ci.

Le noir ayan envahi la pièce, je la distingue juste par l’habitude que prennent les yeux dans la pénombre…pour évité tous risque je lui bande les yeux.

Quelques secondes s’écoulent et je reprends mon jeu en lui suçant la pointe des seins…je m’amuse à les faire gonfler et puis…soufflant sur ceux-ci…ils enflent littéralement. Alors me servant du petit fouet je passe dans son dos et la fouette délicatement chaque seins pendant plusieurs minutes…c’est alors que doucement je sens ses mains encore liés se saisir de mon sexe à travers mon jeans…et chaque claquement du fouet la fait pincer légèrement mon sexe durci par l’exercice…elle s’appuis de plus en plus sur mon torse et son souffle prend le rithme des cous…ensuite sa respiration se saccade et au bout de plusieurs minutes elle gémit complètement sous le fouet qui claque maintenant sur ses seins…elle écrase ses fesses sur mon sexe gonflé et redemande encore et encore…puis je la pousse sur le lit, tête la première elle s’appuis sur un genou et me montre une croupe formidable…quand l’envie me viens de fouetter ses fesses…il n’en faut pas plus pour l’entendre gémir plus fort …et pour ne pas perdre le file de la discussion je fini par la mettre sur son dos et remonter son jupon e lui faire le même châtiment à son sexe…..c’est alors une hémorragie de plaisir insatiable qui la fait pleurer et gémir de plaisir ponctué de oui…oui…encore…Je n’en peux plus ! j’ai envie de me faire sucer tellement je bande…

Luis demandant de me serrer sa poitrine je la détache et revenant vers elle pour lui fouetter le sexe, passant par son visage avec mon sexe, je coince mon sexe entre ses seins qu’elle presse sur mon sexe et je sens sa langue me parcourir le trou…je resserre celui-ci par réflexe et quelque instant plus tard elle me masturbe le sexe, j’essais de la fouetter encore mais son avidité me fait perdre l’avantage…tant est si bien que sans comprendre je me retrouve à mordre un foulard  et attaché à mon tour fermement cette fois ci par ces soins…et bien que musclé, je ne sais pas résister à la tractions des nœuds qu’elle applique avec force.

Merde ! deux secondes plus tard je jouis sur son ventre sous son geste de branle rapide perdant ma force elle serre finalement me bloquant complètement…foutu…elle fini le tout par un bondage complet des jambes des bras…et sans rallumer elle vient me mordre les tétons à sont tour... j’hurle sous la douleur et un coup de fouet sur le cul me fait tordre dans l’autre sens.

Elle me surplombe alors et sans invitation s’empale sur mon sexe qu’elle a fait durcir juste avant…la pénétration est à la limite de la foulure et je me cambre pour résister. C’est alors que son fouet me frappe le torse et son ordre aussi..’ne Bouge pas’…je veux pour reprendre lélan arrière quand elle enfonce complètement mon sexe en elle ! la douleur  du au tirage de la peau est terrifiante…presque une brulure mais sa cavalcade l’instant d’après me cueille encore plus.. ses hanches partent dans un mouvement si brusque et frénétique que je gémi sous la pression et son fouet remet ça…je la sens monter et surtout son fouet me frappe de plus en plus…quand elle se cabre en arrière actionnant le manche du fouet qui est une sorte de mini gode…le frottant énergiquement sur son clito… elle pousse un hurlement de rage…profond…’c’est moi  la reine ici’…’dis le’…’dis le’…

Et sa jouissance arrive si fort que je jouis également avec elle….

Quelque minutes plus tard elle me serre toujours contre ses seins caressant mes cheveux…toujours baillonné…j’essais de parler mais elle s’en fout…me mordillant l’oreille elle me retourne sur le ventre …à mon tour de te donner la fessé…et le fouet s’abat sur mes fesses me faisant presque hurler de surprise…’tu aimes ?’…car cela va être ton quotidien pour ta peine de connaitre se secret…’ soumet toi ! et vlan…le fouet s’abat…

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Jeudi 25 avril 4 25 /04 /Avr 13:11


Je suis troublé depuis quelques jours, j'aime la sensation de féminité et notre discussion la réveille doucement comme une fleur au printemps.
ce matin en buvant mon café je me remémore un épisode de ma jeunesse...je me rappelle la première fois que j'ai touché le corps d'une femme, la première fois que j'ai touché une culotte de femme, en ensuite la première fois où j'ai pris du plaisir...
Tout ce que je connaissais d'une femme je l'avais lu, ou appris dans des revues pornos de mon père. Pour moi les filles étaient sensuelles, douce, toujours sexy, comme dans les revues "lui" de mon père.
J'ai fantasmé pendant des jours et des jours sur les articles de revue de lingerie, sur les explications des femmes sur leurs attente. Parfois j'étais frustré de certaines révélations....
Je n'avais jamais réellement embrassé une fille avant mes 14 ans, il a fallu que je surmonte ma timidité de l'époque pour "osé demandé de sortir" avec une fille. De plus j'avais déjà tenté certaine chose de mon coté, j'adorai fouillé dans les paquets de vêtement de ma marraine qu'elle remisait au grenier. Une manne d'or comme je disais! parfois je trouvais une vieille robe croisé en viscose, avec un imprimé année 60-70, un soutient, une culotte. Le plus drôle était de voir les photos et de trouver les vêtements...cela me permettait de comparer, de voir comment c'était porté, avec quelle classe ou négligence...ou fierté...les époques...pour ma part la féminité a commencé dans les années 50...très discret mais très belle qualité de tissus...robuste...un peu austère...mais plus que tout, mon réel plaisir était de sentir la douceur, le frotter sur mon ventre..je n'envisageais alors pas de laissé ce trophée dans les mains d'un autre. le plus dure était de sortir les fringues sans éveiller l'attention et surtout espérer que l'on découvre pas le larsin! j'ai souvent eu peur que ma mère ne décide de remettre mon Tshirt droit! ou m'oblige à retirer mon pull! simplement parce que je portais tout sur moi pour éviter que l'on retrouve cela dans la valise une fois à la maison! Hé oui! j'anticipais tout! fallait ruser.
j'ai du trouver des cachettes dans la maison, dans ma chambre...car mon père avait peur que je 'fume de la drogue' ce qui lui servait d'excuse pour fouiller ma chambre..alors que je ne fumais pas à l'époque!
Combien de fois j'ai rêvé pouvoir m'enfermer et jouer seul...jusqu'au jour où...mon père m'a donné la clé de la maison pour revenir de l'école le mercredi après midi...pouvoir rentrer de l'école et profiter seul! un bonheur.
c'est là que j'ai commencé, j'avais 12 ans...un peu moins...bref...et j'ai commencé à découvrir ou plutôt prendre le temps d'assouvir. C'était dingue en fait car je fermais toutes les tentures, tous les rideaux et je prenais le temps de passer cela, ceci...découvrir la douceur, de faire comme dans le film où la femme s'applique à passer ses bas...rien qu'à l'idée je pédalais plus vite pour rentrer à la maison. Puis un jour le grand trouble, je m'étais habillé, pris le temps de tout porter, et je déambulais dans la maison quand on a sonné à la porte! Merde! j'ai couru comme un dératé pour me changer et planquer le tout sous le lit. Puis à une vitesse que je ne me connais pas je suis venu ouvrir....
c'était la voisine qui venait voir "si tout allez bien" à la demande de mon père!
Quel emmerdeur celui là alors. Retournant dans la chambre je constate que j'avais "fléché" le panti mouse! une vrai maladie! bon c'était pas le meilleur mais bon j'en avais plus maintenant!
c'est alors que j'ai du remplacer ce Panti par une autre paire, mais ou trouver ça et surtout oser l'acheter (sans rougir à fondre!)
deux semaines plus tard par chance j'étais chez ma marraine et vicieusement je reprends ma fouille...et bonheur ultra je tombe dans un des nombreux coussins plastique énorme qui servaient à conserver les tissus, les draps, les couvertures d'hiver, ...les vieux vêtements! Bref, en fouillant dedans je tombe alors sur une prise de guerre terrifiante! des bas jarretelles, robe doublée, robe longue, jupons, jupe plissée, chemisier...des fringues magnifique presque à ma taille et en quantité...! Aprés avoir comparé et assemblé des paires, je décide de tout emporter ...comme d'habitude. Sur cette pensé je suis excité à l'idée d'arriver au mercredi...mais j'ai tant envie du haut de mes 13 ans que je résiste pas et du soir, je craque pour une tenue robe viscose fleurie mi longue avec fond de robe satin noir, bas assorti, culotte et collier de perle vrai faux plastique et je me couche dans mon lit avec l'entièreté de la tenue...(je repense à cette pin-up du magasine qui pose sur le capot d'une mustang exhibant les attaches du porte jarretelle page 22...) mais au moment de partir se coucher, la marraine vient me faire un petit coucou! dernier espoir, faire le mort!
Dans la pénombre elle ne distingue rien mais j'ai cette angoisse...elle se pose un moment et prends le temps de me carresser les cheveux, je sens alors en moi cette excitation...non!... puis elle reste prés de moi et caresse mon visage doucement pour ne pas me reveiller mais suffisamment pour me communiquer cette douceur...je ne tiens plus! je ne veux pas bouger par peur de me découvrir mais j'ai l'impression que mon corps glisse, je me contracte tant que je ressens le plis de chaque chose que je porte...la culotte, les bas jarretelles, le fond de robe, le soutif...bref...je me sens mal, si pour une raison ou l'autre elle décide de me découvrir, elle va tomber sur un spectacle hallucinant! finalement, un légé bisous me soulage de cette frayeur!
De retour chez moi, ce mercredi là je m’apprête comme tous les mercredi depuis quelques mois...mais en essayant de retrouver cette excitation...me glissant dans le lit je m'imagine alors surpris par cette femme sensuelle, satiné  comme l'est la pin up de la page 34...c'est une maitresse de maison, qui semble n'avoir pas eu le temps de finir de s'habiller est qui pose sur une table de cuisine en se retouchant le maquillage, deux bigoudis encore emmêlés dans les cheveux, elle a les jambes croisées et négligemment on distingue le haut de ses bas tendu fini par un escarpin à talons de verre. Son peignoir satiné a glissé sur ses coudes et son fond de robe créme fendu à la cuisse plisse sur la ceinture, relaché, laissant retomber la bretelle qui cache encore sa poitrine tendu dans le tissus...
je la sens, elle glisse sa main et parcoure mon échine de la pointe des doigts...partant du cou elle descend sur mon dos et le traversant elle arrive enfin à mes courbes dans le tissus aidant, celle ci enfonce alors doucement l'étoffe entre les fesses, puis glissant sur la jambe elle remonte dans une caresse infinie sur mon sexe gonflé dans le tissus...
Voilà ma pensé à ce moment, je ressens cette caresse imaginaire et je voudrais plus de pression...me viens alors l'idée de ne pas pouvoir résister à cette caresse...je ressors de ma torpeur et je saisi les foulards trouvé dans cette manne d'or!
J'imagine...je pourrais être cette pin up page 56 qui est enlevé par un robot metallique...
Puis remontant dan les images, je trouve celle qui me trouble le plus, c'est cette femme tout en noir qui semble gronder une femme de chambre et qui la ligote page 78...oui..fort!
je me bâillonne alors comme à la page 32, et me ligote poignés et chevilles comme page 78.
me glissant dans le lit, je ne sais plus bouger  ou presque, je perçois presque cette femme; elle m'observe, me ressere, m'oblige, me touche, me parle presque en mot léger...m'obligeant à rester calme, un viole lent....la sensation monte, je commence à le ressentir mais 'ai du mal à synchroniser mon imagination sur cette femme et en même temps mimer la scène, ...après un temps je me lasse, je n'arrive pas à amplifier le phénomène, depuis plusieurs mois maintenant...c'est frustrant, je vais me détacher et me redevenir "un garçon normal" , Et là, je constate que je suis vraiment bien ligoté, c'est malin, comment vais je faire pour me déshabiller, l'heure tourne, je suis coincé par ma faute en faisant passer les mains dans le dos! tout ça pour pouvoir me toucher les fesses galbée dans le tissus! le plaisir de me chatouiller l'entre cuisse!
je me couche sur le ventre en voulant me débattre, le tissus m’excite, les étoffes se croisent et les bords des bas tendus par ma posture improbable m'obséde, c'est terrifiant, je suis vraiment mal embarqué, la pression augmente, je me débat pour rien et je perds des forces, je n'arrive plus à repasser mes mains devant...pire je me coince les mains et les chevilles ensemble.
Je ne sais pas crier, j'étouffe presque à essayé de respirer par le foulard que j'ai serré moi même! Et je subis  sans le savoir...je panique, j'essais de tirer sur le lien des chevilles pour me libérer les jambes afin de pouvoir sortir du lit et trouver une solution....rien n'y fait, je me résigne et me remet sur le ventre, je sens ma tenue remonter et divulger le haut de ma tenue, pourvu que j'y arrive car la posture devient très indécente, excitante presque!
Qu'est ce qui m'a pris de serrer si fort, je fatigue, je glisse dans les étoffes et je ressens lors de ma déglutition mes tetons gonflé qui se prennent dans les dentelles du soutien,  et là, au creux du ventre monte une douleur que je ne reconnais pas de suite... la culotte me rentre dans les fesses, tirée par devant à cause de mon sexe qui gonfle et étire le tissus satiné. ma glote se bloque parfois, et une douleur pointu me transperce du ventre à la pointe de mon sexe en passant par mon anus crispé sur l'étoffe serrante de la culotte satiné qui s'obstine à rentrer! je me débat encore presque à gémir et la douleur s'intensifie, mieux, elle devient grande et constante, je maitrise plus rien, elle la douceur de ma tenue semble entretenir cette douleur...non ce n'est pas une douleur, c'est plus fin, plus imprécis...
Ce n'est pas une douleur mais une sensation, je la connais, j'en ai eu peur de cette sensation, dégouté plus jeune, quand j'avais 8 ans dans les douches au bassin avec l'école, un copain m'avait frappé le sexe en me voyant bander dans mon maillot, cela m'avait fait si mal...je l'avais repoussé fort et dégouté de cela, j'ai caché mon sexe si longtemps, peur de revivre cette évènement frustrant...mais ici, cela vient de loin, j'essais d'y resister, je mords dans le foulard, que ce passe t'il? je suffoque en expirant trés fort, je n'arrive pas à me débattre, c'est affolant, plus je bouge moins je résiste mais je me surprends à aimer la sensation, la sensation devient irrésistible, tenace, intense, chaud, je sens mon sexe rouler dans le tissus et je peux presque ressentir comme avec le doigt la douceur de l'étoffe....quelque chose m'humidifie la culotte satiné, je ne sais pas résister à ce plaisir de l'éjaculation, plaisir inconnu...et là je perds encore de la vigueur, mon corps frissonne, et une nouvelle monté m'inonde les dessous, je sens l'écoulement le long de la bordure des bas  , je me laisse jouir...c'est si doux, mon corps convulse malgré moi, plusieurs fois...je me délecte...je me détend et me retournant sur le dos j'arrive à me dégager les mains...enfin...je traine encore un instant, parcourant mon corps j'enfonce mes doigts dans les enchevêtrements des vêtements comme pour remettre ceux ci droit et je jouis encore un peu à cette image...profond, parfais, je suis comblée...Emmanuelle...prendre un tel plaisir inconnu me fait rougir d'avoir encore envie, gourmande, salope dirai je...si j'étais une femme, je serai...non, je suis mieux que cela je ...suis une salope! et j'aime ça...

Je termine ma tasse de café et je regarde l'heure, c'est fou comme le temps passe vite, mais le souvenir de cet instant est gravé à vie dans ma mémoire...tout...

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Mardi 21 mai 2 21 /05 /Mai 23:09

Aujourd’hui je vais me balader, j’ai cette envie de passer une journée exceptionnelle.

J’ai sortie la combinaison cuir, graissé la chaine, chauffé la machine, je serre mes gants et après avoir enfourché la machine et rabattu la béquille, le coup de gaz pour lancer le moteur.

Rugissant de plus cent chevaux, il tourne avec ce grésillement propre à un quatre cylindre.

La première vitesse engagée, premier tournant, je chauffe les pneus doucement. J’attends l’attaque, la première sensation, le premier soulèvement du foie. Ça y est, le macadam prend son due de gomme  et les courbes s’enchainent…le plaisir des sensations aussi. Quoi de mieux que la sensation, le ressenti. La puissance, le déchainement, la force, toutes ces choses qui se perçoivent et qui ne s’achète pas.

Cette journée sera parfaite, le bout du voyage sera la retrouvaille d’une sensation.

Une sensation que l’on ne peut acheter, que l’on ne peut comprendre qu’en la vivant.

Tout comme un saut en parachute, un baptême en hélicoptère…ou encore le trouble d’un public, du silence, de la gestion aléatoire, la présentation d’une idée…bref, approcher l’inconnu et vivre.

Chaque expérience donne un chemin sur la maitrise, sur le vécu, et surtout sur la voix à suivre. Parcourir le chemin est l’apprendre par cœur, savoir le faire les yeux fermés, répéter et encore y repenser. Hésiter, varier, se remettre en question. Et plonger à nouveau pour faire plus fort, plus intense, plus …parfait.

Le bout de la route approche, dans quelques kilomètres je sonnerais à sa porte et je rentrerai sans parler, sans me décoiffer, sans me présenter…

Je sais que tu n’as pas vécu cela, alors je te le partage, mais sans le vivre, la saveur restera simplement des mots dans un espace entre toi et moi. Inutilisable si tu les comprends pas, atroce si tu les détestes, et absurde si tu n’es pas assouvis…

Alors je cadenasse la moto et je me dirige vers la porte. Coup d’œil à la maison me rassure, tu es présente. Mieux, tu m’as entendu et la porte s’entrouvre.

Tu as fuit de l’entrée et me demande de fermer la porte à clé. Je n’hésite pas, et te recherchant je sors mes menottes…

Sans me déshabiller, sans retirer mon casque, je surgis dans la chambre où tu m’as attendu…docilement, tu es terriblement attirante dans ton peignoir satiné long, tes mules qui chaussent tes pieds emballés dans leur bas sont ravissante…ta prestance, ce galbe que tu imprimes à tes reins assise sur le bord du lit mains croisés sur ton genou croisé entrebâillant le peignoir.

Tu te lèves d’un bond pour venir vers moi et t’écraser la poitrine sur mon cuir…tes mains frêles parcourent le faux col de ma veste et tu me regardes comme un chien battu à travers la visière de mon casque.

Tu te pinces la lèvre inférieure car tu voudrais me dire quelque chose mais chaque parole dénoue la suite de l’histoire…alors tu attends que je continue…parcourant le satin de ta tenue sans enlever mes gants en gros cuir. Suivant tes bras je te menotte les mains dans le dos…tu te laisses faire et tu  essais de contenir ton excitation. Tu te retournes pour que je m’applique sur l’autre poigné, puis une fois menotté tu reprends contacte avec mon cuir en appuyant tes fesses au cuir de ma combis.

Ta croupe m’excite, tes courbes satinés prennent une telle valeur à mes yeux qu’il m’est impossible de retenir mes mains, mais je ne veux pas te transmettre mon excitation, seulement monter la tienne…parfaitement, complétement, et surtout sans influence.

J’attrape ta poitrine à pleine main et tes mains glissent sur le cuir. Je te retourne menottés et je retire enfin mon casque et tu es surprises de constater que seul ma bouche et mes yeux apparaissent de ma cagoule licra noir de moto.

Tu reconnais mon parfum poivré et tu écoutes le cuir craquer sous ma respiration.

Je t’embrasse dans le cou pour gouter ta peau chaude,  tendre, parfumée.

Ta carotide me donne le battement de ton cœur et il s’affole, surtout quand je te dirige vers le lit sans me décoller de ton corps. Une fois prés du lit où tu te plaques face contre le matelas, je saisi tes fesses satinées et submergé par la vision de ton corps ainsi mis en valeur, je te parcoure, t’embrasses à travers les étoffes…mes mains vulgaires te froissent et m’empêche de ressentir correctement la sensation, c’est encore plus frustrant et malgré tout magique car seule toi peu ressentir, le froid des menottes, la force de ma domination, et mon excitation bridée…je fonce sur tes dessous et pince celle-ci fermement retroussant celle-ci légèrement sous la pression…les motif s’impriment et ta respiration m’informe encore un peu plus….te libérant des menottes je te sens filer comme un poisson qui frétille,  je te pousse sur le dos et t’embrasse enfin…pour te soulager de cette attente…et te remettre dans ton rôle de soumise au plaisir.

Tu me regardes dans les yeux et retirant ma cagoule je la glisse à l’envers sur ton visage pour t’aveugler complètement sans pour autant me priver de toucher tes lèvres à travers l’étoffe douce.

Dans le noir absolu, je t’étends sur le lit et jouant de foulard en foulard je t’immobilise les jambes de par tes chevilles et tes mains au dessus de la tête un nœud coulant que j’étire pour te remonter la poitrine au maximum. Tu respires profondément sous la sensation qui t’envahi lentement…tu ne décides rien, tu subis, tu perçois mes gestes, ma fièvre, ma respiration.

Tu ressens que ton corps s’étire, et que l’excitation monte malgré toi. Lentement je remonte vers le nœud du peignoir sans le défaire je le glisse sous toi et remontant celui-ci à la base de tes seins galbés dans ta nuisette. Je serre alors ceux cis dans un bondage léger de façon à faire gonfler les tétons au maximum…et m’en délecter. Je connais la sensation que cela provoque, surtout quand le niveau de patience est important…mes mains gantés, épaisses, parcourent le tissus…tu gémis à travers la cagoule… sous chaque coup de langue à tes pointes durcies, tu t’étires, tu ressens alors cette force qu’a la soie d’un foulard pour te retenir, sans te blesser, sans te gêner…mais sans te libérer. La contrainte s’accentue encore, tu voudrais me guider mais je refuse de t’écouter, et mes mains glissent vers ton sexe qui s’humidifie et se frustre sous le parcoure de ma main…celle-ci s’attarde et commence à masser sans grand débattement , tu perçois juste la pression.

C’est lent, puissant et coordonné avec le parcour des mes lévres et ma langue sur tes seins…l’odeur de mon cuir empli la piéce et retirant mes gants je précise la masturbation lente que j’applique à ta chatte…écartant le tissus, je rentre mes doigts fréquemment dans ton sexe complétement humide de mon jeu…et tu serres les dents pour retenir l’émotion mais celle-ci monte de plus en plus et malgré tes débattements tu sens celle-ci monter de plus en plus et arriver à ce point si précis que tu te cambres…glissant dans le tissus de tes étoffes, tu succombes à la sensation….encore, encore quand tout mes gestes s’arrêtent et tu reprends ta respiration…tu souffres, c’est contraint que tu acceptes ma langue sur ton sexe et là encore tu t’éttires, tes jambes retenues ne peuvent te défendre et tu essais de te libérer sans succés, les nœuds sont bien fait et bientôt la brulure du ventre s’intensifie, se précise, tu gémis fort, tu ne sais pas te retenir de gémir et dans un pleure d’abandon tu jouis sans possibilité de bloquer ce fait…tu pleures sans raison et ta souffrance est profonde, mais libératrice, tu te sens libre, sans force, soumise…gourmande…

Je t’invite alors en te libérant les chevilles mais sans te libérer les mains. Je te guide alors vers la salle de bain et te tirant dans la douche, je te plaque à moi et écartant de force tes jmbes par les miennes je te fais un supplice encore plus fort…tu ne résisteras plus à rien…le jet de la pomme de douche venant exciter ton sexe rougi d’avoir jouis sous mes doigts, tu rales du peu de force qu’il te reste et les étoffes humides deviennent transparente.

Ta chatte est irritée par le jeu et le jet tiéde…juste tempéré…et serrant les dents tu essais de résister…sans succés après plusieurs minutes tu gémis de plaisir si fort que tu ne sais plus respirer qu’entre deux gémissements….tu es affolées et tu te relaches enfin…

Finalement, je te retire la cagoule et te présente mon sexe gonflé, toujours ligotés, tes mains s’appuient sur mon cuir trempé et tu me suces sans retenu, je m’abandonne à ton remerciement et quand j’explose tu t’appliques à récupérer mon sperme chaud sans t’arrêter, assoiffée de ces sensations qui ton envahi…

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Samedi 6 juillet 6 06 /07 /Juil 23:52

Parfois je me demande si tout cela n'est pas inutile...à quoi bon écrire, à quoi bon perdre le temps de faire découvrir des facettes qui ne restent que des fantasmes. Je désespère un peu ce soir et je m'en excuse d'avance sur le bourdon que j'ai et dont je vous fais part.

Je me sens seule, je suis peut être seule, le monde aussi est peut être seule, quelle trace dois je cherher pour trouver le bonheur, que faire pour être heureux.

Est on heureux si nous décidons de vivre notre vie...si nous vivons nos fatnasmes.

Je crois que nous avons l'impression d'immortalité par le fait de réaliser certaine choses ou certian fait.

nous avons l'orgueille de croire que nos pas dans la neige de l'humanité resterons à jamais.

à grande ou petite échelle, tout est si futile, si éphémère...que penser, que dire, que faire...

Je ne me pense pas à cela tous les jours, et je ne tiens pas à rassurer qui que ce soit...mais nous sommes éphémère au cas ou! alors parfois je me perds à vaguer sur certaines idées...que vouloir autre que vivre...alors tant qu'à vivre, vivons mieux, vivons bien me direz vous. c'est une relative...qu'est ce que bien vivre....réussir en amour, en affaire, en famille...qu'est ce qui apporte la satisfaction, la joie...la bonne humeur...

Le plus communément pour tout un chacun c'est le sexe...car à contrario avec n'importe quoi...nous l'avons toujours sur nous. Parfois je me résume dans mes actions et mes pensés...un rëve qui pourrait représenter votre vie entière se déroule en moins de 10 secondes dans votre sommeil. pourtant vous pouvez visiter le temps...parfois revenir en arrière au point de croire à votre réveille que tout a changé...

à l'échelle de la durée de vie d'une mouche...celle ci pourrait selon sa variété et le destin de la rencontre d'un obstacle vivre plusieur fois votre vie par la multiplicité de seconde de sa vie propre vie...mais une chose est presque certaine, pas en un seule battement d'ailes..

Alors parfois le temps d'une vie...je deviens certainement une autre personne et je transporte cela aprés dans la réalité.

Et parfois la réalité de mes songes me dépasse, me faisant presque douter de ma propre perception de l'instant de la vie que fini d'achever mon réveil...et souvent j'ai l'impression que la porte est restée ouverte...il me suffit de vouloir y retourner, de revivre mieux l'instant, de mieux apprécier ces quelques secondes de vie parallèle...qui représente une vie entière...et ne pas me réveiller de suite...vieillir un peu dans ce rêve.

 

merci

Par toutenfantasme.over-blog.com
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Mercredi 4 septembre 3 04 /09 /Sep 14:18

C’est comme une angoisse, un rêve, un songe, une vie...que l’on veut vaincre ; je ne sais pas comment tu me recevras, ni comment tu seras habillée…ou ce que tu oseras…je suis prés à tout malgré ma sensibilité à fleur de peau, car j’ai surtout l’envie de t’appartenir pendant ce temps…être à toi comme j’ai envie que tu m’appartiennes aussi.

Je me place dans la peau d’une femme pour mieux ressentir (mieux imaginer l'effet que cela produit sur toi) le plaisir de se faire découvrir, j’aime imaginer la sensation de mes doigts sur toi…le velours d’une nuisette qui glisse sur la peau ou d’un jupon qui déborde d’une tenue…la douceur d’un peignoir qui s’entrouvre et qui laisse apparaitre un autre tissus…encore plus merveilleux.

J’aime imaginer la sensation de se sentir fouiller et retenu par un lien qui bloque les mouvements. Un téton qui est affolé et l’envie d’offrir un orifice pour soulager la tension que l’on fait subir ou que l’on subi.

Passer ma main dans tes cheveux et gouter ton sexe humide sous une tenu qui me cacherait de tes yeux…te sentir te cambrer, te courber sous le désir et te déchirer sous le plaisir.

Entendre ton souffle accélérer quand je t’excite et sentir ton excitation quand tu m’envisages…oser espérer que tu me tortureras les sens, que ton mon corps sera ton terrain de jeu. Que tu traduiras chaque souffle jusqu’à enfin oser me pénétrer…ressentir comme une femme est torride, mais partager les encore plus.

J’ai envie de toi et en même temps j’ai envie d’être troublé, avoir la glotte qui se bloque, les lèvres qui s’entrouvrent pour chercher le salut des tiennes…envie que tu me faces mal sans douleur et sans sang…mais en cri du cœur. Partager mon intimité la plus profonde, la douceur la plus parfaite et le désir le plus intense.

J’ai envie de t’offrir mon cœur, tu as déjà ma confiance et tu peux user mon corps, tu peux l’étirer, le maquiller ,le travestir, le gouter, le palper, le ligoter, le torturer, le sentir, le prendre….

Féminise moi, docile moi, déshabille moi, transportes moi, goute moi, fait ce que tu veux de moi car j’aimerai tant te donner tous les plaisirs, tous les jeux, toutes les jouissances et toutes les caresses que tu désires. J’ai tant envie de te sentir trembler sous mon jeu de foulard et t’entendre dire ‘non’…pas ça.. et puis encore…repousser les frontières, t’obliger à jouir dans ma bouge, te noyer de caresses et de désir, te faire éclater de bonheur et te voir rougir d’avoir osé les gestes…ou voir ce regard gourmand qui profite enfin de la complicité parfaite. Te prendre comme une soumise et te faire porter des tenues trop juste ou trop osé, juste pour sentir la transformation, le travestissement du malaise en désir, de la gène en bonheur et du désir en plaisir. Laisser la partie cachée de nos personnalité remonter et nous dépasser, nous rhabiller dans un autre espace, une autre personnalité que nous seul pouvons comprendre et partager.

Par Raumarain
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