A journée ne sait pas très bien passé, entre les réunions et les pannes machines à répétition…une sorte de raz e bol m’envahit et ce coup de fil juste au moment de retourner…pfffffffff.
Mais bon quand on a une conscience, on s’incline et on accepte…donc je traverse la petite cour qui sépare le labo qualité qui jouxte la production.
La fine pluie de printemps me rafraîchi et surtout humidifie mon pull et mes cheveux, je déteste cela !
Enfin…je pousse la porte du labo mais à cette heure là il ne reste pas grand monde ! bref ! Dépanner une machine en fin d’après midi…pourquoi pas !
Me voilà donc, et cherchant après un opérateur, je trouve la responsable tranquillement assise à son bureau le nez dans les résultats de la journée. Très antipathique et presque chiante !
mais bon , c’est mon boulot en premier.
En la saluant je lui demande de suite quelle machine urgente demande aujourd’hui encore à être dépannée.
Je me dirige vers la machine en question et je ressens immédiatement se regard sur mes fesses, Je fais semblant de ne pas y songer et me voilà qui plonge tête la première dans le capot…..bizarre,
un fil arraché…à peine caché.
Je répare mais je prends plaisir à m montrer et comme mes outils sont toujours à terre, je ne dois me pencher d’un coté brusquement pour les attraper ce qui me permet de voir immédiatement si je
suis observé.
Je fais durer le jeu jusqu’à la limite où mon regard gêne ;
Ça y est, elle est prise, sa honte se lit sur son visage…me retournant je vais la voir pour lui expliquer que la panne est résolue, mais j’ouvre exprés ma braguette de jeans…
Face à elle j’essais de prendre son attention sur ma braguette et bingo…elle fuit du regard et rougis…
Faisant le tour du bureau, je remarque que celle-ci ne bronche pas, je veux simplement lui demander de regarder ses mails et d’effacer mon dernier message sans le lire. Mais le résumé du message
s’imprime dans une bulle en pointant son curseur sur celui-ci en voulant le sélectionner…elle semble comprendre mais ne réagis pas….je sors alors mon sexe de son entrave journalière et fiérement
celui-ci se met à gonfler à une vitesse surprenante ! en un instant je réalise que je présente ma queue à la chef labo, l'indompatabe comme on la nomme! Jamais un sourire, jamais un regard
et jamais un merci! Une teigne au final.
Mais autant sa surprise est grande, autant elle semble ne pas réagir et au contraire se laisser allez à la situation.
En un instant elle s’est penchée et à englouti celui-ci en pleine bouche et son rouge à lèvre se gomme sur le voyage. Elle ferme les yeux un instant et quand elle les réouvre, je la regarde
toujours comme concentré sur une panne !
Elle s’affaire en silence, son va et viens est précis et gourmand,je lui demandant d’ouvrir ses boutons de chemisier elle obéie sans discuter.son soutient rouge fleurie tranche sur le fond
de robe satiné couleur chaire qui masque tout!
Son énorme poitrine se balance dans son soutient et de temps à autre mes couilles se baladent entre ses seins...j’apprécie la gâterie et son attaque en branlette avec sa poitrine me fait le plus
grand bien, je l’encourage en lui frottant les cheveux et l’instant suivant je sens la pression monter un sacré coup…et rien y fait , je veux la prévenir mais la giclée est très forte mais
contenue dans sa bouche qui avale tout! Goulument elle continue à pomper...correctement et précieusement, elle est comme fière, son regard brille, elle a aimé faire ça! Incroyable!
Formidable, je me retiens pas, je prends un pied d’enfer, et je l’encourage, précieusement elle fini sur la moindre goutte. Je dois la féliciter…elle vient de passer d’emmerdeuse et de chieuse de
chef labo à videuse en couille experte!
Elle souléve sa cheveulure et ouvre son tablier qu'elle repousse sur les accoudoires de sa chaise.. Elle a un chemisier fleurie si vif que je cligne des yeux, sa jupe noir remonte déjà sur ces
genoux.
Docilement, je l’invite à ce lever et telle une danseuse qui vous suit, elle se dresse entre sa chaise et son bureau. Je l’embrasse à pleine bouche et sa surprise est palpable…oui, je sens mon
sperme en l’embrassant mais comment te remercier aussi vite sans arriver à cela !sa fièvre est grande, elle s'assoit sur le rebord du bureau et s'allonge bras en croix. Tout ce qui géne
valse à terre en un instant, et je m'agenouille devant elle pour mieux cerner LA PANNE! je vois...en manque de calin buccale! passant ma tête sous le jupon je bistouille avec ma langue sur sa
culotte assortie et je la sens se tremper illico presto...n'hésitant pas je me redresse et je sors ses seins lourd des bonnets qui servent alors de balcon pigeonant et je me délecte à lui sucer
les pointes. Elle rugis, c'est bon! elle en veut la chef, et elle ferme ses jambes autour de ma taille et me retenant à ses poignés elle m'attire en me déclarant: ne me loupe pas ou je porte
plainte pour agression sexuelle! Je m'agenuille à nouveau et faisant glisser sa culotte sur ses grosses cuisses ronde, j'évite ses bas et surtout je les replace délicatement, puis ma langue, se
glisse et se balage sur sa chatte humide...ses gémissements ne me font pas douter, je suis sur le chemin...elle se tord et aprés quelques minutes elle se cabre...ses jambes se tendent...et
glousse en petit cri sur l'action de ma langue, je continue pendant quelque instant et je l'achéve complètement! je me redresse et l'aide à se lever; sa culotte sur la cheville droite, ses
cheveux en pétard...
Elle s’écroule dans mes bras et respire très fort dans mon cou, ‘je suis à toi si tu veux ‘.
Je me fais pas prier ! la retournant je l’oblige à venir s’écraser la poitrine sur le bureau, il faut faire vite car les nettoyeuses vont arriver d’un moment à l’autre…alors j’improvise,
tenant ses poignés dans le dos je la maintien d'une main et avec ma ceinture je fais une rapide boucle
La fermeture de ceux-ci la gêne un peu car je sers un peu de trop, mais elle accepte par jeu. je lui glisse sa culotte aux chevilles et je m'en empare comme souvenir.
Un petit soupir profond me fait comprendre que je suis sur la bonne voie !
Je n’ai qu’une envie, la faire crier, la prendre comme une chienne et je savoure le moment. En premier lui retousser la jupe…pour voir se superbe cul bien dodut qui traine dans dans ce fond de
robe couleur chaire…je ne veux pas perdre de temps mais je prend le temps de lui pétrire les fesses, elle se prépare, la couture de ses bas me servent de repère pour la position de
mes mains, il n’y a plus qu’une culotte qui fait barrage.
Sa surprise est complète, entre excitation et surprise
Elle se plaque la tête à la table comme résignée…juste comme j’aime…
Je commence d’abord par la fuiller d’un doigt et puis de deux et à ce moment je la sens se crisper….mon envie et forte, mais peut être pas aussi forte que la pression que j’ai en moi ! si on
nous surprend ???
Mais je ne réfléchi pas de trop et je profite d’un moment de répis pour m’enfoncer loin en elle, ma bite gonflé la fait gémir…elle retient un cri d’émotion et s’appui sur le front…là c’est gagné,
elle ne résistera pas longtemps. Et comme pour une fouille je lui écarte les pieds et je me positionne entre ses jambes ouvertes…elle suffoque rapidement et sers les dents…elle craque et me
demande de pilonner plus…tirant sur ces bras..elle se cambre et je rentre en elle encore mieux ! mes allez retour se font plus fortes et quand on entend les clé des ménagères qui arrivent
elle se met à crier…vite, libère moi ! mais pas avant de me vider madame !
Et je profite de la situation.son émois se transforme et s'amplifie avec le bruit d'approche, c'est comme un interdit...et la elle se crispe...J’arrive à ressentir son envie qui bloque sur ce
dérangement. Je n'ai pas le choix, il faut absolument gagner, je n'abandonne pas et donc j'accélère le mouvement trés rapidement et la serrant de prés!
Je sais que la pression va vite monter, elle devra se résigner ou jouir et la deuxiéme solution est la moins frustrante! puis cette douleur agréable du bord de jouissance qui devient trop forte
et nous craquons ensemble....je la voies se tendre et se cabrer.....puis retomber...je me vide en freinant les mouvements, je cale.....son chemisier est à ses coude et ses mains sont jointes
comme en prière. "Putain que c'est bon!" me lache t'elle, je suis ravis de moi, je la libère, et elle se remet vite; en m'embrassant langoureusement...je suis ta chienne? me demande t'elle...là
c'et parfait...je retire ma plainte.
C’est une volte face qui se produit et dix secondes avant l’entrée des ménagères….elle est redevenue chef labo et moi sortant du labo…le technicien qui a traversé…j’ai à peine quitté le bureau
quand elle me sonne sur le gsm pour me dire qu’elle avait plus froid à la chatte sans culotte…mais si je voulais…on pouvait se voir de temps en temps"j'adore quand tu me prends comme çà….sur mon
bureau et chez moi j'ai un grand lit vide à barreau...et tout ce qu'il faut pour passer une chouette nuit, ok? Je me retiens un temps et lu annonce la couleur...demain, je veux ma fellation au
thé chaud! .....accordé mon maitre me lache t'elle...cela me surprends Mais j'aime ce titre...
Hé bien voilà, tu as tout compris chef labo...elle tarde à répondre...puis un merci maitre vient clore la discution et je coupe en souriant en passant à la fine pluie de demain en travesant la
cour...
