Mardi 21 mai 2 21 /05 /Mai 23:09

Aujourd’hui je vais me balader, j’ai cette envie de passer une journée exceptionnelle.

J’ai sortie la combinaison cuir, graissé la chaine, chauffé la machine, je serre mes gants et après avoir enfourché la machine et rabattu la béquille, le coup de gaz pour lancer le moteur.

Rugissant de plus cent chevaux, il tourne avec ce grésillement propre à un quatre cylindre.

La première vitesse engagée, premier tournant, je chauffe les pneus doucement. J’attends l’attaque, la première sensation, le premier soulèvement du foie. Ça y est, le macadam prend son due de gomme  et les courbes s’enchainent…le plaisir des sensations aussi. Quoi de mieux que la sensation, le ressenti. La puissance, le déchainement, la force, toutes ces choses qui se perçoivent et qui ne s’achète pas.

Cette journée sera parfaite, le bout du voyage sera la retrouvaille d’une sensation.

Une sensation que l’on ne peut acheter, que l’on ne peut comprendre qu’en la vivant.

Tout comme un saut en parachute, un baptême en hélicoptère…ou encore le trouble d’un public, du silence, de la gestion aléatoire, la présentation d’une idée…bref, approcher l’inconnu et vivre.

Chaque expérience donne un chemin sur la maitrise, sur le vécu, et surtout sur la voix à suivre. Parcourir le chemin est l’apprendre par cœur, savoir le faire les yeux fermés, répéter et encore y repenser. Hésiter, varier, se remettre en question. Et plonger à nouveau pour faire plus fort, plus intense, plus …parfait.

Le bout de la route approche, dans quelques kilomètres je sonnerais à sa porte et je rentrerai sans parler, sans me décoiffer, sans me présenter…

Je sais que tu n’as pas vécu cela, alors je te le partage, mais sans le vivre, la saveur restera simplement des mots dans un espace entre toi et moi. Inutilisable si tu les comprends pas, atroce si tu les détestes, et absurde si tu n’es pas assouvis…

Alors je cadenasse la moto et je me dirige vers la porte. Coup d’œil à la maison me rassure, tu es présente. Mieux, tu m’as entendu et la porte s’entrouvre.

Tu as fuit de l’entrée et me demande de fermer la porte à clé. Je n’hésite pas, et te recherchant je sors mes menottes…

Sans me déshabiller, sans retirer mon casque, je surgis dans la chambre où tu m’as attendu…docilement, tu es terriblement attirante dans ton peignoir satiné long, tes mules qui chaussent tes pieds emballés dans leur bas sont ravissante…ta prestance, ce galbe que tu imprimes à tes reins assise sur le bord du lit mains croisés sur ton genou croisé entrebâillant le peignoir.

Tu te lèves d’un bond pour venir vers moi et t’écraser la poitrine sur mon cuir…tes mains frêles parcourent le faux col de ma veste et tu me regardes comme un chien battu à travers la visière de mon casque.

Tu te pinces la lèvre inférieure car tu voudrais me dire quelque chose mais chaque parole dénoue la suite de l’histoire…alors tu attends que je continue…parcourant le satin de ta tenue sans enlever mes gants en gros cuir. Suivant tes bras je te menotte les mains dans le dos…tu te laisses faire et tu  essais de contenir ton excitation. Tu te retournes pour que je m’applique sur l’autre poigné, puis une fois menotté tu reprends contacte avec mon cuir en appuyant tes fesses au cuir de ma combis.

Ta croupe m’excite, tes courbes satinés prennent une telle valeur à mes yeux qu’il m’est impossible de retenir mes mains, mais je ne veux pas te transmettre mon excitation, seulement monter la tienne…parfaitement, complétement, et surtout sans influence.

J’attrape ta poitrine à pleine main et tes mains glissent sur le cuir. Je te retourne menottés et je retire enfin mon casque et tu es surprises de constater que seul ma bouche et mes yeux apparaissent de ma cagoule licra noir de moto.

Tu reconnais mon parfum poivré et tu écoutes le cuir craquer sous ma respiration.

Je t’embrasse dans le cou pour gouter ta peau chaude,  tendre, parfumée.

Ta carotide me donne le battement de ton cœur et il s’affole, surtout quand je te dirige vers le lit sans me décoller de ton corps. Une fois prés du lit où tu te plaques face contre le matelas, je saisi tes fesses satinées et submergé par la vision de ton corps ainsi mis en valeur, je te parcoure, t’embrasses à travers les étoffes…mes mains vulgaires te froissent et m’empêche de ressentir correctement la sensation, c’est encore plus frustrant et malgré tout magique car seule toi peu ressentir, le froid des menottes, la force de ma domination, et mon excitation bridée…je fonce sur tes dessous et pince celle-ci fermement retroussant celle-ci légèrement sous la pression…les motif s’impriment et ta respiration m’informe encore un peu plus….te libérant des menottes je te sens filer comme un poisson qui frétille,  je te pousse sur le dos et t’embrasse enfin…pour te soulager de cette attente…et te remettre dans ton rôle de soumise au plaisir.

Tu me regardes dans les yeux et retirant ma cagoule je la glisse à l’envers sur ton visage pour t’aveugler complètement sans pour autant me priver de toucher tes lèvres à travers l’étoffe douce.

Dans le noir absolu, je t’étends sur le lit et jouant de foulard en foulard je t’immobilise les jambes de par tes chevilles et tes mains au dessus de la tête un nœud coulant que j’étire pour te remonter la poitrine au maximum. Tu respires profondément sous la sensation qui t’envahi lentement…tu ne décides rien, tu subis, tu perçois mes gestes, ma fièvre, ma respiration.

Tu ressens que ton corps s’étire, et que l’excitation monte malgré toi. Lentement je remonte vers le nœud du peignoir sans le défaire je le glisse sous toi et remontant celui-ci à la base de tes seins galbés dans ta nuisette. Je serre alors ceux cis dans un bondage léger de façon à faire gonfler les tétons au maximum…et m’en délecter. Je connais la sensation que cela provoque, surtout quand le niveau de patience est important…mes mains gantés, épaisses, parcourent le tissus…tu gémis à travers la cagoule… sous chaque coup de langue à tes pointes durcies, tu t’étires, tu ressens alors cette force qu’a la soie d’un foulard pour te retenir, sans te blesser, sans te gêner…mais sans te libérer. La contrainte s’accentue encore, tu voudrais me guider mais je refuse de t’écouter, et mes mains glissent vers ton sexe qui s’humidifie et se frustre sous le parcoure de ma main…celle-ci s’attarde et commence à masser sans grand débattement , tu perçois juste la pression.

C’est lent, puissant et coordonné avec le parcour des mes lévres et ma langue sur tes seins…l’odeur de mon cuir empli la piéce et retirant mes gants je précise la masturbation lente que j’applique à ta chatte…écartant le tissus, je rentre mes doigts fréquemment dans ton sexe complétement humide de mon jeu…et tu serres les dents pour retenir l’émotion mais celle-ci monte de plus en plus et malgré tes débattements tu sens celle-ci monter de plus en plus et arriver à ce point si précis que tu te cambres…glissant dans le tissus de tes étoffes, tu succombes à la sensation….encore, encore quand tout mes gestes s’arrêtent et tu reprends ta respiration…tu souffres, c’est contraint que tu acceptes ma langue sur ton sexe et là encore tu t’éttires, tes jambes retenues ne peuvent te défendre et tu essais de te libérer sans succés, les nœuds sont bien fait et bientôt la brulure du ventre s’intensifie, se précise, tu gémis fort, tu ne sais pas te retenir de gémir et dans un pleure d’abandon tu jouis sans possibilité de bloquer ce fait…tu pleures sans raison et ta souffrance est profonde, mais libératrice, tu te sens libre, sans force, soumise…gourmande…

Je t’invite alors en te libérant les chevilles mais sans te libérer les mains. Je te guide alors vers la salle de bain et te tirant dans la douche, je te plaque à moi et écartant de force tes jmbes par les miennes je te fais un supplice encore plus fort…tu ne résisteras plus à rien…le jet de la pomme de douche venant exciter ton sexe rougi d’avoir jouis sous mes doigts, tu rales du peu de force qu’il te reste et les étoffes humides deviennent transparente.

Ta chatte est irritée par le jeu et le jet tiéde…juste tempéré…et serrant les dents tu essais de résister…sans succés après plusieurs minutes tu gémis de plaisir si fort que tu ne sais plus respirer qu’entre deux gémissements….tu es affolées et tu te relaches enfin…

Finalement, je te retire la cagoule et te présente mon sexe gonflé, toujours ligotés, tes mains s’appuient sur mon cuir trempé et tu me suces sans retenu, je m’abandonne à ton remerciement et quand j’explose tu t’appliques à récupérer mon sperme chaud sans t’arrêter, assoiffée de ces sensations qui ton envahi…

Par toutenfantasme.over-blog.com
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus