Jeudi 25 avril 4 25 /04 /Avr 13:11


Je suis troublé depuis quelques jours, j'aime la sensation de féminité et notre discussion la réveille doucement comme une fleur au printemps.
ce matin en buvant mon café je me remémore un épisode de ma jeunesse...je me rappelle la première fois que j'ai touché le corps d'une femme, la première fois que j'ai touché une culotte de femme, en ensuite la première fois où j'ai pris du plaisir...
Tout ce que je connaissais d'une femme je l'avais lu, ou appris dans des revues pornos de mon père. Pour moi les filles étaient sensuelles, douce, toujours sexy, comme dans les revues "lui" de mon père.
J'ai fantasmé pendant des jours et des jours sur les articles de revue de lingerie, sur les explications des femmes sur leurs attente. Parfois j'étais frustré de certaines révélations....
Je n'avais jamais réellement embrassé une fille avant mes 14 ans, il a fallu que je surmonte ma timidité de l'époque pour "osé demandé de sortir" avec une fille. De plus j'avais déjà tenté certaine chose de mon coté, j'adorai fouillé dans les paquets de vêtement de ma marraine qu'elle remisait au grenier. Une manne d'or comme je disais! parfois je trouvais une vieille robe croisé en viscose, avec un imprimé année 60-70, un soutient, une culotte. Le plus drôle était de voir les photos et de trouver les vêtements...cela me permettait de comparer, de voir comment c'était porté, avec quelle classe ou négligence...ou fierté...les époques...pour ma part la féminité a commencé dans les années 50...très discret mais très belle qualité de tissus...robuste...un peu austère...mais plus que tout, mon réel plaisir était de sentir la douceur, le frotter sur mon ventre..je n'envisageais alors pas de laissé ce trophée dans les mains d'un autre. le plus dure était de sortir les fringues sans éveiller l'attention et surtout espérer que l'on découvre pas le larsin! j'ai souvent eu peur que ma mère ne décide de remettre mon Tshirt droit! ou m'oblige à retirer mon pull! simplement parce que je portais tout sur moi pour éviter que l'on retrouve cela dans la valise une fois à la maison! Hé oui! j'anticipais tout! fallait ruser.
j'ai du trouver des cachettes dans la maison, dans ma chambre...car mon père avait peur que je 'fume de la drogue' ce qui lui servait d'excuse pour fouiller ma chambre..alors que je ne fumais pas à l'époque!
Combien de fois j'ai rêvé pouvoir m'enfermer et jouer seul...jusqu'au jour où...mon père m'a donné la clé de la maison pour revenir de l'école le mercredi après midi...pouvoir rentrer de l'école et profiter seul! un bonheur.
c'est là que j'ai commencé, j'avais 12 ans...un peu moins...bref...et j'ai commencé à découvrir ou plutôt prendre le temps d'assouvir. C'était dingue en fait car je fermais toutes les tentures, tous les rideaux et je prenais le temps de passer cela, ceci...découvrir la douceur, de faire comme dans le film où la femme s'applique à passer ses bas...rien qu'à l'idée je pédalais plus vite pour rentrer à la maison. Puis un jour le grand trouble, je m'étais habillé, pris le temps de tout porter, et je déambulais dans la maison quand on a sonné à la porte! Merde! j'ai couru comme un dératé pour me changer et planquer le tout sous le lit. Puis à une vitesse que je ne me connais pas je suis venu ouvrir....
c'était la voisine qui venait voir "si tout allez bien" à la demande de mon père!
Quel emmerdeur celui là alors. Retournant dans la chambre je constate que j'avais "fléché" le panti mouse! une vrai maladie! bon c'était pas le meilleur mais bon j'en avais plus maintenant!
c'est alors que j'ai du remplacer ce Panti par une autre paire, mais ou trouver ça et surtout oser l'acheter (sans rougir à fondre!)
deux semaines plus tard par chance j'étais chez ma marraine et vicieusement je reprends ma fouille...et bonheur ultra je tombe dans un des nombreux coussins plastique énorme qui servaient à conserver les tissus, les draps, les couvertures d'hiver, ...les vieux vêtements! Bref, en fouillant dedans je tombe alors sur une prise de guerre terrifiante! des bas jarretelles, robe doublée, robe longue, jupons, jupe plissée, chemisier...des fringues magnifique presque à ma taille et en quantité...! Aprés avoir comparé et assemblé des paires, je décide de tout emporter ...comme d'habitude. Sur cette pensé je suis excité à l'idée d'arriver au mercredi...mais j'ai tant envie du haut de mes 13 ans que je résiste pas et du soir, je craque pour une tenue robe viscose fleurie mi longue avec fond de robe satin noir, bas assorti, culotte et collier de perle vrai faux plastique et je me couche dans mon lit avec l'entièreté de la tenue...(je repense à cette pin-up du magasine qui pose sur le capot d'une mustang exhibant les attaches du porte jarretelle page 22...) mais au moment de partir se coucher, la marraine vient me faire un petit coucou! dernier espoir, faire le mort!
Dans la pénombre elle ne distingue rien mais j'ai cette angoisse...elle se pose un moment et prends le temps de me carresser les cheveux, je sens alors en moi cette excitation...non!... puis elle reste prés de moi et caresse mon visage doucement pour ne pas me reveiller mais suffisamment pour me communiquer cette douceur...je ne tiens plus! je ne veux pas bouger par peur de me découvrir mais j'ai l'impression que mon corps glisse, je me contracte tant que je ressens le plis de chaque chose que je porte...la culotte, les bas jarretelles, le fond de robe, le soutif...bref...je me sens mal, si pour une raison ou l'autre elle décide de me découvrir, elle va tomber sur un spectacle hallucinant! finalement, un légé bisous me soulage de cette frayeur!
De retour chez moi, ce mercredi là je m’apprête comme tous les mercredi depuis quelques mois...mais en essayant de retrouver cette excitation...me glissant dans le lit je m'imagine alors surpris par cette femme sensuelle, satiné  comme l'est la pin up de la page 34...c'est une maitresse de maison, qui semble n'avoir pas eu le temps de finir de s'habiller est qui pose sur une table de cuisine en se retouchant le maquillage, deux bigoudis encore emmêlés dans les cheveux, elle a les jambes croisées et négligemment on distingue le haut de ses bas tendu fini par un escarpin à talons de verre. Son peignoir satiné a glissé sur ses coudes et son fond de robe créme fendu à la cuisse plisse sur la ceinture, relaché, laissant retomber la bretelle qui cache encore sa poitrine tendu dans le tissus...
je la sens, elle glisse sa main et parcoure mon échine de la pointe des doigts...partant du cou elle descend sur mon dos et le traversant elle arrive enfin à mes courbes dans le tissus aidant, celle ci enfonce alors doucement l'étoffe entre les fesses, puis glissant sur la jambe elle remonte dans une caresse infinie sur mon sexe gonflé dans le tissus...
Voilà ma pensé à ce moment, je ressens cette caresse imaginaire et je voudrais plus de pression...me viens alors l'idée de ne pas pouvoir résister à cette caresse...je ressors de ma torpeur et je saisi les foulards trouvé dans cette manne d'or!
J'imagine...je pourrais être cette pin up page 56 qui est enlevé par un robot metallique...
Puis remontant dan les images, je trouve celle qui me trouble le plus, c'est cette femme tout en noir qui semble gronder une femme de chambre et qui la ligote page 78...oui..fort!
je me bâillonne alors comme à la page 32, et me ligote poignés et chevilles comme page 78.
me glissant dans le lit, je ne sais plus bouger  ou presque, je perçois presque cette femme; elle m'observe, me ressere, m'oblige, me touche, me parle presque en mot léger...m'obligeant à rester calme, un viole lent....la sensation monte, je commence à le ressentir mais 'ai du mal à synchroniser mon imagination sur cette femme et en même temps mimer la scène, ...après un temps je me lasse, je n'arrive pas à amplifier le phénomène, depuis plusieurs mois maintenant...c'est frustrant, je vais me détacher et me redevenir "un garçon normal" , Et là, je constate que je suis vraiment bien ligoté, c'est malin, comment vais je faire pour me déshabiller, l'heure tourne, je suis coincé par ma faute en faisant passer les mains dans le dos! tout ça pour pouvoir me toucher les fesses galbée dans le tissus! le plaisir de me chatouiller l'entre cuisse!
je me couche sur le ventre en voulant me débattre, le tissus m’excite, les étoffes se croisent et les bords des bas tendus par ma posture improbable m'obséde, c'est terrifiant, je suis vraiment mal embarqué, la pression augmente, je me débat pour rien et je perds des forces, je n'arrive plus à repasser mes mains devant...pire je me coince les mains et les chevilles ensemble.
Je ne sais pas crier, j'étouffe presque à essayé de respirer par le foulard que j'ai serré moi même! Et je subis  sans le savoir...je panique, j'essais de tirer sur le lien des chevilles pour me libérer les jambes afin de pouvoir sortir du lit et trouver une solution....rien n'y fait, je me résigne et me remet sur le ventre, je sens ma tenue remonter et divulger le haut de ma tenue, pourvu que j'y arrive car la posture devient très indécente, excitante presque!
Qu'est ce qui m'a pris de serrer si fort, je fatigue, je glisse dans les étoffes et je ressens lors de ma déglutition mes tetons gonflé qui se prennent dans les dentelles du soutien,  et là, au creux du ventre monte une douleur que je ne reconnais pas de suite... la culotte me rentre dans les fesses, tirée par devant à cause de mon sexe qui gonfle et étire le tissus satiné. ma glote se bloque parfois, et une douleur pointu me transperce du ventre à la pointe de mon sexe en passant par mon anus crispé sur l'étoffe serrante de la culotte satiné qui s'obstine à rentrer! je me débat encore presque à gémir et la douleur s'intensifie, mieux, elle devient grande et constante, je maitrise plus rien, elle la douceur de ma tenue semble entretenir cette douleur...non ce n'est pas une douleur, c'est plus fin, plus imprécis...
Ce n'est pas une douleur mais une sensation, je la connais, j'en ai eu peur de cette sensation, dégouté plus jeune, quand j'avais 8 ans dans les douches au bassin avec l'école, un copain m'avait frappé le sexe en me voyant bander dans mon maillot, cela m'avait fait si mal...je l'avais repoussé fort et dégouté de cela, j'ai caché mon sexe si longtemps, peur de revivre cette évènement frustrant...mais ici, cela vient de loin, j'essais d'y resister, je mords dans le foulard, que ce passe t'il? je suffoque en expirant trés fort, je n'arrive pas à me débattre, c'est affolant, plus je bouge moins je résiste mais je me surprends à aimer la sensation, la sensation devient irrésistible, tenace, intense, chaud, je sens mon sexe rouler dans le tissus et je peux presque ressentir comme avec le doigt la douceur de l'étoffe....quelque chose m'humidifie la culotte satiné, je ne sais pas résister à ce plaisir de l'éjaculation, plaisir inconnu...et là je perds encore de la vigueur, mon corps frissonne, et une nouvelle monté m'inonde les dessous, je sens l'écoulement le long de la bordure des bas  , je me laisse jouir...c'est si doux, mon corps convulse malgré moi, plusieurs fois...je me délecte...je me détend et me retournant sur le dos j'arrive à me dégager les mains...enfin...je traine encore un instant, parcourant mon corps j'enfonce mes doigts dans les enchevêtrements des vêtements comme pour remettre ceux ci droit et je jouis encore un peu à cette image...profond, parfais, je suis comblée...Emmanuelle...prendre un tel plaisir inconnu me fait rougir d'avoir encore envie, gourmande, salope dirai je...si j'étais une femme, je serai...non, je suis mieux que cela je ...suis une salope! et j'aime ça...

Je termine ma tasse de café et je regarde l'heure, c'est fou comme le temps passe vite, mais le souvenir de cet instant est gravé à vie dans ma mémoire...tout...

Par toutenfantasme.over-blog.com
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