Mardi 12 juillet 2 12 /07 /Juil 22:59

Je suis revenu chez toi après cette après midi où tu m’as brisé, j’avais envie de reprendre le contrôle et en même temps te prouver que je peux partager et recevoir…

Les claquements de ma Harley te font un peu sursauter au dernier coup de gaz que je donne…et si tu savais la vibration de ce genre d’engin, tu serais jalouse.

Je place la béquille et je retire mon casque, j’ouvre mon cuir et je retire la clé après coupé l’arrivée d’essence.

Je m’allume une dernière cigarette qui ne dure que le temps de prendre un peu de nicotine avant de t’affronter et de te dire ce que je pense de l’humiliation que tu m’as fait subir. Je mâche une gomme mente pour couvrir piteusement l’odeur de la Marlboro et j’avance vers ta porte, le rideau de la fenêtre bouge et je sonne.

Pas de réponse, j’insiste encore et je fais jouer la poignée de la porte et celle-ci est ouverte…je pousse et je décide de rentrer mais je fais attention…une fois c’est suffisant ! je t’appel et tu me réponds du fond de la maison…refermant la porte, je me débarrasse et j’avance à ta rencontre. Tu es à ta terrasse, lascive…au soleil…

Tu me sers un verre me demande tu. J’attrape le verre et je le pose sur la table basse. Rentre un instant et je te servirai un verre ! Tu te rebelles mon chou ? tu veux que je te punisse glousses tu…pourquoi pas…

Tu bondis de ton transate et tu fonces vers ta pièce de torture…ta chambre.

Je te laisse un instant et tu me demandes si je préfères le noir ou le rouge…j’hésite un instant et je précise que je veux le noir…pour commencer…

Tu finis de préparer des habits et de t’ajuster devant le miroir quand je me plaque à tes fesses, tu restes impassible et je fais mime de te parcourir en m’agenouillant.

Te retournant tu me fourres le nez dans ton peignoir qui s’entrouvre et m’offre la vue de ta splendide nuisette très finement soyeuse bordée de dentelle. Pressant tes fesses pour mieux sentir ton sexe sur mon visage tu montes de suite et prend appuis de tes mains sur la commode pour mieux passer ta jambe sur mon épaule et planter ton talon dans mon dos.

D’un doigt tu écartes la fine culotte et m’ordonnes ‘lèche moi !’ je fais mine de t’obéir et tu tiens appuis sur une jambe et d’une main sur ma tête.

Je m’applique et tu grondes de plaisir, tu courbes la tête en arrière et tu délaces ton peignoir pour m’offrir la vue sur ta poitrine tombante si bien emballée dans le satin de ta nuisette.

Je prends le temps de contempler la justesse de l’attache de tes bas qui se tend sous l’effort d’équilibriste que tu réalises. Tu es coquette et j’attends le moment ou tu vas fatiguer et vouloir changer d’appuis. Ce qui ne tarde pas et je sens fébrile, nerveuse de devoir stopper ta montée pour une fatigue de la jambe ! et à ce moment là je menotte à ton dos tes poignés avec tes menottes entourées de doudoune rose. Tu es surprise et tu veux protester mais je fais vite et te retournant face à  la glace en écartant tes jambes pour te faire perdre l’équilibre tu te retrouves le visage écrasé sur le miroir, ce qui te frustre de suite.

Avec un foulard pris dans le tiroir de ta coiffeuse je commence à te bâillonner comme tu l’as fait et avec la ceinture de ton peignoir je réalise une ligature rapide de tes coudes. Tu rales de surprise et tu te débats en essayant de m’écraser les pieds avec tes talons haut noir et fin mais avec les bottes de sécurité de moto je ne sens rien ! je m’amuse à te presser contre la commode est tu râles de plus belle.

Je te tire comme un pantin et je t’envoie balader sur le lit, tu rebondis et tu n’as pas le temps de te retourner qu’avec un autre foulard de ton tiroir je commence à te lier les chevilles et pour limiter tes ruades je me suis assis sur tes mollets, je connais la douleur que cela provoque…et je prends aussi mon temps pour parcourir tes jambes et le triangle de soir de ton bas qui prend naissance dans ta chaussure en débordant et continue comme une ligne qui donnerait la direction.

Tu te retrouves entravée et tu cherches à te débattre mais le brelage des coudes t’empêche de te retourner car tu n’as pas d’appuis.

Je fouille dans ton tiroir pour trouver le collier que tu m’as fais porter mais je ne le trouve pas et donc pour palier à cette absence je décide de sortir tous les foulards de ton tiroir et de faire un tri…j’ai de quoi faire et la douceur de ceux-ci va certainement m’aider à te faire souffrir…

Je commence ma toile en fixant à chaque pied de lit un foulard que je ramène vers l’intérieur du lit et je continue mes découvertes…je tombe sur ta panoplie de sex toy…je retire une ou l’autre crème qui pourra m’aider et je décide de commencer le supplice.

En te retournant je te bloque le bassin en m’asseillant sur toi, tu me tournes la tête pour me fuir mais je m’en fout…car j’ai mes mains qui chatouille et je commence par te masser la poitrine doucement à pleine main , bientôt tu commences à pointer fermement et tu rougis de ne pas savoir te maitriser…une couleur pourpre envahi tes joues…tes seins gonfles et bientôt je n’ai aucune mal à te tirer les seins par le teton ce qui le soulève et sans étirer à faire mal, je commence à le relacher…et le reprendre…tu gémis de suite de cette pincette sur ton sein droit…mais quand je commence à jouer avec l’autre en même temps tu revulses  tes yeux et tu veux te libèrer mais c’est impossible…tu perds déjà le contrôle et saisissant cette opportunité je decide de les balancer lentement en les faisant coigner l’un contre l’autre et du même geste je tord tes pointes tendrement, tu commences à gronder et à gémir plus fort…après t’avoir rendu super sensible à ce petit jeu, je plonge sur chaque mamelon et je joue à tourner la pointe autour de ma langue, tu te cabres littéralement comme pour augmenter la pression de ton sexe sur le tissus de la fermeture éclair de mon jeans.

Cela ne prend pas longtemps avant que le frottement que tu réalises perce ta culotte et mouille mon jeans…tu gis les yeux fermés, cassé de surprise et j’abandonne ce jeu pour écarter tes jambes et m’offrir ta chatte mais je ne prends pas de risque et je ligature chacun de tes pieds à chaque extrémité du lit.

Tu reprends un peu le dessus sur cette première émotion en réalisant que tu n’as pas vraiment le choix et je me suis assis prés de ta tête, je te regarde…prise à ton propre jeu.

J’espère que tu apprécieras ce cadeau et comme je suis  aussi très excité, je te parcoure des doigts sur les coutures de tes sous vêtements puis je m’allonge sur toi à l’envers comme un 69 mais c’est juste pour te donner l’illusion et je commence à te lécher à travers ta culotte puis je l’écarte de la pointe de la langue pour mieux atteindre ton clito…après 2minutes de jeu tu ne tiens plus et pour bien t’achever je refais le tour et je m’accroupi entre tes jambes au bord du lit…je prends appuis sur tes genoux et écartant un peux ceux-ci je plonge sur ton clito gonflé tout rose pour te faire passer un bon quart d’heure de minette….le début est dure car tu résistes un peu mais dés la première expression de jouissance, tu ne sais plus rien retenir et je me prive pas pour varier les plaisirs de ma langue en lèchant bien grand entre deux passage à haute vitesse sur ton clitos. Tu me mouilles le visage tellement tu es tourmentée et quelques minutes de plus finisse de te fatiguer !

Repue, tu ne sais pas résister…je te détaches les chevilles et je te retourne en te faisant glisser sur les genoux.

Pour éviter toutes remonté, je te ligature les coudes comme les chevilles avant…tu es plaquée face au lit et tu te voix dans la glace qui trone à la tête de ton lit…je saisi alors la force que tu avais la dernière fois car tu te voyais et je ne le voyais pas !!!!

Tu te vois captive et tu ne sais rien faire…je déballe mon sexe gonflé et je te frappe les fesses avec en le regardant rebondir…ta croupe large et taillée en deux sur chque fesse  par l’attache du bas me donne un effet très stimulant…tenant tes mains jointes dans le dos je me présente à ta vulve humide…je commence à te rentrer mon sexe et je t’entends déjà manifester une expression de ton état d’excitation…lentement centimètre par centimètre je rentre ce qui tu fais courber le dos et plonger le visage dans la couette pour crier…mon sexe est brûlant et je sens la différence de température.. ; tu résistes pas très longtemps avant d’avoir l’envie de reculer pour que je rentre plus vite et mieux ;

Mais comme j’ai décidé de m’imposer entre tes cuisses, je ne te laisse pas faire. Au contraire, après deux minutes de vas et viens. je stoppe tout et te présente ma queue à ton anus…la crispation est directe, et pour mieux rentrer, je décide de cracher sur l’entrée de ta gorge inférieur.

Là aussi je rentre lentement en répétant le crachat pour mieux rentrer…tu gémis à chaque centimètre gagné et après deux petites minutes j’ai mes couilles qui frappe ta vulve…c’est intenable pour toi et je profite de ton relâchement pour t’inonder de mon jus…tu commences à te tendre sous la force du plaisir.

Je reste pour bien me vider et me retirant je m’essuis dans un des foulards ;

Je te regarde encore un instant attaché et je decide de te laissé ainsi pendant plusieurs minutes

ton regard se tourne vers moi et je peu y lire ce désir...ENCORE!

 

Par toutenfantasme.over-blog.com
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