Samedi 9 juillet 6 09 /07 /Juil 22:35

Il fallait le faire et oser, c’est toujours quand on ne s’y attend pas que cela arrive…mais là je suis resté vraiment sur ces détails, tu le savais, tu me connais plus que moi ! je repense à hier quand par habitude je reprends les chemins du zoning de Seneffe et que je te croise sur le bord de la route.

Ton bras tendu comme une invitation, jolie présage, baladant sur le bord de la route.

J’arrête la voiture le temps de savoir que tu voudrais simplement que je te reconduise chez toi pas loin à quelques minutes.

Je ne sais pas résister à cette paire de jambes que tu croises sous cette robe d’été fluide, ce corsage lacet qui retient ta poitrine croisée dans ce nid soyeux rouge vif  que tu a eu l’idée de passer par-dessus tout et qui effile tes courbes généreuses et rebondies. Le vent te dégage le visage et laisse apparaître les marques du temps mais qui n’enlève rien a ton charme, mais sans cela laisserait dans le doute entre 30 et 50 ans…étrange…

Tu montes dans la voiture et tu secoues tes cheveux qui libère un parfum frais et léger, et te penchant pour retirer tes chaussures à talon qui ont affaiblit tes chevilles par cette balade me montre par impression des tissus la dentelle du string pourpre que tu portes…me laissant rêveur…et je constate de suite que tu dois porter un jupon car celui-ci déborde un peu de la robe quand tu croises tes jambes une fois dans la voiture.

La conversation va bon train et nous faisons connaissance, tu es très ouverte d’esprit car nous tournons vite sur la vie amoureuse…et de ta balade qui avait pour but justement un rendez vous galant…et donc c’est loupé !…mais tu me réponds…pas tout à fait !

je rentre dans le chemin qui se rétrécie au fur et à mesure et nous arrivons devant ce hameau de maisons mis blanche mis brique, effilée, longue, étroite…nous avançons encore…passons devant des champs…droite, gauche…encore plus loin !

Heureusement que tu m’indiques le chemin mais c’est à ce perdre ! nous continuons la discussion et de flatterie en flatterie je comprends que je suis à ton goût, ce qui ne m’étonnes qu’à moitié car tu as du charme mais pas nécessairement irrésistible non plus…mais bon, comment dois je interpréter tes paroles…j’ai pas d’audace et puis même si la différence d’age ne me gène pas ce n’est peut être pas ton cas.

J’ai l’impression d’avoir fait trois fois le tour et pris tous les chemins ! Je suis un peu paumé, Pour finir nous arrivons dans la rue quand tu m’invites à me garer pour descendre et là tu me sorts ce couteau !

Je suis surpris de plus belle ! Mais je tiens à ma peau et je t’écoute et je fais les gestes que tu m’énonces …coupe le contact, descend par mon coté, donne ta clé…tu verrouilles la voiture et tu me pointes de plus belle, marche devant, avance… !

Je suis devant la porte de ton habitation et je sens la lame pointer dans mon dos, tu me donnes une clé et un ordre : ouvre !

Nous rentrons dans la pénombre et immédiatement tu me bandes les yeux sous la menace, et les ordres continuent à affluer…avance, ne te retourne pas  et léve les bras, avance, retire ta ceinture et tes chaussures… la porte se referme et j’entends la serrure et je sens cette pointe de fer…je veux entamer la discussion mais le tait toi viens pondérer la discussion aussi tôt !

C’est clair ! je ferme ma gueule ! Bras tendu j’avance sous la menace, aveugle et je rentre vite en contact avec un meuble ou l’autre…c’est pas commode ! haha ! mais bon ! je suis pas en terrain connu et je sais pas tes intentions. Je remarque simplement qu’il n’y a pas de bruit, nous traversons encore une pièce, puis une autre….puis un stop ! à genoux ! je sens un truc sur ma nuque puis cela le serre et se verrouille ! Un collier de chien ? le froid d’un bracelet sur le poigné droit et puis cette torsion de bras qui me fait basculer vers l’avant ! cela fait mal, merde ! et l’ordre en plus ! Donne l’autre main….mon cou et tiré en arrière et je sens le froid sur l’autre poigné…des menottes !

J’ai du mal à bouger avec mon cou qui est tendu vers l’arrière et tu me tires le bras de coté pour m’aider à me redresser sur les genoux.

Tu glisses le bandeau des yeux et tu me le fourres dans la bouche, je suis ébloui par la lumière que tu m’as pointés dans les yeux et l’instant d’après alors que je suis pas à mon avantage tu me bouscules presque et je sens ce lien qui glisse sur les chevilles ! et je me fracasse sur la moquette, c’est quoi ce délire…je sais plus bouger ! Et tu me regardes en admirant ta proie !

Parfait me dis tu, que dois je penser ? Tu m’enjambes et tu viens m’écraser de ton corps…et là ? Tu fais quoi ? Petit !

Tu penseras peut être à répondre à mes messages maintenant ? Cela fait quoi de se retrouver comme ça ? tu fais plus le malin !

Je suis pétrifié par les menottes et les liens, muet, et tu me nargues, et ce moment où tu me lèches le visage me rend dingue ! Arrête ! Je déteste ça ! Tu te marres, tu profites ! Tu jubiles de me voir captif…et quand tu me recouvres de ta robe en fourrant ma tête entre tes cuisses, tu jouis presque ! Tu me frottes la tête dans ton jupon de satin et Là où tu jubiles c’est quand tu me sens me débattre sous tes caresses appuyé sur mon cul et mes couilles pour me faire gémir et bander …et ces claques que tu me donnes me font retomber entre deux excitations …un jeu cruel qui ne fait que commencer…et tu prends de plus en plus confiance et plaisir en même temps.

Et tu me dévoiles ton plan…quand tu serras calmé, je vais t’éduquer à ce que j’aime et tu vas le faire de bon cœur…puis je vais prendre ta virginité…petite femelle…mais d’abord je vais me changer et préparer ta tenue de soumise…tu vas porter cette petite robe trop juste sur ce fond de robe sexy de ma grand-mère ! et ces bas jarretelles que j’ai acheté exprès pour toi…tu aimes ?

Je râle en me débattant mais tu me bloques de ton talon dans les reins ! Je vois que tu en es déjà fou,  me dis tu !

Patience ma petite salope…tu dois te calmer en premier et puis après une bonne douche froide…tu serras heureux de porter ce petit string et ta tenue de soumise.

Tu sors de la chambre en riant et fermant la lumière, me laissant seul au sol…je me presse à me débattre mais je perds des forces à ce jeu là, je ne sais pas lutter ;..

Pendant prés de deux heures je me retourne, je n’arriva pas à rester sans bouger, trop inconfortable et surtout les bracelets des menottes se sont resserrés sus mes poignés avec mon propre poids ce qui a lentement coupé le flux sanguin et je dois secouer mes mains pour faire circuler le sang.

Je deviens fou, c’est étouffant, usant, le collier me tire tellement et mes bras me font mal, mes chevilles sont douloureuses sous le nœud.

Tu reviens dans la chambre et tu me regardes suffoquer…tu es prés à me faire plaisir ? je vais voir, et tu commence par retrousser mon jeans sur le nœud des chevilles ce qui me fait presque hurler, mais je ne te donne pas ce plaisir. Je me retiens, je n’ose pas penser et tu jubiles encore…alors, tu bandes ? aller...pour moi mon chérie…et tu t’amuses à me masser les couilles et le sexe comme un chien et j’ai beau vouloir résister tu t’appliques en douceur avec l’avantage de ce déshabillé noir satin couvert d’un peignoir assorti…tu commences à frotter tes seins sur mon sexe qui commence à gonfler…et bien voilà…tu vois !

Je ne sais rien faire que râler dans cette état, et lentement tu commences à sucer…la position est très inconfortable et même très peu avantageuse ! tu continues malgré tout et tu forces même au point que je vais jouir, j’ai beau me retenir tu insistes…tu me regardes un instant pour me dire ‘je vais te vider d’abord, tu vas jouir pour moi et puis ce sera à toi.’ Je ne veux pas ! je me débat mais tu écartes mes genoux qui augmente la douleur aux chevilles.

Reste tranquille et laisse toi faire ! tu t’y remets au point que mes reins commence à cambrer sans le vouloir et le jet brulant sort, je me maudis mais c’est si intense que je m’étrangle presque en voulant me recrovier sous la force du plaisir. Tu continues à sucer malgré mes gémissement, je me sens hyper sensible, le moindre passage de ta langue sur mon gland me fais crier, et tu continues encore, je sens que tu me fronces l’anus avec ton pouce et je ne sais pas l’interdire car la sensibilité de mon sexe est trop intense et pour y résister je me relâche d’ailleurs. Tu le sais et je sens que tu y rentres presque deux doigts maintenant, c’est horrible ! mon cul ! non ! pas ça !

Tu insistes tellement en suçant mon sexe que je jouis à nouveau mais plus intérieurement cette fois, je perds presque toutes forces cette fois là tellement le plaisir est fort ! incroyable ! tu t’arrêtes et me regardant tu me montres tes doigts vaselinés, pas mal…tu vas te dilater ma petite…tu vas voir…je retombe, mon cœur bat la chamade, c’est dingue. Tu me plaques un mouchoir qui pu sur le nez et tout se mets à tourner !  c’est alors que  Tu me détaches les chevilles et tu me retires le jeans, je voudrais résister mais je n’ai pas la force, je suis comme perdu.

Je n’ai plus que mon tshirt, je me sens ridicule et tu glisses déjà le jupon et la robe…je voudrais me débattre rien qu’une fois mais …pour quoi faire ! je te sens me passer  comme des chaussettes ! je sombre de fatigue ! je sens que tu t’appliques à remonter le string c’est fou…je suis essoufflé, et tu t’inquiètes de rien…puis tu reprends les liens et inexorablement, les nœuds se serrent…bien plat, régulier…putain ! je suis nase moi ! Réagis !

‘On y arrive, tu vois quand tu veux’ ,   mais je veux pas ! je suis mou ! tu remontes sur mon torse et tu commences à déchirer mon tshirt…et voilà !

Remontant à ton aise les étoffes et fermant les clips…je me retrouve presque totalement rhabillé. Puis tu m’aides à m’asseoir sur le lit, je me regarde, je suis ébahi de me voir avec des bas et une robe qui plisse à rien cacher et ce jupon noir un peu trop long…tu me détaches les mains sans retirer le collier et tu me secoues par celui-ci…allez, passe les mains ! pire…j’obeis ! tu rattaches mes mains devant moi et je te regarde me guider vers la tête de lit…couche toi ! et les nœuds recommence, non ! pitié ! tu étires mon corps par les mains jointes en haut et sur les chevilles de l’autre…’et bien voilà ! c’est parfais, tu es parfaite !’

J’ai soif ! je n’en peut plus, je voudrais boire un verre d’eau ! tu l’as certainement deviné car tu retires le bâillon pour m’hydrater, mais tu me glisses un truc fade en bouche avant de me faire avaler…je veux cracher mais tu me pinces le nez qui m’oblige finalement à l’avaler….merde ! c’est quoi ce truc ?

C’est rien me dis tu, et remettant le bâillon, tu rigoles…dans un petit quart d’heure…tu vas me servir de gode pendant au moins deux heures...que tu veuilles ou pas…j’arrive ma coquine…tu permets que je me change un peu, j’ai chaud dans ce peignoir en lycra…je vais me brosser les dents et me préparer et je vais te massacrer ! tu vas pleurer de m’avoir pris en stop…et après…je vais te casser le trou…tu vas hurler…mais tu vas aimer…je te promets !!! ma petite pute à moi ! me lâches tu avant de disparaître.

Une heure passe facilement, je me suis endormi mais je suis réveillé d’un coup ! le sexe raidi ! je me regarde…je rêve pas, mon sexe essais de traverser le jupon et la robe et forçant sur le string qui m’agace en divisant mes couilles ! je suis toujours au même endroit, et tu reviens à ce moment là…superbe ma poule me dis tu ! réveillé ? désolé pour le chloroforme, mais je n’avais pas le choix,

De ton coté tu as mis le paquet, body corsage latex noir sur un chemisier blanc satin , maquillage relevé, jupe cuir rouge très longue, bas résille et très haut talon ! et des gants satiné noir !  

Je suis inquiet car je ne comprends pas ton jeu ! Mais quand tu me grimpes dessus comme pour sur un cheval, tu ouvres le pan de ta jupe et un sexe veineux apparaît…tu t’es attaché un gode ceinture ! Presque aussi réelle que mon sexe ! Et t’approchant tu retires le bâillon et tu m’obliger à te sucer ce morceau de plastic ! beurk, tu l’enfonces dans ma gorge et je suis presque à vomir ! je suis obligé de te sucé de longue minutes, tu me fais recommencer et tu me lâches que tu ressens rien ! ça ! je sais ! C’est un faux ! Puis d’un coup, tu recules et tu m’écrases littéralement le sexe encore prisonnier des tissus.

Tu me rajustes le bâillon…et tu t’amuses a me masser le torse, mieux tu me titille les mamelons…tu cherches à me faire pointer mais surtout tu m’excites malgré moi, j’ai ce nœud dans la gorge, je sais que je ne vais pas savoir résister à ton assaut. Tu m’imprimes la douceur du jupon dans tes caresses et je sens mon cœur qui s’emballe de plus belle, tu me fais grimper la pression et comme tu veux tout guider, tu me débrailles le haut de la robe et forçant sur les bretelles du fond de robe satiné tu me léches les mamelons de la pointe de ta langue, je me torts de désir malgré moi, je suis surpris qu’avec douceur malgré tout ces liens, je ne sais pas résister, et pire, je brûle sous chaque geste en perdant ma force et ma résistance…tu me transformes malgré moi, c’est un viole en douceur,  Et de ce fait, tu me dégarnies d’une main en fouillant sous ma jupe, ce qui est dingue c’est que je ne sais pas faire sans bander due à ta pilule bleu ! mais le plaisir c’est toi qui l’imprime et lentement je ressens ce manque que tu vas m’injecter comme une drogue, tu sais que tu ne peux forcer les sentiments mais que tu peux créer un désir incalculable et irréversible… Et toute heureuse de me voir comme cela, dans cette état de sevrage,  tu t’empales lentement en me regardant gémir et essayer de me débattre…tu adores ça ! cela te donnes une telle sensation de puissance que tu montes directement et en quelques secondes tu te replies sur toi de plaisir, je pensais que ce serait la fin mais tu te retires juste pour mieux me reprendre mais en tournant le dos et la comme un galop tu chaloupes des reins.

Je ne vois que ton dos, et en quelques minutes tu me fais hurler sous le coup de reins, j’ai beau remuer mais tu t’es appuyée sur mes chevilles et tu continues….je ne sais pas m’arrêter de crier dans ce bâillon et tu jouies de ce moment…puis tu stoppes pour mieux reprendre ce qui me fait gémir et je te sens jouir encore et encore, tu t’amuses jusqu’à plus fin, mon dos est douloureux, je ne sais plus bouger tellement je suis crispé par les répétitions et la douleur de mon sexe qui reste bloqué en érection, je suis cassé…et quand tu me relâches les chevilles…je ne bouge plus. Tu viens sur moi une nouvelles fois et tu me redonnes ton gode à sucer et machinalement je l’accepte,  et goulûment je le suce, je n’ai plus envie que tu ressentes plus rien…d’ailleurs tu me libères du haut du lit. J’ai encore les mains menottés…mais c’est plus facile pour te mimer que je te suce ton gros sexe ! tu es ravis et tu me caresses les cheveux en me remerciant…’voilà, c’est mieux, tu voies là je ressens’ me dis tu. Je m’applique à bien m’enfoncer et je suis son rythme. Tu m’arrêtes enfin et montant un peu plus tu me présentes ta chatte. Je dois te sucer encore, tu tiens mes mains en hauteur plaquée contre tes seins et tu m’enfonces ton clito en l’écrasant sur mes lèvres. C’est atroce et je te sens mouiller comme une folle, le gode qui me frotte les cheveux et ce cogne sur mon front, tu te sers…tu me réduits à faire…je n’en peux plus, je veux et ne veux plus mais je laisse et fais pour éviter que cela dure et irréversiblement tu imprimes un plaisir malgré moi qui laissera une trace, une force que tu veux avoir sur moi, me forger à accepter…comme pour le dressage d’un cheval…dompter la bête et plus c’est long plus la victoire est grande. Je le sais, je le comprends, pire je commence à l’admettre, je renonce…

Tu te retires et te couchant prés de moi tu me rassures…c’est bien, tu commences à comprendre qui te dirige et ce qui t’arrive…continue, tu seras bientôt libre…

Je respire ! enfin une parole qui me rassure et quand tu me demandes de me retourner sur le ventre et de te donner mes fesses, j’accepte pour être enfin libre…et je te sens me doigter et me prendre avec un puis deux et enfin trois doigts, je respire profondément et je sens tes mains sur mes hanches et ton gode qui rentre…c’est intense et très crispant. Ma respiration devient haletante et tes petits va et vient me font gémir mais quand tu touches ce point à l’intérieur de moi…je me brise, j’hurle ! mon ventre se déchire et je perds ma volonté, je voudrai que tu éjacules comme un mec pour que tu te retires mais il n’en est rien avec ton gode, tu insistes car le frottement de ta ceinture te donne aussi ce plaisir clitoridien.. ;tu te sens presque invincible et tu mouilles en froissant mes dessous ! Mes dessous ! voilà que je parle de chiffon, je ressens tes mains qui s’appuient sur mon dos et je mords plus fort dans le bâillon, je deviens fou, je plonge ma tête dans mes bras menottés et je sens tes cuisses rebondir sur mon cul, mes bas se tendent et tu te cales plus droites pour mieux atteindre ce point qui me fait presque perdre la raison. Tu lâches mon bâillon et attrape la laisse du collier…

Je ne sais plus réfléchir et tu me sangles avec la laisse du collier pour me redresser la tête. Tu rages en serrant les dents et m’ordonnes de répondre….mais à quoi ?

Puis je t’entends…’alors tu aimes ?’…répond ! un autre coup de rein me touche ce point et je réponds pour te calmer, oui ! j’aime ! le dialogue s’installe…

 

Tu aimes quand je te prends…répète !

J’aime quand tu me prreeends ! et un coup me fait râler !

Tu aimes être une femelle soumise !

Oui !

Oui qui !

Oui madame !

Maitresse ! c’est maitresse !

Oui maitresse !

Tu es une femelle !

Oui maitresse !

Tu es ma femelle

Oui maitresse !

Tu ma pute !

Oui maitresse !

Alors dis le 100 fois maintenant à chaque coup de rein !

Pitié ! maîtresse ! je suis ta pute !

Mais tu es intraitable et 100 coups ne sont pas atteints que je sombre en larmes…en promettant….tout ce que tu veux, mon silence, mon obéissance, mon cul…

 

Tu as imprimé ton désir et je suis sans voix…quand tu m’annonces que je peux garder ma tenue pour la semaine prochaine…et que si je ne reviens pas…la photo que tu as prise ira à toutes mes collègues féminine de travailles

Je ressors horrifié et soumis mais aussi hyper sensible …j’ouvre la zafira, je remarque que ça couleur et plus un bleu violet comme moi…violé…et je rentre sans me retourner mais je sais que tu veux un signe…et je ne sais pas résister à te dire au revoir, je sais que je reviendrais malgré moi car j’ai pris une leçon et que j’ai certainement besoin de mieux t’honorer…et toi, me regardant à travers tes carreaux , tu es heureuse d’avoir enfin un cheval correctement dressé !

Par toutenfantasme.over-blog.com
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