Dimanche 7 août 7 07 /08 /Août 21:52

Tu as déjà ressenti cela, c’est comme une première fois…ton cœur bat fortement…ta respiration est incontrôlable…tes lèvres sont sèches et gonflées, mais je ne suis pas là non plus…

Tu hésites puis tu te diriges vers la chambre, tu te rappelles que les rideaux étaient ouverts ce matin…et il fait pénombre…donc…et effectivement dés que tu as franchi la porte tu ne me voies pas mais tu sens ma présence dans le coin…tu te glaces de peur…et de désir …tu n’oses pas bouger, comme si tu pouvais disparaître en deux secondes si tu restes immobile…stupide car très vite tu te rends à l’évidence que tu n’as pas disparue et de fait tu oses parler mais sans te retourner…que dois je faire ? Sans répondre je me redresses du coin dans lequel je suis depuis quelques minutes et j’avance lentement me plaquant à tes fesses moulées dans cette jupe un peu satiné bleu rehaussée d’un top blanc qui semble perdre sa bretelle facilement.

Tu regardes sur le lit et tu t’aperçois que j’ai fouillé ta garde robe proprement mais à fond car j’en ai extrait des ceintures de peignoirs et autres foulards…que ce passe t‘il, tu veux te retourner pour demander des explications à ton grand désarroi car je tiens tes épaules et que je n’ai pas envies que tu te retournes maintenant…mes mains descendent lentement accrochant es bretelles du top qui ne tarde pas à se retrouver sur tes hanches…tu es un peu fébrile car j’ai soulevé ton soutien gorge et j’ai pris tes seins à pleines main. Déjà je te sens te raidir sur tes talons et tes mains prennent appuis sur les poches arrière de mon jeans approchant ainsi plus fort tes fesses gantées dans ta petite jupe contre mon sexe déjà gonflé à travers mon jeans.

Houla…on est excité monsieur…je me penche à ton oreille et la mordillant un peu je te parles : je vais te faire taire un peu…et relâchent tes seins je sorts un foulard subtilisé dans ton armoire et d’un geste ferme je te bâillonne en étouffant un petit cri de surprise…et comme pour continuer sur la lancée je passe mes mains devant toi et tout en t’expliquant mes gestes je te montre une ceinture de peignoir en satin j’y fait deux boucles et tout en prenant les deux cocardes je fais un nœud coulant avec…ce qui donne deux oreilles que je glisses à chacune de tes mains et lentement je tire sur les deux bouts de la ceinture qui se referme sur les poignés doucement mais fermement...puis avec la ceinture je viens la refermer sur ta taille bloquant tes mains devant toi à la taille…tu as déjà senti l’ognon mais là c’est trop tard…tu te sens bloqué. Je remonte m’occuper de tes seins car tu es ma merci et je m’appliques, d’abord les tétons pour te faire monter d’un cran….puis la corolle ensuite le sein tout entier.

Tu tressailles sur tes talons car  le désir monte, tu gémis dans le foulard et tu sens mes mains qui glissent l’une après l’autre à tes hanches. Lentement je retrousse ta jupe sur tes cuisses, tu bascules ta tête en arrière sur mon épaule droite comme pour me laisser plus de facilité pour atteindre ton sexe que je palpe déjà à travers ta culotte de satin et le bord de tes bas se frottent contre ma main audacieuse…tu cambres les hanches un peu plus et bientôt je te sens frémissante car mon sexe…tu voudrais me dire ton désir mais le bâillon retient tout en transformant les paroles en gémissement, tu grondes presque et je te retourne pour te faire face…je te repousse sur le mur de la chambre…tes mains sont ouvertes comme pour attraper une balle mais surtout ce sont mes cheveux que tu attrapes…car je suis à genoux devant toi et lentement je te retire ta culotte en prenant soins de ne pas toucher les bords de tes bas. Ton sexe m’est presque offert mais la position n’aide pas alors je passe une de tes jambes par-dessus mon épaule et je m’applique à l’embrasser lentement puis plus fort et finalement ma langue se ballade sur ta vulve ce qui te fais saisir mes cheveux à pleines mains…tu approches même du plaisir quand je m’arrête net…et me redressant sur toi tu reprends tes esprits…je te guide vers le lit et t’aidant à t’asseoir je te retire le bâillon pour te le placer sur les yeux…je t’explique que si tu parles je remets le foulard…tu sembles acquiescer de la tête et tu t’humidifies les lèvres…tu t’imagines un peu car dans le feu d l’action tu as fermé les yeux mais tu réalises que tu es toujours à ma merci…tes mains sont un peu endormis dans cette position…pour t’alléger je déboucle le nœud de ceinturage. Tu souffles un peu tes lévres reprennent leur couleur doucement et tu sens quelque chose de chaud sur ton visage, je l’approche de tes lévres et tu reconnais de suite l’objet que je force un peu mais que tu acceptes et toi aussi tu t’appliques…tu cherches à me faire monter un peu la pression pour me remercier peut être ou alors simplement parce que c’est difficile de dire non dans ta position…sauf que tu l’apprécies seulement que déjà je le retire…et te repoussant sur le dos tu retombe sur le lit, je place tes mains au dessus de ta tête, toujours attachées…alors je redescend sur ton sexe offert et saisissant tes cuisses je masses le bord de tes bas qui me fond un effet bœuf….tu rigoles un peu et tu penses …un point faible…tu te rappelles avoir vu un port jarretelles sur le dos de la chaise…il l’a trouvé et sorti …

Je m’applique encore sur ton sexe et mais mains ne restent pas inactives car je tiens ta poitrine en respect également …ce qui a pour effet qu’après un moment une synchronisation à lieu entre ta respiration mes mains et la caresse de ma langue qui passe aussi largement que possible sur ta vulve…une main s’égare de son travail pour descendre sur ton ventre et ton clito, puis l’autre aussi…finalement l’explosion arrive , mais je ne semble pas en tenir compte…car je continue et je parts même de temps en temps appuyer un peu sur ton anus avec la langue histoire de voir comment tu réagis….

 

Après quelques plaisir je te détache complètement et t’invite à t’appuyer contre mon torse…lentement tu sombres dans un repos et moi aussi…nous discutons un peu et tu me demandes pourquoi j’ai sorti des  affaires de l’armoires…je t’explique que ce sont des dessous que j’aime, il y a un porte jarretelles, une nuisette noir et son peignoir et d’autres choses…tu te redresses et j’appuis ma tête sur tes genoux, mon nez directement en contact avec un bord en dentelle de tes bas et je m’endors un peu sous les caresses que tu me prodigues dans les cheveux…

Par toutenfantasme.over-blog.com
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